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~~~~ Congés d’été ~~~~                            L’équipe du Centre, en congés d’été jusqu’au 18 août 2024, aura le plaisir de vous retrouver le 19 août 2024.  Passez un bon été !

~~~~ Congés d’été ~~~~ L’équipe du Centre, en congés d’été jusqu’au 18 août 2024, aura le plaisir de vous retrouver le 19 août 2024. Passez un bon été !

L’équipe du Centre, en congés d’été jusqu’au 18 août 2024, aura le plaisir de vous retrouver le 19 août 2024.

Passez un bon été !

Notez la date du jeudi 12 septembre 2024 : projection du film O que podem as Palavras de Luísa Marinho & Luísa Sequeira. Portugal, 2022. Au cinéma le Luminor Hôtel de ville, à Paris.

© Archipop, Collection BOMY – 1983-90, Fontaine-sur-Somme, jeu-ping-pong

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
Exposition « Precursores: feminismes, càmera en mà i arxiu a l’espatlla ». Du 11 juillet au 17 novembre 2024 à la Filmoteca de Catalunya (BCN).

Exposition « Precursores: feminismes, càmera en mà i arxiu a l’espatlla ». Du 11 juillet au 17 novembre 2024 à la Filmoteca de Catalunya (BCN).

Du 11 juillet au 17 novembre 2024.

à la Filmoteca de Catalunya 
Plaça de Salvador Seguí, 1, Ciutat Vella, Barcelona, Espagne.

Entrée libre

Exposition organisée par la Filmoteca de Catalunya, à partir de l’exposition Défricheuses : féminismes, caméra au poing et archive en bandoulière, organisée par la Cité internationale des Arts en partenariat avec le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans le cadre du Festival d’Automne 2023.

L’exposition:  

Sous le commissariat de Nicole Fernández Ferrer et Nataša Petrešin-Bachelez (responsable de la programmation artistique et culturelle à la Cité internationale des arts), l’exposition Precusores : feminismes, càmera in mà i arxiu a l’espatlla, est une déclinaison de exposition Défricheuses : féminismes, caméra au poing et archive en bandoulière, présentée à la Cité internationale des Arts en 2023.

Adaptée par la Filmoteca de Catalunya, l’exposition retrace l’histoire culturelle et visuelle du féminisme en France dans les années 1970 et 1980 à travers la fondation du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir par trois femmes – Delphine Seyrig, Carole Roussopoulos et Ioana Wieder–, tout en établissant un contrepoint avec la création contemporaine espagnole, catalane et internationale.

Les vidéos du fonds du Centre, proposent une cartographie des luttes du moment : du droit à l’avortement et à la liberté sexuelle à la guerre du Vietnam ou à l’antipsychiatrie dans un cadre résolument international et proposent un dialogue entre générations de vidéastes et d’artistes féministes qui dépasse la scène française. Ainsi, l’exposition se concentre sur une histoire médiatique alternative dans laquelle l’activisme et la culture visuelle jouent un rôle prépondérant.

Programmation :

11 juillet – 19 heures

Projection de SCUM Manifesto, de Delphine Seyrig et Carole Roussopoulos. France, 1976, 26 min.

Séance gratuite et présentée par les deux commissaires Nicole Fernández Ferrer et Nataša Petrešin-Bachelez.

12 juillet – 19 heures

Table ronde Feminismes i vídeo: l’experiència del Centre audiovisuel Simone de Beauvoir. 

En présence de Nicole Fernández Ferrer, avec Marta Selva et Anna Solà, fondatrices de Drac Màgic et de la Mostra Internacional de Films de Dones de Barcelona.

Organisation :

 

En partenariat avec :

 

Publié par Préau Peggy dans Agenda
« Les mères veilleuses » de Vanessa Gauthier. Mardi 2 juillet 2024 à 20h au Luminor-Hôtel de Ville. Séance suivie d’une rencontre avec la réalisatrice Vanessa Gauthier

« Les mères veilleuses » de Vanessa Gauthier. Mardi 2 juillet 2024 à 20h au Luminor-Hôtel de Ville. Séance suivie d’une rencontre avec la réalisatrice Vanessa Gauthier

Les mères veilleuses

de Vanessa Gauthier
France, 2021, 61 min. Production : Les Films d’un Jour et Onna Films

Mardi 2 juillet 2024 à 20 heures.

La séance sera suivie d’une rencontre avec la réalisatrice Vanessa Gauthier.

Au cinéma le Luminor Hôtel de Ville, 20 Rue du Temple, 75004 Paris

Billetterie en ligne.

Séance organisée en partenariat avec le cinéma Luminor Hôtel de Ville, et avec le soutien de la Cinémathèque du documentaire et de la Mission Cinéma de la Ville de Paris

Le film :

Pendant six ans, la réalisatrice Vanessa Gauthier accompagne le parcours de combattantes de deux artistes : Avela et Rébecca. Leur point commun : chacune a un enfant atteint de diabète de type 1. Portrait intimiste, le film propose une réflexion sur la parentalité et sur la création artistique, tout en portant un regard plein de tendresse sur une relation complexe, celle qui unit une mère à son enfant. Avec un intrus dans l’équation : la maladie.

La réalisatrice Vanessa Gauthier :

Après une formation littéraire, Vanessa Gauthier se dirige dans l’audiovisuel et passe une quinzaine d’années à la programmation et à la production de chaînes cinéma. Elle réalise son premier film en 2016, Pour quelques barres de chocolat qui offre un regard sur l’enfance confrontée à la maladie, et poursuit la réalisation avec des programmes et documentaires qui se saisissent d’enjeux sociétaux majeurs : une web-série, Génération Type 1, dans laquelle elle aborde le quotidien avec un diabète chez les adolescents. Avec Naissances à vif, elle questionne les violences gynécologiques et obstétricales chez des jeunes femmes en situation de handicap, et avec Mon restaurant 2.0, elle s’intéresse à deux restaurateurs sourds face aux confinements successifs. Les Mères Veilleuses pousse sa réflexion sur l’enfance et la maladie encore plus loin à travers le portrait de deux femmes, mères d’enfants avec un diabète, et leur cheminement sur 6 années pour conduire leurs enfants vers l’autonomie. Elle poursuit sa volonté de sensibiliser avec Diabète, une vie en équilibre sur le quotidien de personnes sourdes avec un diabète pour la collection documentaire L’Oeil et la Main sur France 5. Elle créé sa société de production Onna Films en 2021, avec pour vocation le développement de films à dimension sociale et féministe.

Publié par Préau Peggy dans Agenda
Dimanche 16 juin 2024 à 11h : « Les Festins d’Abraham Ségal » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Dimanche 16 juin 2024 à 11h : « Les Festins d’Abraham Ségal » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Séance spéciale Les Festins d’Abraham 

Un programme de films et d’extraits d’archives sélectionnés et présentés par Abraham Ségal

au Cinéma Le Luminor Hôtel de ville, Paris / Dimanche 16 juin 2024 à 11h

Nous aurons le plaisir de vous accueillir dès 10h45 autour de chouquettes, d’un thé, café et de jus de fruit.

Vous pourrez réserver vos places ici ! à partir du mercredi 12 juin 2024.

Présentation

En ce dimanche matin nous évoquerons par des images et des paroles une expérience dont la mémoire m’accompagne depuis des dizaines d’années, souvenirs du chemin que j’ai eu la chance de parcourir en compagnie de Delphine Seyrig et du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir. Il sera donc question de ma relation amicale, d’abord avec Delphine et par elle avec le Centre. Ce sont des rencontres qui se sont déroulées sur deux décennies, entre le début des années 1970 et l’été 1987, expériences vitales dont les échos résonnent toujours en moi. Ce chemin est parsemé de films et de vidéos, à commencer par un montage de diapositives – Femmes du Vietnam – réalisé en 1974 par Delphine et Sami Frey, qui se sont inspirés de l’action engagée par Jane Fonda aux États-Unis. J’ai aidé à la diffusion de ce montage dans le réseau du Cinéma parallèle issu en 1968 des États généraux du cinéma. Par la suite nous nous sommes impliqués, chacun de son côté, dans des expériences cinématographiques qui témoignent des rapports complexes entre folie(s) et pratiques artistiques : en 1975 Delphine incarne Aloïse dans le film de Liliane de Kermadec et dix ans plus tard je réalise Paroles à vif, 3ème volet de Hors les murs.
Notre parcours commun aboutit à Couleurs Folie, film – rencontre entre Delphine Seyrig et Mary Barnes, puis culmine avec l’évènement de Films et Folies, festival unique en son genre, qui s’est déployé entre octobre 1986 et juillet 1987 en une quarantaine de villes entre Paris et le Festival d’Avignon.
Films et Folies a été organisé et animé par le Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir et le Collectif Traverse, composé notamment de psys et de « psychiatrisés », personnes qui ont vécu une expérience de traitement psychiatrique. Je vais essayer de concocter avec vous le menu de ce festin. (Abraham Ségal)

Abraham Ségal

Abraham Ségal est né à Bucarest en 1937. Il étudie la philosophie et l’histoire à l’université de Jérusalem. Il publie des critiques dans La revue du cinéma – Image et son, CinémAction et L’Avant-Scène du Cinéma et est l’auteur d’un ouvrage consacré aux films de S.M. Eisenstein.
A partir de 1971, il se lance dans la réalisation de films avec B.A.BA qui obtient la Mention Spéciale du Prix Georges Sadoul. En 1978, La vie, t’en as qu’une, film qu’il a coréalisé avec Denis Guedj et Jean-Pierre Pétard, est sélectionné au Festival de Cannes dans la section Perspectives du cinéma français. Il remporte en 1986 le Prix de la qualité du C.N.C pour Hors les murs (3 films de 52 minutes).
À la suite de Couleurs Folie, court-métrage autour d’une rencontre entre Delphine Seyrig et Mary Barnes, il crée et organise avec Delphine Seyrig, Le Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir et le Collectif Traversesle Festival Films et Folies.
En 1989 il réalise Van Gogh, la revanche ambiguë, récompensé par le Prix du Public au Festival international du film documentaire de Nyon. En 1996, il tourne Enquête sur Abraham qui est diffusé à la télévision et sort en salles en 1997. Engagé dans le collectif  Trop, c’est trop ! qui milite contre l’occupation et la colonisation des Territoires palestiniens et pour un vrai dialogue entre Israéliens et Palestiniens, il réalise en 2003 Témoins pour la paix. En 2009 il réalise La parole ou la mort sur les dangers du fondamentalisme et les moyens de le contrer, avec la participation de Daniel Barenboïm et de Leïla Shahid. Plus récemment, il s’est intéressé à la figure d’Albert Camus, en réalisant successivement Quand Sisyphe se révolte en 2013 et Camus, de l’absurde à la révolte en 2014. Fin 2017 sort en salles Enseignez à vivre ! – Edgar Morin et l’éducation innovante. Il vient d’achever Et la vie va… , qui sera projeté en avant-première lors du Festival d’Avignon.

Extrait de Couleurs Folie (1986), réalisé par Abraham Ségal

Projection organisée avec le soutien de la Cinémathèque du documentaire et la Mission cinéma de la Ville de Paris.

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Mardi 28 mai 2024 : « Hommage à Sarah Maldoror » avec Annouchka de Andrade et Mariann Mathéus au Forum des Images.

Mardi 28 mai 2024 : « Hommage à Sarah Maldoror » avec Annouchka de Andrade et Mariann Mathéus au Forum des Images.

Dans le cadre de la soirée 100% DOC, le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir présente : 

Mardi 28 mai à 20h45

Hommage à Sarah Maldoror

un programme de courts-métrages et d’extraits de films de Sarah Maldoror, présentés par la programmatrice Annouchka de Andrade, avec la participation de Mariann Mathéus, musicienne et comédienne.

Programme : 

Sarah Maldoror pose son regard singulier sur des personnages du théâtre des Griots, sur la chanteuse haïtienne Toto Bissainthe, sur l’écrivaine Assia Djebar ou encore Christiane Diop, éditrice à Présence africaine. La séance sera suivie d’une rencontre avec Annouchka de Andrade.

Les films suivants seront présentés :
Sambizanga (Extraits) de Sarah Maldoror (Angola, France, 1972, 102 min)
Toto Bissainthe de Sarah Maldoror (France, Haïti, 1984, 4 min)
Ouverture du Théâtre Noir à Paris de Sarah Maldoror (France, 1980, 6 min)
Christiane Diop de Sarah Maldoror (France, 1985, 6 min)
Assia Djebar de Sarah Maldoror (France, 1985, 7 min)
Et les chiens se taisaient – D’Aimé Césaire de Sarah Maldoror, Bernard Favre et Vincent Blanchet (France, 1978, 13 min)
Ana Mercedes Hoyos de Sarah Maldoror (France, Colombie, 2008, 13 minutes)

Lieu :

Forum des images
2 Rue du cinéma, 75001 Paris.

Billetterie en ligne ici.

Sarah Maldoror

Sarah Maldoror, cinéaste française, née d’un père guadeloupéen et d’une mère gersoise, pionnière du cinéma panafricain, engagée politiquement, s’attache à traduire en images le mouvement culturel, social et politique de la négritude, entre autres. Une nouvelle syntaxe visuelle et narrative pour une identité différente. Son travail a commencé au théâtre avec la création de la première compagnie de théâtre entièrement noire – Les griots – et après avoir étudié le cinéma à Moscou, elle a rejoint les mouvements internationaux de décolonisation en Afrique. Elle accorde une importance fondamentale à la solidarité entre les opprimés, à la répression politique, et à la Culture comme unique moyen d’élévation d’une société. Son œuvre est celle humaniste résolue qui célébra l’engagement de l’artiste et l’art comme acte de liberté.
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Annouchka de Andrade

Avec plus de 30 ans d’expérience dans la coopération culturelle internationale, Annouchka de Andrade a travaillé avec un fort focus pour la création cinématographique notamment dans les pays andins, dans la production et à la direction du Festival International du Film d’Amiens. Au cours de ces dix dernières années, elle a collaboré étroitement avec Sarah Maldoror. A présent aux côtés de sa sœur Henda, elles développent des projets pour valoriser, préserver et sauvegarder l’œuvre de Sarah Maldoror et de Mario de Andrade, un couple dont l’engagement artistique et politique a marqué le XXème siècle.
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Mariann Mathéus

Guadeloupéenne, Mariann Mathéus a choisi d’embrasser la musique, et particulièrement la musique de ses ancêtres, dans sa totalité, inséparable du verbe et de la danse. Autrice, compositrice et interprète, elle rencontre à ses débuts Toto Bissainthe, avec qui elle forme le groupe Chants Populaires d’Haïti. Après avoir tourné et enregistré avec elle, Mariann Mathéus enchaîne pièces et spectacles musicaux. En dehors d’Aimé Césaire, elle a interprété des auteur-es majeurs de la Caraïbe comme Simone Schwarz-Bart, Maryse Condé et Vincent Placoly.
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Projection organisée en partenariat avec 

 

 

 

et avec le soutien de

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Cycle « Contre-chant : luttes collectives, films féministes » du 19 avril au 4 juillet 2024 au Centre Pompidou.

Cycle « Contre-chant : luttes collectives, films féministes » du 19 avril au 4 juillet 2024 au Centre Pompidou.

Une programmation Cinémathèque du documentaire à la BPI & Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.

À partir du travail des trois fondatrices du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, Carole Roussopoulos, Delphine Seyrig et Ioana Wieder et de collectifs ou vidéastes présentes dans notre collection, la Cinémathèque du documentaire à la BPI présente en partenariat avec le Centre le cycle Contre chant : luttes collectives, films féministes, pour notamment entrer en dialogue avec des réalisations contemporaines. Avec des films cultes comme Sois belle et tais-toi ! de Delphine Seyrig et des vidéos rares, le programme fait la part belle aux rencontres avec le Centre mais aussi avec de nombreuses réalisatrices, des artistes comme Laura Mulvey, Pascale Obolo, Vivian Ostrovsky ou Marie Docher. Une séance dédiée à notre projet Genrimages est prévue le 3 mai, accompagnée par Laetitia Puertas (intervenante pour le projet, et initiatrice avec Nicole Fernández Ferrer des ses ateliers et du site avec Sophie Laurent).

La programmation complète est disponible sur ce lien.

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Séance d’ouverture du cycle « Contre-chant : luttes collectives, films féministes » 19 avril au 4 juillet 2024 à la BPI-Centre Pompidou. Une programmation Cinémathèque du documentaire & Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.

Séance d’ouverture du cycle « Contre-chant : luttes collectives, films féministes » 19 avril au 4 juillet 2024 à la BPI-Centre Pompidou. Une programmation Cinémathèque du documentaire & Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.

Vendredi 19 avril 2024 s’ouvre à la BPI, en collaboration avec le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, 
le cycle Contre-chant : luttes collectives, films féministes, qui se déroulera jusqu’au 4 juillet 2024 avec de nombreuses invitées.
Vous pourrez découvrir ou re-découvrir le film de Babette Mangolte Calamity Jane & Delphine Seyrig: A Story  (France, États-Unis, 2020)

Le film sera présenté par Babette et Nicole Fernández Ferrer.

 

Vous êtes invité-es  à cette séance d’ouverture.
Merci de bien vouloir confirmer votre présence ici : https://tinyurl.com/3s9c22ef
Retrouvez le programme complet ici :
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Avant-première du film « Patience, mon coeur » de Sophie Bredier Dimanche 31mars 2024 à  15h Cinéma du Réel

Avant-première du film « Patience, mon coeur » de Sophie Bredier Dimanche 31mars 2024 à 15h Cinéma du Réel

Projection en avant-première du film Patience, mon coeur de Sophie Bredier

Dimanche 31mars 2024 à 15h au Cinéma du Réel. Centre Pompidou Cinéma 1

La projection sera suivie d’une rencontre avec Sophie Bredier.

Je suis seule dans un appartement. En face, un lac. Je dois y plonger l’urne funéraire de ma mère, selon ses dernières volontés. Comment faire le deuil d’une “mauvaise » mère ? Comment lui rendre hommage sans se trahir ? Des fantômes surgissent, mes perceptions vacillent. Ma fille Lucie vient me délivrer du passé.

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Mardi 16 avril 2024 à 19h à la Cité audacieuse : projection de « Long Time Passing » de Masako Sakata suivie d’une rencontre avec la réalisatrice et la journaliste et activiste Tran To Nga.

Mardi 16 avril 2024 à 19h à la Cité audacieuse : projection de « Long Time Passing » de Masako Sakata suivie d’une rencontre avec la réalisatrice et la journaliste et activiste Tran To Nga.

Long Time Passing, de Masako Sakata
Japon, 2022, 60 min

Mardi 16 avril 2024 à 19h00
à la Cité audacieuse 9 rue de Vaugirard 75006 Paris
Accès libre sur réservation en écrivant à presse@centre-simone-de-beauvoir.com

La séance sera suivie d’une rencontre avec la réalisatrice Masako Sakata et avec la journaliste et activiste Tran To Nga.

Le film :

Après la mort soudaine de son mari photographe, Masako Sakata apprend qu’elle est certainement liée à l’agent orange, un défoliant utilisé pendant la guerre du Viêt Nam. Elle décide d’aller au Viêt Nam pour comprendre ce qui s’est vraiment passé. 20 ans plus tard, alors que les dommages de la guerre sont encore profondément ressentis, nous sommes également témoins de la résilience de personnes comme Tran To Nga, journaliste et militante qui lutte pour la défense des victimes de l’agent orange.

 

Une boîte à dons de produits périodiques géré par l’association Règles élémentaires sera disponible sur place.
Vous trouverez la liste de produits acceptés sur ce lien.

 

 

Projection organisée en partenariat avec :

 

 

 

 

 

Avec le soutien de :

 

 

 

 

 

 

 

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« La permission » de Soheil Beiraghi. Lundi 11 mars 2024 à 20h au Luminor-Hôtel de Ville. Séance suivie d’une rencontre avec Asal Bagheri

« La permission » de Soheil Beiraghi. Lundi 11 mars 2024 à 20h au Luminor-Hôtel de Ville. Séance suivie d’une rencontre avec Asal Bagheri

La permission

de Soheil Beiraghi
Iran, 2018, 85 min. Production : Filmiran et Noori Pictures

Lundi 11 mars 2024 à 20 heures.

La séance sera suivie d’une rencontre avec Asal Bagheri, spécialiste du cinéma iranien.

Au cinéma le Luminor Hôtel de Ville, 20 Rue du Temple, 75004 Paris

Billetterie en ligne.

Le film :

D’après une histoire vraie.
Afrooz est la capitaine de l’équipe féminine de futsal en Iran. Après 11 ans de travail acharné, son rêve devient réalité : l’Iran est en finale de la Coupe d’Asie des nations.
Mais au moment d’embarquer pour la Malaisie, elle apprend que son mari lui interdit de sortir du territoire. En Iran, une femme doit obtenir l’autorisation de son mari pour pouvoir voyager. Obstinée, Afrooz se bat pour sortir du pays, par tous les moyens.

Asal Bagheri :

Asal Bagheri est docteure en Sémiologie et linguistique. Spécialiste du cinéma iranien, elle est auteure de la thèse Les relations homme/femme dans le cinéma iranien post-révolutionnaire, stratégies des réalisateurs ; analyse sémiologique. Depuis septembre 2019 elle est enseignante à l’IUT Métiers du Multimédia et de l’Internet de l’Université de Cergy Pontoise. Son livre Sentiment, amour et sexualité. Les dilemmes du cinéma iranien de la République Islamique est en voie de publication. Elle est par ailleurs, formatrice et enseignante de français auprès de migrants en situation difficile. Elle est également traductrice et interprète pour des projets audiovisuels.

Publié par Préau Peggy dans Agenda