Centre audiovisuel Simone de Beauvoir

Mercredi 9 janvier 2019 à 11h : Sara García Gross reçoit le prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes

Mercredi 9 janvier 2019 à 11h : Sara García Gross reçoit le prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes

Sylvie Le Bon de Beauvoir, Présidente d’honneur du Prix Simone de Beauvoir
Sihem Habchi, Présidente du Prix Simone de Beauvoir sont heureuses de vous inviter à la remise du prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes 2019 décerné à Sara García Gross du Rassemblement citoyen pour la dépénalisation de l’avortement au Salvador
Mercredi 9 janvier 2019 à 11h00, Maison de l’Amérique latine, 217 boulevard Saint-Germain – Paris 7e
Réservation en ligne > cliquez ici

Contacts > prixsimonedebeauvoir@gmail.com Tél. : 01 57 27 64 32

Le Prix – Fondé en 2008, le Prix « Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes » a pour objectif de
« contribuer à mobiliser la solidarité internationale, réaffirmer le droit des femmes dans le monde, garantir la protection de celles et ceux qui luttent aujourd’hui au risque de leur vie, et défendre à leurs côtés les idéaux d’égalité et de paix ». Remis chaque année le 9 janvier – date anniversaire de la naissance de Simone de Beauvoir – le Prix a été attribué par le passé, entre autres lauréats, à Malala Yousafzai – depuis lors lauréate du Prix Nobel de la Paix–, à Barbara Nowacka, figure du mouvement pour le droit à l’avortement en Pologne, à Giusi Nicolini, maire de Lampedusa (Italie), pour son action en faveur des migrants naufragés de la Méditerranée, à l’historienne Michelle Perrot, et à l’écrivaine et journaliste Asli Erdogan, menacée d’une peine de prison à vie pour ses articles dans la presse turque(voir la liste complète ci-dessous).

La lauréate :

1/ Au Salvador, Sara GARCIA GROSS est membre du « Rassemblement citoyen pour la dépénalisation de l’avortement » (Agrupación Ciudadana por la Depenalización del Aborto), collectif qui se bat pour la liberté des femmes injustement incarcérées en raison de la criminalisation absolue de l’avortement.
Le Salvador tient une place quasi unique parmi les pays qui nient le droit à l’avortement : depuis 1997, interrompre une grossesse y est rigoureusement interdit, même en cas de viol, malformation du fœtus, danger pour la santé de la femme enceinte. Considéré comme un homicide aggravé, l’avortement y est qualifié de crime et est passible de lourdes peines de prison. De plus, en 1999 a été inscrite dans la Constitution « la protection de la vie depuis la conception ». Ces dispositifs législatifs implacables sont le fruit de lobbys liés à la hiérarchie catholique, en particulier l’Opus Dei, groupes qui ont profité d’un regain du fondamentalisme religieux depuis les années1990.
Les conséquences de cette interdiction absolue de l’avortement non seulement affectent les femmes qui souhaitent interrompre leur grossesse, mais aussi entraînent régulièrement la condamnation à la prison de femmes victimes de fausses-couches spontanées et que l’on accuse d’avoir avorté. Cela entraîne aussi pour les femmes l’obligation de porter pendant des mois un fœtus que l’on sait ne pas être viable, et ce même s’il existe des risques pour la vie de la femme enceinte. La Cour constitutionnelle a en effet décidé que « les droits de la mère ne pouvaient pas primer ceux de l’enfant à naître ». A cela s’ajoute que la criminalisation extensive de l’avortement accroît la peur chez les militants d’être condamnés pour incitation au crime d’avortement.
Comme Simone de Beauvoir l’avait fait, à l’invitation de Gisèle Halimi, lors du célèbre procès de Bobigny(1972),Sara GARCIA GROSS intervient au niveau des juridictions répressives, lors de procès de femmes poursuivies pour avortement. Elle a participé aux mobilisations citoyennes et a fait connaître auprès du mouvement féministe international les injustices commises dans différentes régions d’Amérique latine.
Il s’agit non seulement de défendre ces femmes, mais aussi de susciter des changements dans l’imaginaire collectif. Une des luttes collectives capitales a conduit à la libération, le 15 février 2018, de Teodora Vasquez, condamnée à 30 ans de prison en 2008 pour une fausse couche qualifiée à tort « d’homicide aggravé ».
Sara GARCIA GROSS agit aussi sur les législateurs eux-mêmes. Elle insiste auprès d’eux pour qu’ils respectent la laïcité et que soient bien séparées convictions personnelles et décisions publiques.

2/ Dimension internationale : L’action de Sara GARCIA GROSS est coordonnée avec celle de nombreuses organisations féministes et LGBTQI en Amérique latine comme la Casa de Todas (La Maison pour toutes). En 2020, Sara GARCIA GROSS participera à la « Rencontre des droits des femmes d’Amérique centrale et du Sud ».

L’Amérique latine est un continent où le droit des femmes est au cœur des luttes démocratiques face à un conservatisme religieux en expansion: l’Argentine a récemment rejeté une proposition de loi visant à autoriser l’interruption volontaire de grossesse ; le Brésil a élu un ennemi déclaré des droits des femmes et les militant.es y sont désormais de plus en plus victimes d’agressions physiques. Seule bonne nouvelle: la nomination récente d’Olga SANCHEZ CORDERO, lectrice de Simone de Beauvoir, au poste de ministre de l’Intérieur du Mexique, qui a décidé de légaliser l’avortement dans son pays.
Donner le Prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes à Sara GARCIA GROSS, c’est reconnaître que son action s’inscrit dans la lignée de celle de Simone de Beauvoir. Il s’agit aussi d’offrir, depuis la France et l’Europe, un appui à son travail en faveur des droits des femmes, d’attirer l’attention internationale sur la situation de femmes emprisonnées ou menacées de prison en raison de la négation de leur droit sur leur corps.

CONTACT : prixsimonedebeauvoir@gmail.com/ Marine Mazel, secrétariat : +33(0)684396588/
Nicole Fernández Ferrer du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir : +33(0)662752818

LAUREATES DU PRIX – 2008 : Taslima Nasreen & Ayaan Hirsi Ali ; 2009 : Le collectif « Onemillion signatures » (Iran) ; 2010 : Ai Xiaoming et Guo Jianmei ; 2011 : Ludmila Oulitskaïa ; 2012 : Association tunisienne des femmes démocrates ; 2013 : Malala Yousafzai ; 2014: Michelle Perrot ; 2015: National Museum of Women in the Arts; 2016 : Giusi Nicolini ; 2017 : “Sauvons les femmes”, Barbara Nowacka ; 2018 : Asli Erdogan.

JURY
Présidente d’honneur : Sylvie Le Bon de Beauvoir – Présidente : Sihem Habchi
Membres : JulieAugras ; ConstanceBorde; PierreBras; NicoleFernandezFerrer; Madeleine Gobeil-Noël ; Sihem Habchi ; Smaïn Laacher ; Sylvie Le Bon de Beauvoir ; Rachida Lemmaghti ; Annette Levy-Willard ; Sheila Malovany-Chevallier ; Tiphaine Martin ; Françoise Picq ; Yvette Roudy ; Alice Schwarzer.

Avec le soutien de :
LA FONDATION JAN MICHALSKI, LA FONDATION VINCI, LA FONDATION PARIS DIDEROT, L’UNIVERSITE PARIS DIDEROT, LA FONDATION SIMONE DE BEAUVOIR, LA MAISON DE L’AMERIQUE LATINE.
Paris, le 14 décembre 2018.
El Premio “Simone de Beauvoir por la libertad de las mujeres 2019
será atribuido a Sara García Gross, activista por el derecho al aborto en América Latina.

El premio se entregara a la Sra. Sara GARCIA GROSS, el 9 de enero de 2019, a las 11, en la Casa de América Latina
217, boulevard Saint-Germain París por Sylvie Bon de Beauvoir, presidenta honoraria, y Sihem Habchi, presidenta del jurado.

El Premio – Creado en 2008, el « Premio Simone de Beauvoir por la Libertad de las Mujeres » tiene como objetivo « contribuir a movilizar la solidaridad internacional, reafirmar los derechos de las mujeres a nivel mundial, garantizar la protección de las personas que luchan hoy día, a riesgo de su vida, y defender los ideales de igualdad y de paz « .

Entregado cada año el 9 de enero, aniversario del nacimiento de Simone de Beauvoir. Entre las ganadoras del premio podemos citar a Malala Yousafzai, premio Nobel de la Paz, en 2014; a Barbara Nowacka, ícono del movimiento por el derecho al aborto en Polonia; a Giusi Nicolini, alcaldesa de la ciudad de Lampedusa (Italia), por su acción en favor de los migrantes naufragados en el mar mediterráneo; a la historiadora Michelle Perrot, y la escritora y periodista Asli Erdogan, amenazada a cadena perpetua por sus artículos en la prensa turca (vea la lista completa a continuación).

La ganadora:
1/Sara García Gross es integrante de la Agrupación Ciudadana por la Despenalización del Aborto en El Salvador, colectivo que trabaja por la libertad de mujeres encarceladas injustamente debido a la penalización absoluta del aborto. Además, trabajan para que pueda cambiar lalegislación.
El Salvador ocupa un lugar único dentro de los países que niegan el derecho al aborto: desde 1997, el aborto está estrictamente prohibido incluso en casos de violación, malformación fetal, y riesgo para la salud de la mujer embarazada. Considerado un homicidio agravado, el aborto es tipificado como crimen y es castigado con graves penas de prisión. Además, en 1999 ha sido inscrita en la Constitución « la protección de la vida desde la concepción. » Estas disposiciones legislativas implacables son el resultado de los “lobbys” vinculados a la jerarquía católica, especialmente los grupos del Opus Dei, que se han beneficiado de un resurgimiento del fundamentalismo religioso desde los años 1990. Las consecuencias de esta prohibición absoluta del aborto no sólo afectan a las mujeres que desean interrumpir su embarazo, sino que además, las mujeres víctimas de abortos espontáneos pueden ser condenadas a largas penas de prisión, acusadas de aborto. En consecuencia, estas mujeres están obligadas a llevar a un feto no viable durante meses, a pesar de los riesgos que supone para la mujer embarazada. El Tribunal Constitucional ha decido que « los derechos de la madre no pueden prevalecer sobre los derechos del feto. » Además, la amplia criminalización del aborto agudiza el miedo entre las personas activistas de ser condenadas por instigación al crimen de aborto.
Como lo había hecho Simone de Beauvoir, por invitación de Gisèle Halimi, durante el famoso juicio de Bobigny (1972), Sara GARCIA GROSS interviene en el ámbito de las leyes represivas en el marco de los juicios de mujeres procesadas por aborto. Ha participado en las movilizaciones sociales y desde el feminismo internacionalista ha dado a conocer las injusticias en diversas regiones de Latinoamerica. No trata solo de defender a mujeres criminalizadas injustamente, sino también de generar cambios en los imaginarios sociales.
Una de las luchas colectivas de gran importancia ha sido la liberación, el 15 de febrero de 2018, de Teodora Vásquez, condenada en 2008 a una pena de prisión de 30 años por un aborto espontáneo calificado erróneamente de « homicidio agravado ».
Sara GARCIA GROSS actúa también entre los propios legisladores, presiona para que se respete la secularidad y para que se delimiten claramente sus convicciones personales y las decisiones públicas.

2/ Dimensión internacional:
La acción de Sara GARCIA GROSS está coordinada con la de numerosas organizaciones feministas y LGBTQI en América Latina: la Casa de Todas (La Casa para Todas, financiada por la Fundación Bohl – Alemania – y el Fondo Centroamericano de las Mujeres), « Ni Una Menos », « Vivas Nos Queremos », « 135 Femenicidios » contra la impunidad en relación con la violencia de género. En 2020 en El Salvador, Sara GARCIA GROSS participará en la acogida del “Encuentro para los derechos de las mujeres en América Central y del Sur. »
América Latina es un continente donde, frente al creciente conservadurismo religioso, los derechos de las mujeres ocupan un lugar central en las luchas democráticas, recientemente Argentina ha rechazado un proyecto de ley para permitir el aborto; Brasil ha elegido a un enemigo declarado de los derechos de las mujeres y las activistas son ahora más y más víctimas de agresión física. La única buena noticia es el reciente nombramiento de Olga SANCHEZ CORDERO ,lectora de Simone de Beauvoir, como Ministra del Interior de México, quien decidió legalizar el aborto en su país. Otorgar el premio Simone de Beauvoir por la libertad de la mujer a Sara GARCIA GROSS es reconocer que su acción está en la línea de Simone de Beauvoir. También se trata de apoyar, desde Francia y Europa, su trabajo a favor de los derechos de las mujeres, y atraer a la atención internacional sobre la situación de las mujeres encarceladas o amenazadas de prisión al negar a las mujeres el derecho de ser dueñas de su cuerpo.

CONTACTO
prixsimonedebeauvoir@gmail.com/
Marine Mazel, secretaría: +33 (0) 684396588 /
Nicole Fernández Ferrer del Centro Audiovisual Simone de Beauvoir: +33 (0) 662752818
/archives@centre-simone-de-beauvoir.com

GANADORAS DEL PREMIO
– 2008: Taslima Nasreen y Ayaan Hirsi Ali; 2009: El Colectivo de One Million Signatures (Irán); 2010: Ai Xiaoming y Guo Jianmei; 2011: Ludmila Ulitskaya; 2012: Association tunisienne des femmes démocrates; 2013: Malala Yousafzai; 2014: Michelle Perrot; 2015: National Museum of Women in the Arts; 2016: Giusi Nicolini; 2017: « Sauvons les femmes », Barbara Nowacka; 2018: Asli Erdogan.

JURADO
Presidenta de honor: Sylvie Le Bon de Beauvoir; Presidenta: Sihem Habchi
Miembros: Julie Augras; Constance Borde; Pierre Bras; Nicole Fernández Ferrer; Madeleine Gobeil-Noël; Sihem Habchi; Smaïn Laacher; Sylvie Le Bon de Beauvoir; Rachida Lemmaghti; Annette Levy-Willard; Sheila Malovany-Chevallier; Tiphaine Martin; Françoise Picq; Yvette Roudy; Alice Schwarzer

Con el apoyo de:
LA FONDATION VINCI, LA FONDATION PARIS DIDEROT, L’UNIVERSITE PARIS DIDEROT, LA FONDATION SIMONE DE BEAUVOIR, LA MAISON DE L’AMERIQUE LATINE.

The Simone de Beauvoir Prize for Women’s Freedom 2019 will be awarded to SARA GARCIA GROSS Advocate for Women’s Right to Choose and Human Rights in Latin America
The Prize will be awarded to Sara Garcia Gross on January 9, 2019, at 11:00 am at the Maison de l’Amérique Latine, 217, boulevard Saint-Germain, 75007 Paris, by Sylvie Le Bon de Beauvoir, Honorary President and Sihem Habchi, President of the Jury of the Prix Simone de Beauvoir

The Prize– Founded in 2008, the Simone de Beauvoir Prize for Women’s Freedom aims to “mobilize international solidarity, reaffirm women’s rights in the world, guarantee the protection of those women who risk their lives today in their struggle, and to defend by their side the ideals of equality and peace.”
The Prize is granted every year on January 9 – Simone de Beauvoir’s birthday – and has been previously awarded to, among others, Malala Yousafzai (who went on to receive the Nobel Peace Prize), Barbara Nowacka, a leader in the right to abortion movement in Poland, Giusi Nicolini, former mayor of Lampedusa in Italy, for her protection of migrants stranded in the Mediterranean, historian Michelle Perrot, and the author and journalist Asli Erdogan, facing life imprisonment for her articles in the Turkish press. (see the complete list below).

The Prize Recipient

1/ In El Salvador Sara Garcia Gross is the executive coordinator of the Citizens’ Organization for Abortion Decriminalization (Agrupacion Ciudadana por la Depenalizacion des Aborto)
El Salvador ranks high among the countries that deny the right to abortion: since 1997, terminating a pregnancy is rigorously forbidden even in case of rape, fetus malformation, and danger for the pregnant woman’s health. Considered to be aggravated murder, abortion is a crime and criminally punishable by severe prison sentences. Moreover, since 1999 “the protection of life from the moment of conception” has been inscribed in the Constitution. These implacable and ruthless measures are the work of Catholic lobbies, in particular the Opus Dei, groups that have taken advantage of the rise of religious fundamentalism since the 1990s.
The consequences of this absolute prohibition of abortion affect not only women who desire to end their pregnancy but also carry prison sentences for women who have had miscarriages and are accused of having had an abortion. This also forces women to carry a non-viable fetus for months even if the pregnant woman’s life is in danger. The Constitutional Court decided that “the rights of the mother cannot take precedence over the unborn child.” An additional consequence is that the extensive criminalization of abortion increases activists’ fear of being condemned for inciting abortion.
Like Simone de Beauvoir, invited by Gisèle Halimi for the path-breaking trial of Bobigny in 1972, Sara Garcia Gross intervenes in trials concerning the repressive jurisdictions of women accused of abortion. The aim is not only to defend these women but also to advance the law by addressing judges. An encouraging result was obtained with the liberation of Teodora Vasquez, February 15, 2018, condemned to 30 years in prison in 2008 for a miscarriage abusively considered “aggravated murder.”
Sara Garcia Gross also acts on lawmakers themselves, insisting they enforce secularity and that personal convictions and public decisions be completely separated.

2/ International dimension
Sara Garcia Gross’s work is in coordination with many feminist and LGBTQ organizations in Latin America: la Casa de Todas (the Women’s House, financed by the Bohl Foundation, Germany, and the Central American Women’s Fund), Ni Una Menos, Vivas Nos Queremos, 135 Femenicidios against impunity in face of sexist violence. In 2020, Sara Garcia Gross will be present to welcome the Central and South American Gathering for Women’s Rights in Salvador.
Latin America is a continent where women’s rights are at the very heart of the democratic battles against rising religious conservatism: Argentina recently voted against a bill granting the right to abortion; Brazil just elected a vociferous enemy of women’s rights, and activists are more and more subject to physical aggressions. The only good news is the recent nomination of Olga Sanchez Cordero, a reader of Simone de Beauvoir, as Minister of the Interior in Mexico, who decided to legalize abortion in her country.
Awarding the Simone de Beauvoir Prize for Women’s Freedom 2019 to Sarah Garcia Gross recognizes her struggle alongside Simone de Beauvoir’s. It also provides support to her work for women’s rights from France and Europe, and draws international attention to the situation of women in prison or threatened with prison because of the denial of their rights over their own bodies.

CONTACT : prixsimonedebeauvoir@gmail.com / Marine Mazel, secrétariat : +33(0)684396588/
Nicole Fernandez Ferrer du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir : +33(0)662752818

PRIZE RECIPIENTS – 2008 : Taslima Nasreen & Ayaan Hirsi Ali ;2009 : Le collectif « One million signatures » (Iran) ; 2010 : Ai Xiaoming et Guo Jianmei ;2011 : Ludmila Oulitskaïa ; 2012 : Association tunisienne des femmes démocrates ; 2013 :Malala Yousafzai ; 2014: Michelle Perrot; 2015: National Museum of Women in the Arts; 2016 :Giusi Nicolini ; 2017 : “Sauvons les femmes”, Barbara Nowacka ; 2018 : Asli Erdogan.

JURY
Honorary President: Sylvie Le Bon de Beauvoir – President : Sihem Habchi
Members: Julie Augras ; Constance Borde ; Pierre Bras ; Nicole Fernandez Ferrer ; Madeleine Gobeil-Noël ; Sihem Habchi ; Smaïn Laacher ; Sylvie Le Bon de Beauvoir ; Rachida Lemmaghti ; Annette Levy-Willard ; Sheila Malovany-Chevallier ; Tiphaine Martin ; Françoise Picq ; Yvette Roudy ; Alice Schwarzer.

Supporters:
LA FONDATION JAN MICHALSKI, LA FONDATION VINCI, LA FONDATION PARIS DIDEROT, L’UNIVERSITE PARIS DIDEROT, LA FONDATION SIMONE DE BEAUVOIR, LA MAISON DE L’AMERIQUE LATINE.

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Non classé
Mardi 8 janvier 2019, de 18h30 à 20h30 Rencontre avec Sara García Gross lauréate du Prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes 2019

Mardi 8 janvier 2019, de 18h30 à 20h30 Rencontre avec Sara García Gross lauréate du Prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes 2019

L’Ordre des avocats de Paris et le Jury du Prix Simone de Beauvoir vous convient à participer à un échange avec Madame Sara García Gross, jeune salvadorienne connue pour son combat contre la politique anti-avortement en Amérique latine,
Lauréate du Prix Simone de Beauvoir 2019. & Madame Véronique Séhier, co-presidente du Planning Familial, Madame Carla García Antúnez de l’association Alerta Feminista, un.e avocat.e du barreau de Paris.
La discussion sera animée par Nicole Fernández Ferrer, membre du Jury du Prix Simone de Beauvoir,
et déléguée générale du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.
Le 8 janvier 2019, de 18h30 à 20h30, Auditorium de la Maison du Barreau, Ile de la Cité, 2, rue Harlay, Paris 75001
Entrée libre, Une pièce d’identité sera demandée à l’entrée

Communiqué de presse

Le Prix sera remis à Mme Sara GARCIA GROSS, Combattante pour le droit à l’avortement en Amérique latine
le 9 janvier 2019, à 11 heures, à la Maison de l’Amérique Latinem 217, boulevard Saint-Germain 75007 Paris
par Sylvie Le Bon de Beauvoir, présidente d’honneur, et Sihem Habchi, présidente du Jury.

Le Prix – Fondé en 2008, le Prix « Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes » a pour objectif de
« contribuer à mobiliser la solidarité internationale, réaffirmer le droit des femmes dans le monde, garantir la protection de celles et ceux qui luttent aujourd’hui au risque de leur vie, et défendre à leurs côtés les idéaux d’égalité et de paix ».
Remis chaque année le 9 janvier – date anniversaire de la naissance de Simone de Beauvoir – le Prix a été attribué par le passé, entre autres lauréats, à Malala Yousafzai – depuis lors lauréate du Prix Nobel de la Paix–, à Barbara Nowacka, figure du mouvement pour le droit à l’avortement en Pologne, à Giusi Nicolini, maire de Lampedusa (Italie), pour son action en faveur des migrants naufragés de la Méditerranée, à l’historienne Michelle Perrot, et à l’écrivaine et journaliste Asli Erdogan, menacée d’une peine de prison à vie pour ses articles dans la presse turque(voir la liste complète ci-dessous).

La lauréate :

1/ Au Salvador, Sara GARCIA GROSS est membre du « Rassemblement citoyen pour la dépénalisation de l’avortement » (Agrupación Ciudadana por la Depenalización del Aborto), collectif qui se bat pour la liberté des femmes injustement incarcérées en raison de la criminalisation absolue de l’avortement.
Le Salvador tient une place quasi unique parmi les pays qui nient le droit à l’avortement : depuis 1997, interrompre une grossesse y est rigoureusement interdit, même en cas de viol, malformation du fœtus, danger pour la santé de la femme enceinte. Considéré comme un homicide aggravé, l’avortement y est qualifié de crime et est passible de lourdes peines de prison. De plus, en 1999 a été inscrite dans la Constitution « la protection de la vie depuis la conception ». Ces dispositifs législatifs implacables sont le fruit de lobbys liés à la hiérarchie catholique, en particulier l’Opus Dei, groupes qui ont profité d’un regain du fondamentalisme religieux depuis les années1990.
Les conséquences de cette interdiction absolue de l’avortement non seulement affectent les femmes qui souhaitent interrompre leur grossesse, mais aussi entraînent régulièrement la condamnation à la prison de femmes victimes de fausses-couches spontanées et que l’on accuse d’avoir avorté. Cela entraîne aussi pour les femmes l’obligation de porter pendant des mois un fœtus que l’on sait ne pas être viable, et ce même s’il existe des risques pour la vie de la femme enceinte. La Cour constitutionnelle a en effet décidé que « les droits de la mère ne pouvaient pas primer ceux de l’enfant à naître ». A cela s’ajoute que la criminalisation extensive de l’avortement accroît la peur chez les militants d’être condamnés pour incitation au crime d’avortement.
Comme Simone de Beauvoir l’avait fait, à l’invitation de Gisèle Halimi, lors du célèbre procès de Bobigny(1972),Sara GARCIA GROSS intervient au niveau des juridictions répressives, lors de procès de femmes poursuivies pour avortement. Elle a participé aux mobilisations citoyennes et a fait connaître auprès du mouvement féministe international les injustices commises dans différentes régions d’Amérique latine.
Il s’agit non seulement de défendre ces femmes, mais aussi de susciter des changements dans l’imaginaire collectif. Une des luttes collectives capitales a conduit à la libération, le 15 février 2018, de Teodora Vasquez, condamnée à 30 ans de prison en 2008 pour une fausse couche qualifiée à tort « d’homicide aggravé ».
Sara GARCIA GROSS agit aussi sur les législateurs eux-mêmes. Elle insiste auprès d’eux pour qu’ils respectent la laïcité et que soient bien séparées convictions personnelles et décisions publiques.

2/ Dimension internationale : L’action de Sara GARCIA GROSS est coordonnée avec celle de nombreuses organisations féministes et LGBTQI en Amérique latine comme la Casa de Todas (La Maison pour toutes). En 2020, Sara GARCIA GROSS participera à la « Rencontre des droits des femmes d’Amérique centrale et du Sud ».

L’Amérique latine est un continent où le droit des femmes est au cœur des luttes démocratiques face à un conservatisme religieux en expansion: l’Argentine a récemment rejeté une proposition de loi visant à autoriser l’interruption volontaire de grossesse ; le Brésil a élu un ennemi déclaré des droits des femmes et les militant.es y sont désormais de plus en plus victimes d’agressions physiques. Seule bonne nouvelle: la nomination récente d’Olga SANCHEZ CORDERO, lectrice de Simone de Beauvoir, au poste de ministre de l’Intérieur du Mexique, qui a décidé de légaliser l’avortement dans son pays.
Donner le Prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes à Sara GARCIA GROSS, c’est reconnaître que son action s’inscrit dans la lignée de celle de Simone de Beauvoir. Il s’agit aussi d’offrir, depuis la France et l’Europe, un appui à son travail en faveur des droits des femmes, d’attirer l’attention internationale sur la situation de femmes emprisonnées ou menacées de prison en raison de la négation de leur droit sur leur corps.

CONTACT : prixsimonedebeauvoir@gmail.com/ Marine Mazel, secrétariat : +33(0)684396588/
Nicole Fernández Ferrer du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir : +33(0)662752818

LAUREATES DU PRIX – 2008 : Taslima Nasreen & Ayaan Hirsi Ali ; 2009 : Le collectif « Onemillion signatures » (Iran) ; 2010 : Ai Xiaoming et Guo Jianmei ; 2011 : Ludmila Oulitskaïa ; 2012 : Association tunisienne des femmes démocrates ; 2013 : Malala Yousafzai ; 2014: Michelle Perrot ; 2015: National Museum of Women in the Arts; 2016 : Giusi Nicolini ; 2017 : “Sauvons les femmes”, Barbara Nowacka ; 2018 : Asli Erdogan.

JURY
Présidente d’honneur : Sylvie Le Bon de Beauvoir – Présidente : Sihem Habchi
Membres : Julie Augras ; ConstanceBorde; PierreBras; NicoleFernandezFerrer; Madeleine Gobeil-Noël ; Sihem Habchi ; Smaïn Laacher ; Sylvie Le Bon de Beauvoir ; Rachida Lemmaghti ; Annette Levy-Willard ; Sheila Malovany-Chevallier ; Tiphaine Martin ; Françoise Picq ; Yvette Roudy ; Alice Schwarzer.

Avec le soutien de :
LA FONDATION JAN MICHALSKI, LA FONDATION VINCI, LA FONDATION PARIS DIDEROT, L’UNIVERSITE PARIS DIDEROT, LA FONDATION SIMONE DE BEAUVOIR, LA MAISON DE L’AMERIQUE LATINE.

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
Vendredi 16 novembre à 19h : projection du film d’Alima Arouali « Bakta et ses filles »

Vendredi 16 novembre à 19h : projection du film d’Alima Arouali « Bakta et ses filles »

Dans le cadre du Mois du doc, la bibliothèque Marguerite Yourcenar a donné carte blanche au Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.
La réalisatrice Alima Arouali présentera son film « Bakta et ses filles » et en débattra en compagnie de Nicole Fernandez Ferrer.

« Cinq soeurs : Aïcha, Malika, Rachida, Horia et moi, Alima. Nous avons entre 50 et 60 ans. Nous sommes les filles de Bakhta et Abdenbi, qui ont quitté l’Algérie pour la France en 1948. Mes soeurs et moi faisons partie de cette génération qui a lutté pour pouvoir travailler, qui a décidé avec qui elle voulait vivre, avoir ou non des enfants, avoir le droit au plaisir, à une sexualité libre… À travers ce documentaire, mes soeurs me racontent comment elles ont résisté, chacune à leur manière, au père, aux maris, à la religion, aux préjugés, afin d’être des femmes libres et de trouver leur place dans la société française. » Alima Arouali.

Vendredi 17 novembre 2018 à 19h à la bibliothèque Marguerite Yourcenar
41 Rue d’Alleray 75015 Paris.

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
30 octobre 2018 à 20h30 : projection du film de Mary Jirmanus Saba « A Feeling Greater than Love »

30 octobre 2018 à 20h30 : projection du film de Mary Jirmanus Saba « A Feeling Greater than Love »

Notre prochaine projection au Forum des images aura lieu le Mardi 30 octobre 2018 à 20h 30 au Forum des images, Mary Jirmanus Saba viendra présenter son film A Feeling Greater Than Love (Shu’our akbar min el hob)
Liban, 2017, Tricontinental Media, 90 min

1973. Une voiture circule dans le Sud du Liban appelant par haut-parleur les ouvriers à manifester. Ces mouvements de révolte populaire à travers le pays ont été effacés de la mémoire collective par la guerre civile et les divisions communautaires. A la recherche d’une époque révolue et de stratégies à adopter dans les luttes actuelles, la réalisatrice part à la rencontre des militants de l’époque, interroge les documents d’archives et invite à une méditation sur le militantisme à travers le cinéma.

Mary Jirmanus Saba a suivi des études de sciences sociales à Harvard aux Etats-Unis où elle est née puis de géographie à Berkeley. De 2006 à 2008, elle a produit l’émission communautaire du programme Via Comunidad avec le collectif Vientos del sur à Ibarra en Equateur.
Dans ses films, elle s’intéresse au monde rural, aux femmes travailleuses du Moyen-Orient et d’Amérique latine. Elle explore les images d’archives militantes de ces deux régions en montrant l’intérêt qu’elles ont pour le présent.
A Feeling Greater Than Love, son premier long métrage documentaire, a remporté le prix de la FIPRESCI au festival de Berlin en 2017. Mary Jirmanus Saba vit et travaille à Beyrouth.

Réservez vos billets ICI !

au FORUM DES IMAGES PARIS
Forum des Halles
2 rue du cinéma, 75001 Paris

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
3 au 13 septembre des films du Centre à Rio : première mostra Século XXI, Mulheres Ação! puis à Sao Paulo : festival Les Insoumuses

3 au 13 septembre des films du Centre à Rio : première mostra Século XXI, Mulheres Ação! puis à Sao Paulo : festival Les Insoumuses

Le Secrétariat Municipal à la culture de Rio de Janeiro, RioFilme, la Cinémathèque du Musée d’Art moderne de Rio de Janeiro, le Consulat de France, l’Institut Français et le Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir ont le plaisir de vous informer de l’ouverture et du programme de Século XXI, Mulheres Ação!, un évènement indépendant pour renforcer et amplifier les réseaux et la voix des femmes à Rio de Janeiro.

Puis à Sao Paulo, une programmation de films des trois fondatrices du Centre Simone de Beauvoir intitulée Les Insoumuses.

La programmation des films a été assurée par André Cals et Nicole
Fernández Ferrer, déléguée générale du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir qui présentera les films issus du fonds du Centre

Ouverture
Le 3 septembre à 19h30 au Cinémaison
Avenida Presidente Antônio Carlos, 58
Centro / Rio de Janeiro

Projection de deux films :
Thokozani Football Club: Team Spirit, de Thembela Dick
Afrique du sud, 2014, 22min
Et Baronesa de Juliana Antunes
Brésil, 2017, 70min

Programme du 4 au 9 septembre 2018
A la Cinémathèque du Musée d’Art Moderne
Av. Infante Dom Henrique, 85 Parque do Flamengo

mardi 4 septembre
14h Século XXI
Chega de Fiu-Fiu de Amanda Kamanchek Lemos e Fernanda Frazão (doc, SP, 2018, 73min)

16h Centre Simone de Beauvoir
Sois belle et tais-toi ! de Delphine Seyrig
(doc, France, 1976, 1h55min)

18h #MulheresAção
Precisamos falar do assédio, de Paula Sacchetta (doc, SP, 2016, 80min)

20h Débat : Stop au harcèlement
Modératrice : Amanda Kamanchek Lemos, journaliste, réalisatrice de “Chega de Fiu-Fiu”
avec Paula Sacchetta, documentariste, réalisatrice de “Precisamos falar do assédio”
& Kenia Mariam, écrivaine et actrice, défenseure des droits des femmes noires pour l’ONU et mobilisatrice du projet Criança Esperança
& Giowana Cambrone, avocate, professeure de droit, spécialiste de la démocratie participative et des mouvements sociaux, conseillère juridique du programme Rio sans homophobie
& Larissa Schmillevitch, psychologue et membre du projet Mapa do Acolhimento

Mercredi 5 septembre
14h Século XXI
Que horas ela volta?, de Anna Muylaert (fi c, SP, 2015, 1h52min)

16h30 Centre Simone de Beauvoir
Accouche !, de Ioana Wieder (doc, France, 1977, 49min)

18h Mulheres Ação !
Clandestinas, de Fádhia Salomão (fi c, SP, 2014, 24min)
+ O Aborto dos Outros, de Carla Gallo (doc, SP, 2008, 1h12min)

20h Débat
La Maternité : un choix
Modératrice : Ellen Paes – journaliste, directrice de #euvocêtodasnós
Avec Renata Corrêa, écrivaine, scénariste de Clandestinas
& Ana Clara Toledo – Coordinatrice de Comunicação da Beta, a robô feminista
& Jacqueline Alves, inifrmière en obstétriuque, chercheure dans le domaine de la santé des femmes de l’accouchement et de la naissance, mère à temps plein, militante pour la fin des inégalités de race et de genre
& Ariana Santos, enseignnate à l’Insitut de médeicne sociale et infirmière en obstertique à la Maison de naissance. Assistante pour les accouchements à domiicle dans le cadre du porjet Sankofa.

Jeudi 6 septembre
14h Século XXI
Mate-me Por Favor, de Anita Rocha da Silveira
(fi c, RJ, 2015, 1h45min)

16h Centre Simone de Beauvoir
Le FHAR (Le Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire)
(doc, France, 1971, 26min)
Qui a peur des amazones ?, de Carole Roussopoulos (doc, Suisse, 2003, 27min)

18h #MulheresAção
Arremate, de Éthel Oliveira (doc, RJ, 2017, 25min)
+ Amor maldito, de Adelia Sampaio (fi c, SP, 1984, 80min)

20h | Débat
Lesbianisme, action !
Modératrice : Camila Marins, journaliste, activiste lesbienne et éditrice de la revue Brejeiras
Avec Fatinha Lima, activiste LGBT, fondatrice du Favela Cineclube
& Éthel Oliveira, diretrice de Arremate

Vendredi 7 septembre

14h | Século XXI
Mulheres no Funk, de Luisa Nolasco (doc, RJ, 2013, 13min)
+ Sou feia mas tô na moda, de Denise Garcia (doc, RJ, 2004, 61min)

16h | Centre Simone de Beauvoir
Audre Lorde, the Berlin Years 1984 to 1992, de Dagmar Schultz
(Allemagne, 2012, 1h19min)

18h #MulheresAção
Courts métrages du programme Protagonismo Negra:
Tia Ciata, de Mariana Campos e Raquel Beatriz (doc, RJ, 2017, 26min)
Travessia, de Safi ra Moreira (doc, RJ, 2017, 5min)
Privilégios, de Rosa Miranda (doc, RJ, 19min, 2018)
A boneca e o silêncio, Carol Rodrigues (fi c, SP, 2015,19min)
Manual, de Letícia Simões (doc, RJ, 2016, 7min)
O Rito, de Cintia Lima (videoarte, PE, 2014. 8min)
Kbela, de Yasmin Thayná (doc, RJ, 2015, 20min)

20h | Débat
PROTAGONISMO NEGRA
Modératrice : Edmeire Exaltação, coordinatrice de la Casa das Pretas
Avec Rosa Miranda, responsable du Cineclube Atlântico Negro et enseignante de cinéma à l’université fédérale Fluminense. Directrice de Privilégios.
Sabrina Fidalgo, scénariste, actrice, productrice, directrice de Rainha
Ana Paula Alves Ribeiro, sociologue, professeure à l’Université de l’Etat de Rio de Janeiro.
Lucia Xavier, assistante Sociale, coordinatrice générale de CRIOLA

Samedi 8 septembre
14h Século XXI
Meu corpo é político, de Alice Riff (doc, SP, 2017, 1h12min)
16h Centre Simone de Beauvoir
Carole Roussopoulos, une femme à la caméra,
de Emmanuelle de Riedmatten (doc, Suisse, 2011, 1h16min)

18h Centre Simone de Beauvoir
Portrait de Simone de Beauvoir, de Alice Schwarzer
(doc, Allemagne, 1974, 45min)

19h Conférence
Nicole Fernández Ferrer, directrice du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir évoquera son travail au sein de cette institut fémniste Centre, et commentera les films brésileins qu’ele aura décovuert au cours de cete evenlent .
brasileiros que assistiu ao longo do evento.

dimanche 9 de septembre
A partir de 10h
Activités libres à l’extérieur : Cours de yoga, massages, picnic, vente de produits

13h Slam das minas

14h Século XXI
Courts-métrages du programme Girl Power:
Rainha, de Sabrina Fidalgo (fi c, RJ, 2016, 30min)
Cores e Botas, de Juliana Vicente (fi c, SP, 2011 ,15min)
Gorda, de Luiza Junqueira (doc, RJ, 2015 , 15min)
Castanho, de Eduardo Valente (fi c, RJ, 2002 ,12min)
Filme Catástrofe, de Gustavo Vinagre (fi c, SP, 2017, 19min)

16h Filme de clôture : Euvocêtodasnós, de Ellen Paes e Rafael Figueiredo (doc, RJ, 2017 ,52min)

18h Clôture

4 a 9 setembro
CINEMATECA MAM
Av. Infante Dom Henrique, 85
Parque do Flamengo

https://www.facebook.com/seculoxximulheresacao/

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jeudi 5 juillet 2018 à Arles : Carole Roussopoulos, la vidéo féministe au poing.

jeudi 5 juillet 2018 à Arles : Carole Roussopoulos, la vidéo féministe au poing.

Aux Rencontres de la photograpie d’Arles. Jeudi 5 juillet

Nicole Fernández Ferrer évoquera le travail de Carole Roussopoulos dans les années 70 et des collectifs vidéos de femmes dans le cadre des ateliers : 1968-2018, PRISE DE PAROLE / PRISE D’IMAGES
LES ANNÉES 1968 : METTRE LES IMAGES AU SERVICE DES LUTTES
1968-2018, Prise de parole / Prise d’images

Conversations et projections avec Bernadette Caille, Guillaume Blanc, Sébastien Layerle, Jean-Denis Bonan
et Nicole Fernández Ferrer, sur une proposition de Tënk.

« En mai dernier, on a pris la parole comme on a pris la Bastille en 1789 », écrivait Michel de Certeau en 1968. Cette prise de parole fut également une prise d’images. En quelques semaines, les figures d’autorité sont destituées, les lieux de pouvoir investis. Manifester, occuper, s’approprier l’espace, c’est déjà se représenter soi-même, se libérer des représentations auxquelles l’on était assigné. Avec chercheurs et témoins, nous évoquerons cette histoire où s’inventèrent, contre les normes professionnelles et les hiérarchies sociales, des manières de faire des films en commun. Cinquante ans après les événements de mai, dans des contextes évidemment différents, photographes et cinéastes continuent de produire des images des luttes actuelles qui s’écartent de celles majoritairement diffusées sur les médias dominants. La plupart récuserait sans doute le terme « militant » pour qualifier leur travail. En revanche, impliqués dans une situation de conflit, ils ont nécessairement à penser ce que peut être leur rôle ou leur place, les relations qu’ils établissent avec ceux qu’ils côtoient ou avec lesquels ils coopèrent. En compagnie de photographes et de collectifs cinématographiques, présents à Notre-Dame-des-Landes, à Bure et à Calais, nous tenterons de voir quelles formes peuvent prendre aujourd’hui les notions d’engagement, de collectif, de contre-information.

MATINÉE. « LES ANNÉES 1968 : METTRE LES IMAGES AU SERVICE DES LUTTES »
9h45 – Accueil et présentation des grands axes de la journée.
Diffusion liminaire du court-métrage réalisé en mai 68 : « Ce n’est qu’un début » (collectif Arc, 10 min.)

10-11h – Usages de la photographie en Mai 1968.
Retour sur l’exposition « 1968, quelle histoire ! » en présence de sa commissaire Bernadette Caille. Regard complémentaire de l’historien de la photographie Guillaume Blanc sur l’engagement des photographes Jacques Windenberger et Jean Pottier durant les Evénements.

11-12h – Le développement des collectifs de cinéastes militants
Sébastien Layerle (historien du cinéma, auteur de « Caméras en lutte en mai 68 ») dialogue avec le cinéaste Jean-Denis Bonan (membre des collectifs Arc puis Cinélutte).

12-13h – Carole Roussopoulos, la vidéo féministe au poing.
Avec Nicole Fernandez Ferrer (déléguée générale du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir) : évocation de la cinéaste Carole Roussopoulos et des collectifs féministes de réalisation.

APRÈS-MIDI. « PRATIQUES ALTERNATIVES DE L’IMAGE SUR LES TERRAINS ACTUELS DE CONFLIT »
14h30 – Avant-première de « Fugitif, où cours-tu ? », film d’Elisabeth Perceval et Nicolas Klotz (2018, Arte, 1h24).

16-17h30 : Echange avec E. Perceval et N. Klotz, autour de la réalisation du diptyque tourné à Calais, dans la Jungle, « L’Héroïque lande » (2017) / « Fugitif, où cours-tu ? » (2018)
Dialogue autour des lieux emblématiques des luttes contemporaines et la manière dont ils sont représentés par le cinéma et la photographie, en compagnie de Caroline Zéau (historienne du cinéma documentaire) et des photographes Elisa Larvego et Gilles Raynaldy (pour leur travail sur Calais) et Louis Matton (pour son travail à Notre-Dame des Landes).

17h30-18h30 – Table ronde collective, orchestrée par Caroline Zéau
« Formes esthétiques / engagements politiques : quelles filiations et quelles ruptures de Mai 68 à aujourd’hui ? »

COUR FANTON
34 rue du docteur Fanton, 13200 Arles

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Mardi 19 juin 2018 à 21h : projection du film « Mizike Mama » de Violaine de Villers

Mardi 19 juin 2018 à 21h : projection du film « Mizike Mama » de Violaine de Villers

Mizike Mama de Violaine de Villers

Belgique, 1992, coul., 52 min

Marie Daulne conte l’Afrique, terre de sa mère, l’Europe, terre de son père. Elle apprend le chant avec sa mère zaïroise dans la plus pure tradition orale. À l’écoute du jazz, du gospel, des chants pygmées, elle harmonise ces sons, ces rythmes et les voix des « Zap Mama » s’enchaînent dans une réjouissante polyphonie et polyrythmie.

la projection est suivie d’un débat avec la réalisatrice.

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15 juin 2018 9h à 18h Femmes archivées / Femmes archivistes Quelles mémoires urbaines en images ?

15 juin 2018 9h à 18h Femmes archivées / Femmes archivistes Quelles mémoires urbaines en images ?

Femmes archivées / Femmes archivistes Quelles mémoires urbaines en images ?
Journée d’étude .      15 juin 2018 .     9h – 18h
Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville .    Amphithéâtre Central
60 boulevard de la Villette 75019 Paris

Premier jalon d’un programme de recherche exploratoire intitulé « Des contre-regards documentaires ? Les mondes urbains photographiés et filmés par les femmes » porté par le collectif Penser l’urbain par l’image du Labex Futurs Urbains, cette journée d’étude vise à interroger la transmission d’une mémoire urbaine des femmes s’appuyant sur des pratiques de documentation visuelle, et en particulier sur le film et la photographie. A partir d’un ensemble de projections, de présentations d’ouvrages et de performances à la croisée de l’art et de la recherche en sciences humaines et sociales, elle questionnera la portée féministe d’images produites et/ou regardées par des femmes depuis leur expérience urbaine.

PROGRAMME 

Accueil 9h30

Introduction par Cécile Cuny et Anne Jarrigeon

10h – 11 h
Le logement social raconté par les femmes : archives de l’INA (1960-1980). par Laetitia Overney (ENSA Paris Belleville, Ipraus) La télévision des années 1960 nous fait découvrir un nouveau monde : les grands ensembles, les formes architecturales inédites, les femmes qui les habitent. Les femmes sont les figures centrales de ces nouveaux quartiers quand les hommes sont au travail à l’extérieur de la cité. Que racontent-elles alors de leur logement social enfin obtenu après des années de mal logement ? Quelles pratiques et quelles attitudes, quels savoirs et savoirs faire sont alors mis en vue par les documentaires de la télévision ? Des années 1960 aux années 1980, les effets de l’urbanisation sur l’émancipation des femmes de milieu populaire affleurent à l’écran. discutante : Hortense Soichet (photographe, Lab’Urba)

 

11h – 12h
Le parcours singulier du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir : de la vidéo militante à l’éducation à l’image
par Nicole Fernandez Ferrer programmatrice, archiviste et déléguée générale du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir. Le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir a été créé en 1982 par Carole Roussopoulos, Delphine Seyrig et Ioana Wieder. Militantes féministes impliquées dans la pratique de la video, elles ont mis au coeur de leurs objectifs, la conservation, la mise à disposition et la valorisation des vidéos produites depuis la fin des années 60 avec l’apparition de la vidéo légère. Elles ont poursuivi au sein du centre la production de nouveaux films concernant l’histoire des femmes, leurs droits, leurs luttes, leurs créations. Impliqué dans l’éducation à l’image et la lutte contre les stéréotypes liés aux représentations sexuées dans l’audiovisuel, le Centre audiovisuelle Simone de Beauvoir intervient également dans les prisons. Il produit et réalise des films et travaille en collaboration avec des artistes à travers le collectif Travelling féministe, et en mettant ses archives à la disposition des créatrices qui souhaitent les utiliser pour nourrir leur création.

Discutante : Anne Jarrigeon (LVMT)

 

12h – 13h

Projection Débat : Ainsi soient-elles documentaire, 30 min, production Varan, 2015 avec la réalisatrice Anne Jarrigeon et la monteuse Cécile Perlès A l’occasion d’un stage, la jeune Tara découvre l’univers intellectuel et l’engagement de Christine et Catherine, les deux fondatrices de la librairie féministe Violette and Co. De l’accrochage des expositions artistiques aux conversations chuchotées au milieux des livres, en passant par les rencontres littéraires organisées dans la mezzanine bien connue des habitué.e.s de ce lieu unique en son genre, le film, réalisé sans interview dans la lignée du « cinéma direct », interroge la transmission de la contre-culture féministe et la résistance à l’invisibilisation des savoirs de femmes. Il donne à voir en toile de fond comme au premier plan ces innombrables oeuvres, noms et visages scandaleusement méconnus en dehors des cercles de spécialistes et de militant.e.s. Avec Tara Baret, Christine Lemoine, Catherine Florian, Christine Planté et Michelle Perrot discutante : Alexa Färber (Hafencity University, Hambourg)

13 h 14h 30 – déjeuner 14h30 –

16h Projection – Débat : Nayère, les chants de la liberté documentaire, 54 min, 2005*
avec la réalisatrice Mina Saïdi Sharouz (ENSA La Villette, LAVUE) Mina Saïdi Sharouz est née en Iran où elle continue de se rendre régulièrement. Sa mère, Nayère Saïdi fut une poétesse et femme publique qui toute sa vie incarna l’image de la femme moderne dans le Téhéran d’avant la révolution islamique. Dans un double questionnement sur la situation des femmes iraniennes aujourd’hui et sur l’oeuvre de sa mère, la réalisatrice cherche à tisser un lien entre les actions engagées du temps de Nayère et la réalité de la condition féminine actuelle. En rencontrant des femmes de tous milieux, militantes ou pas, qui ensemble font évoluer l’image et la place des femmes dans leur pays, elle parvient à dresser un tableau complexe et touchant d’une société féminine iranienne volontaire, combative et en marche vers l’égalité des droits. *Coproduction la Huit production et la télévision belge (RTBF/ La Huit Production/Anisseh nama), France- Iran discutante Lucinda Groueff (Lab’urba)

Pause 16h -16h-20

 

16h20 – 18h Photographies – lecture / performance : Esperem
Présentation du projet photographique Esperem par les femmes gitanes de la cité de l’Espérance de Berriac (Aude), la photographe Hortense Soichet (Lab’Urba), Julie Marty et Eric Sinatora (Graph-CMI) Lecture performance des femmes gitanes mise en scène par Marie Christine Azema Depuis vingt ans, une quinzaine de femmes gitanes participent à des ateliers photographiques organisés par Éric Sinatora, directeur du G.R.A.P.H-CMI, association d’éducation populaire à l’image, dans l’Aude. De novembre 2013 à avril 2015, la photographe Hortense Soichet est invitée en résidence. Ce projet conçu comme un terrain d’expérimentation de la photographie sociale vise à conserver la mémoire d’un quartier particulier voué à la démolition. Il fait le lien entre plusieurs générations et témoigne des modes de vie et d’habiter gitans, de l’évolution du statut des femmes en particulier, et dénonce les clichés. Les femmes ont, par une mise en miroir de leur propre communauté, créé un discours visuel, qui relève à la fois de l’anthropologie de la vie quotidienne et de l’esthétique. Soucieuses de perpétrer une tradition de transmission orale de leur culture, les femmes gitanes ont participé à la réalisation d’entretiens auprès des habitants de la cité de l’Espérance qui apparaissent sous formes de textes dans l’ouvrage Esperem (Hortense Soichet et les femmes gitanes de la Cité de l’Espérance, Esperem, Grâne, Créaphis, 2016). La force de ces textes a rendu évidente la nécessité de les faire sortir du livre afin de les partager avec un public plus large que celui concerné par l’ouvrage. Pour les accompagner dans cette démarche, Marie-Christine Azema, metteure en scène de la compagnie Ze Regalia a été sollicitée. Ce travail a donné naissance à une lecture mise en jeu d’une heure avec la participation de l’ensemble du groupe.
Discutante Anne Jarrigeon (Ecole d’urbanisme de Paris, LVMT)

 

Informations pratiques
Accès

Ecole nationale supérieure d’architecture de Belleville
60 Boulevard de la Villette, 75019 Paris
Métro ligne 2 – Station Colonel Fabien ou Belleville

Contact
anne.jarrigeon@univ-paris-est.fr
cecile.cuny-robert@univ-paris-est.fr

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Jeudi 24 mai à la cinémathèque de Toulouse Les LIP de Carole Roussopoulos & le militantisme féministe après 68

Jeudi 24 mai à la cinémathèque de Toulouse Les LIP de Carole Roussopoulos & le militantisme féministe après 68

Séance présentée par Nicole Fernández Ferrer, déléguée générale du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, et suivie d’une discussion
Jeudi 24 mai 2018, 21h00 

Jean Genet parle d’Angela Davis
Carole Roussopoulos
1970. Fr. 8 min. N&b. DCP.

Les Enfants du gouvernement
Claude Jourde
1974. Fr. 39 min. N&b. DCP.

Kate Millett parle de la prostitution avec des féministes
Catherine Lahourcade, Anne-Marie Faure-Fraisse, Syn Guérin
1975. Fr. 20 min. N&b. DCP.

SCUM Manifesto
Carole Roussopoulos, Delphine Seyrig
1976. Fr. 28 min. N&b. DCP.

Le militantisme féministe. La déclaration de Jean Genet suite à l’arrestation d’Angela Davis, une militante du Black Panther Party, la grève des élèves dans un collège réservé aux mineures enceintes, la grève des prostituées et les débats qui s’ensuivent, et la comédienne Delphine Seyrig face à la caméra de Carole Roussopoulos pour une lecture mise en scène de SCUM Manifesto, le livre de Valérie Solanas. Quatre films qui témoignent d’une bouillonnante activité entre protestation, discussion et expérimentation.

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22 mai 2018 18h30 « Carole Roussopoulos, une femme à la caméra » de Emmanuelle De Riedmatten

22 mai 2018 18h30 « Carole Roussopoulos, une femme à la caméra » de Emmanuelle De Riedmatten

Mardi 22 mai 2018 18h30 au Forum des images
Dans le cadre d’une séance Éclairages :
projection du film  « Carole Roussopoulos, une femme à la caméra » de Emmanuelle de Riedmatten
Suisse , 2016, coul. & n. et bl., vidéo, 76 min

Suivie de l’analyse de Nicole Fernandez Ferrer (déléguée générale du centre Simone de Beauvoir)

Documentaire consacré au travail de la cinéaste Carole Roussopoulos, pionnière de la vidéo et militante féministe. Archives et entretiens avec ses proches alternent avec des extraits de ses films, qui sont autant de témoignages des luttes féministes, LGBT,  sociales et d’émancipation des minorités.

ÉCLAIRAGES
Nicole Fernandez Ferrer revient sur le parcours de Carole Roussopoulos, pionnière de la vidéo et militante féministe, confondatrice du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder en 1982.

Séminaire organisé dans le cadre d’Éclairages, rendez-vous mensuel ouvert à tous, sur réservation (dans la limite des places disponibles) où chaque mois, un spécialiste, professionnel, chercheur, critique, historien examine une question au prisme des représentations qu’en propose le cinéma documentaire.

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