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Lundi 3 novembre à 19h à la Cité audacieuse : programme « On n’est jamais mieux servi.e que par soi-même » avec les artistes kimura byol lemoine et lamathilde

Lundi 3 novembre à 19h à la Cité audacieuse : programme « On n’est jamais mieux servi.e que par soi-même » avec les artistes kimura byol lemoine et lamathilde

On n’est jamais mieux servi.e que par soi-même un programme de films conçu par les artistes kimura byol lemoine et lamathilde
pour célébrer les 50 ans du Groupe Intervention Vidéo (GIV).

Projection lundi 3 novembre 2025 à 19h00

À la Cité audacieuse, 9 rue de Vaugirard 75006
La séance sera suivie d’une rencontre avec kimura byol lemoine et lamathilde.

Entrée libre en écrivant à presse@centre-simone-de-beauvoir.com

Le programme :
Ce programme célèbre les 50 ans du Groupe Intervention Vidéo (GIV). Le titre reflète le manque de nos représentations dans le domaine audiovisuel public. lamathilde et kimura byol lemoine ont choisi cinq artistes prolifiques lesbo-queer du GIV, de générations différentes (60s, début/fin 50s et 40s) et toujours en activité: Anne Golden, kimura byol lemoine, lamathilde, Dayna McLeod et Kim Kölle Valentine qui reflètent l’évolution des pratiques (supports, techniques) et des thèmes.

Les aventures de Ponygirl, Anne Golden, 2000, Quebec, Fiction 13:00, colour, English, StFr
The Pack, Anne Golden, 2015, Canada, 01:12, colour, No dialogue
The Trend, Anne Golden, 2020, QC/Canada, Exp., 04:23, colour, No dialogue
Triple axxxel, lamathilde, 2003, Canada, Animation, 03:30, couleurs, sans dialogue
Win-nip-egg, lamathilde, 2015, Québec, Exp., 04:12, couleurs, Français, Subs
Chants d’Amours, lamathilde, 2020, Québec, Exp., 03:15, couleurs, sans dialogue
Disadoption, kimura byol lemoine, 2008, Québec, Animation, 02:00, couleurs, Français, Subs
Oui mes noms, kimura byol lemoine, 2014, Canada, Exp., 01:40, couleurs, Français, Subs
TTT (Tㅌト), kimura byol lemoine, 2024, France/Canada, Exp., 03:33, colour, English, StFr
Madonna swimming, Kim Kölle Valentine, 2007, Canada, Exp., 02:39, colour, sans dialogue
Spot in the Sun, Kim Kölle Valentine, 2014, CA/UK, Exp., 13:22, colour, English, StFr
The Bathroom Tapes: My man, Dayna McLeod, 2000, Canada, Perf., 02:50, colour, English, StFr
Don’t Ask Don’t Tell Gay Gay Gay, Dayna McLeod, 2011, Canada, Exp., 01:11, colour, English, StFr
FouBARthes: The Death of the Author, Dayna McLeod, 2024, Canada, Exp., 03:05, colour, English, StFr

Les aventures de Ponygirl  • Une aventure parfois inquiétante à travers la vie mystérieuse de Ponygirl, super-héros de la nuit. Ponygirl possède des pouvoirs spéciaux, des accessoires extraordinaires et une façon unique de se déplacer à travers le monde. L’émotion et l’humour prévaudront-ils ?
The Pack • Des bêtes hargneuses.
The Trend • Un remix de sons et d’images des archives Prelinger qui présente les tendances de la mode.
Triple axxxel • Quintessence du corps cliché. Le patinage nous parle du genre…
win nip egg •  Quand un état fantômise une population, Dans une ville où se croisent les victimes de l’histoire coloniale et les récits dominants, une voix amorce un regard sur l’effacement des femmes et des minorités. Entre “win”, “nip” et “egg”, elle joue avec les mots et les identités, scrute la violence des corps et celles des discours — un geste visuel fragile et politique.
Chants d’Amours • Chants d’Amours est une œuvre vidéo percutante, fondée sur l’appropriation d’insultes homophobes et transphobes. En les réinterprétant, Lamathilde et ses ami·e·s 2ELGBTQ de Montréal transforment le stigmate en résistance poétique et politique, espérant faire naître plus d’amour, de dignité et de résilience à travers les mots.
Disadoption • Désadoption questionne la possibilité pour les parents d’annuler une adoption ou de « désadopter ». Dans cette animation, l’artiste transforme les paroles de « Ah vous dirai-je maman » en une réponse au courrier de son père « adoptif » en réutilisant ses propres termes.
oui mes noms •  oui mes noms est une vidéo-réponse à une simple question de présentation… « mais quel est ton nom… pour vrai » ou « mais comment veux-tu qu’on t’appelle… par quel nom? ». Alors, après quelques années de réflexion, voici ma réponse en 100 mots… sur une vidéo de 100 secondes.
TTT (Tㅌト) • Après le 100e « Le Testo du jeudi » (TTT), les références trilingues comme les alphabets romain et coréen (Hangeul) et l’alphabet syllabique japonais (Katana) du mot TRANS sur un sketch comique de Kě.
Madonna swimming • Madonna Swimming est une œuvre vidéo créée à partir d’images de clips vidéo de Madonna. Madonna est une figure culturelle de l’excès, son iconographie s’appropriant une culture visuelle saturée. Cette vidéo rassemble la Madonna qui fuit, ses images de sexualité et de religion, et présente finalement un produit plus ambigu.
Spot in the Sun • La tentative d’un.e artiste de recréer de mémoire Sans Soleil du cinéaste expérimental Chris Marker. Travaillant à partir de fragments, le film s’articule en un récit captivant. Il suit des schémas de pensée à travers des matériaux tels que Vertigo d’Alfred Hitchcock, Les Anneaux de Saturne de WG Sebald, The Waves de Virginia Woolf, et le combine avec des séquences personnelles et intimes, des images du paysage gallois, de San Francisco et bien sûr, le film préféré de Chris Marker animal.
The Bathroom Tapes: My man •  Ce film est le premier d’une série de clips vidéo entièrement tournés dans les pièces de mon appartement. Intéressées par le confinement domestique, la nidification et le confort du foyer, ces bandes jouent avec des aspects de la domesticité à travers des jeux de rôle et du déni dans un monde fantastique auto-construit qui n’est pas toujours agréable.
Don’t Ask Don’t Tell Gay Gay Gay • Je regarde la télé pour que tu n’aies pas à le faire. Comme les brefs résumés de description qui accompagnent souvent les programmes télévisés via un guide de câble à l’écran, Don’t Ask Don’t Tell Gay, Gay, Gay est un montage rapide/raccourci qui résume le contenu de l’épisode de la saison 4. 4 de, Boston Legal. Toutes les séquences *excédentaires* ont été supprimées pour capturer le reflet dominant et le ton du discours américain autour du DADT. Don’t Ask Don’t Tell Gay, Gay, Gay est un extrait de la saison 4, épisode 4 de Boston Legal.
FouBARthes: The Death of the Author • L’artiste de performance médiatique Dayna McLeod a demandé à ChatGPT d’écrire un dialogue de plus en plus sarcastique et passionné entre Roland Barthes et Michel Foucault sur La Mort de l’auteur, inspiré du célèbre essai de Barthes. Ce script est interprété par les acteurs de l’IA des théoriciens, avec le sosie de l’IA de Dayna, DaynAI, agissant comme hôte de leur débat.

Les réalisatrices :

Anne Golden est la directrice artistique de Groupe Intervention Vidéo (GIV) et a réalisé plus de cents vidéos mais aussi commissaire indépendante et écrivaine; ses programmes ont été présentés au Musée national des beaux-arts du Québec, Edges Festival et Queer Cinema City. Golden a participé à de nombreuses présentations sur les pratiques de conservation, la distribution indépendante et les films d’horreur. Golden est co-directrice artistique du Groupe Intervention Vidéo (GIV). Elle enseigne au département de Media Arts de John Abbott College. Son roman From The Archives Of Vidéo Populaires (Pedlar Press) a été publié en mars 2016. Golden a réalisé une vingtaine de vidéos, incluant Les Autres (1991), Fat Chance (1994), Big Girl Town (1998) and The Horror Cycle (2016, 2018), The Hall (2019), Rebound (2020) et The Hunter (2020), entre autres.
lamathilde – Mathilde Geromin alias lamathilde est une artiste de vidéo-performance-son, franco-canadienne établie à Montréal. Détentrice de bacs en communication et cinéma, et d’une maîtrise en linguistique, sa démarche est poétique, et ses œuvres reflètent sa passion pour les mots, les langages, le son et l’image. Ses créations très personnelles et politiques, sont caractérisées par une esthétique DIY et économe, des jeux de mots/d’images, et une bonne dose d’humour et de rhétorique. Les sujets qui la préoccupent le plus sont souvent sérieux et douloureux, et liés à l’identité à travers le genre, la sexualité, les rapports de force/oppressions sociales, et plus récemment, le trauma. Depuis 1999, son travail a été diffusé dans différents festivals et galeries à travers le monde. Entre autres FIFA – Montréal, Pink Screens – Bruxelles, Les instants vidéos–Marseille, Mix Festival – New York.
Dayna McLeod est une artiste médiatique et une performanceuse queer. Son travail passe par l’humour et capitalise sur l’exploitation des conditions sociales et matérielles du corps à travers des pratiques de cabaret, de durée, de remixage, de vidéo et d’installation. Ses intérêts de recherche artistiques et théoriques portent sur les représentations médiatiques de la sexualité, de l’identité queer et sur la façon dont les corps marqués de sexe féminin sont perçus comme propriété publique. Elle a remporté de nombreux prix, dont Le Prix Powerhouse de La Centrale Galerie Powerhouse en 2014 qui célèbre les femmes artistes à mi-carrière ayant contribuées de manière significative à la vie culturelle de Montréal ; divers Prix du public lors de festivals de cinéma et de vidéo comme le Prix du Public au Catégorie expérimentale à Cineffable, Festival International du film Lesbien et Féministe de Paris en 2019, et mentions Meilleur essai vidéo du British Film Institute en 2021, 2022 et 2023.
kimura byol lemoine – Le travail de kimura byol lemoine fascine par son ampleur et par son évolution au fil de ce qui semble être plusieurs vies, sur plusieurs continents : né.e en Corée du Sud, adopté.e en Belgique, l’artiste a cherché à se réintégrer en tant que Coréen.ne pendant plus de dix ans avant de finalement immigrer à Montréal où yel.le devient un.e acteurice actif.tive au sein des communautés artistiques, P.O.C, queer et féministes. Sa pratique artistique, qui pourrait également être considérée comme un archivage activiste, prend diverses formes : calligraphie, photographie, peinture, poésie, vidéo et collaboration. Par ces médiums, kimura byol lemoine aborde les questions d’identité, de genre, de race, de couleur de peau ainsi que celles de la diaspora et de l’immigration. Depuis 1988, kimura * lemoine a eu ses films/vidéos programmé.e.s dans de nombreux festivals, galeries et cinémas.
Kim Kölle Valentine se consacre à la vidéo, au dessin et au collage. Son processus est basé sur des intérêts pour la superposition de récits, le cinéma et la littérature, à travers lesquels elle a développé une banque d’images et d’idées. Son travail a été présenté dans des expositions solos à Dazibao (Montréal, CA), LUX (Londres, UK), VOX (Montréal, CA), Sporobole (Sherbrooke, CA) et k48 (Vienne, AT). Son travail a également été présenté dans le cadre d’expositions de groupe et de séances de projection, notamment au Festival du film documentaire et de la vidéo de Kassel, à la Biennale WRO, au FIFA Expérimental (Montréal), au Festival international du court métrage d’Oberhausen et à la Bienal de la Imagen en Movimiento (Buenos Aires). Elle a été artiste en résidence à KulturKontakt (Vienne, AT), Aberystwyth Arts Centre (Royaume-Uni), The Red Mansion Foundation (Pékin, CN), et au International Studio and Curatorial Program (Brooklyn, États-Unis).

https://vimeo.com/1129898335?share=copy&fl=sv&fe=ci

Publié par Préau Peggy dans Agenda
Jeudi 23 octobre 2025 à 20h30 au Luminor • Respirez bien, respirez lesbienne • programme avec Ferro’s Bar + Ma vie est ici + Une pièce où tu redeviens entière, suivie d’une rencontre avec les réalisatrices Clara Jeany et Annouk Bazile

Jeudi 23 octobre 2025 à 20h30 au Luminor • Respirez bien, respirez lesbienne • programme avec Ferro’s Bar + Ma vie est ici + Une pièce où tu redeviens entière, suivie d’une rencontre avec les réalisatrices Clara Jeany et Annouk Bazile

Notre prochaine projection à Paris :

RESPIREZ BIEN, RESPIREZ LESBIENNE

programme de trois court-métrages

Ferro’s Bar, réalisé par Cine Sapatão (Aline A. Assis, Fernanda Elias, Nayla Guerra, Rita Quadros), Brésil, 2023, 24 minutes
Ma vie est ici, réalisé par Clara Jeany, France, 2024, 26 minutes
Une pièce où tu redeviens entière, réalisé par Annouk Bazile, France, 2024, 19 minutes

Jeudi 23 octobre 2025 à 20h30.

Au cinéma le Luminor Hôtel de Ville, 20 Rue du Temple, 75004 Paris

La séance sera suivie d’une rencontre avec les réalisatrices Clara Jeany et Annouk Bazile.

Billetterie en ligne.  (Billets disponibles à partir du 22 octobre 2025)

Les films :

Ferro’s Bar
À partir des témoignages de lesbiennes qui fréquentaient le Ferro’s Bar, situé dans le centre de São Paulo de la fin des années 1970 au début des années 1980, nous découvrons la vie de ces femmes lesbiennes pendant la dictature militaire, la naissance du mouvement lesbien brésilien, et la “révolte du Ferro’s Bar », également connu sous le nom de « Stonewall brésilien ». Le Ferro’s Bar n’a  jamais été transformé en espace de mémoire, ignorant en cela les recommandations du rapport de la Commission nationale pour la vérité. Ce film vise à rétablir symboliquement ce bar comme lieu de mémoire lesbienne en le montrant avec ses aspects positifs et ses contradictions.

Ma vie est ici
Flora et Louise se sont rencontrées à Yaoundé, au Cameroun, il y a plus de six ans. Elles se sont aimées et, depuis, on ne peut pas vraiment dire qu’elles se soient quittées. En poussant les portes de l’association qui les héberge, je découvre l’histoire qui se cache derrière leur statut de « réfugiées » et les raisons de leur exil.

Une pièce où tu redeviens entière
A travers une balade aux Archives lesbiennes de Paris (ARCL), le film raconte la circulation d’histoires qui composent différentes strates des mémoires lesbiennes et d’ autres imaginaires. C’est l’histoire de la multiplicité des récits lesbiens qui cohabitent dans cet espace, où ils sont conservés et racontés. Un film sur la vie et la transmission des mémoires lesbiennes et féministes, à travers différents récits et des traces matérielles.

Les réalisatrices :

Cine Sapatão (Fernanda Elias, Aline A.Assis, Rita Quadros et Nayla Guerra)

Le collectif Ciné Sapatão est né à São Paulo en 2017 en tant que ciné-club gratuit avec pour objectif la visibilité des films avec des protagonistes lesbiennes et l’intersectionnalité. Puis, le collectif a mené des recherches, publié des articles scientifiques, organisé des expositions, proposé des cours, et co-organisé différents types d’événements en partenariat avec diverses institutions (SESC, Musée de la diversité, centre culturel de São Paulo, centres LGBT, organisations de défense des droits humains, São Paulo Lesbian and Bisexual Walk, etc). Le film Ferro’s Bar fait partie d’un projet plus vaste de collecte de la mémoire lesbienne brésilienne, que Cine Sapatão a mené à bien grâce à de nombreuses initiatives.

Clara Jeany
Clara Jeany est diplômée d’un master en études de genre et littératures francophones. En 2023, elle réalise son premier film dans le cadre du Master Empreintes du Réel de l’Université de Picardie – Jules Verne. Ses recherches et son travail s’articulent autour des enjeux de l’exil et des sexualités.

Annouk Bazile
Issue du Master Image & Société de l’Université d’Evry Paris-Saclay, cursus mêlant sciences sociales et réalisation documentaire, Annouk Bazile est une jeune réalisatrice dont Une pièce où tu redeviens entière est le premier film. A travers l’exploration de sujets poétiques et politiques, elle s’intéresse à la manière dont l’intime et le politique peuvent se croiser à l’écran. En expérimentant les techniques de narration visuelle et sonore, son travail mixe art et réflexion sociale.

 

Programme organisée en partenariat avec :
avec le soutien de :
Publié par Préau Peggy dans Agenda
Jeudi 11 septembre 2025 à 19h30 au cinéma le Luminor-Hôtel de ville / « Un jeu à soi » de Natalia Laclau et Julia Martinez Heimann, suivie d’une rencontre avec la footballeuse Shabnam Salahshoor

Jeudi 11 septembre 2025 à 19h30 au cinéma le Luminor-Hôtel de ville / « Un jeu à soi » de Natalia Laclau et Julia Martinez Heimann, suivie d’une rencontre avec la footballeuse Shabnam Salahshoor

Notre prochaine projection à Paris :

Un jeu à soi (Un juego próprio)

de Natalia Laclau et Julia Martinez Heimann, 2023, Argentine, 70 minutes. 

Une production : C-P Productions

Jeudi 11 septembre 2025 à 19h30.

Au cinéma le Luminor Hôtel de Ville, 20 Rue du Temple, 75004 Paris

La séance sera suivie d’une rencontre avec Shabnam Salahshoor (éducatrice & coordonnatrice sportive et défenseure des droits des femmes et des personnes réfugiées).

Billetterie en ligne.  (Billets disponibles à partir du 10 septembre 2025)

Le film :

À Buenos Aires, Lorena, Juliana et Luci jouent au foot. Leurs destins se croisent aussi lors des grandes mobilisations féministes. Avec créativité, elles vont conquérir un espace à la fois concret et symbolique. Lorena continuera-t-elle à jouer avec la sélection pour la coupe du monde ? Juliana sera-t-elle la première coach rémunérée pour entraîner une équipe féminine ? Et que fera Lucia avec les groupes d’entraides dans le bidonville de la Villa 31 ?

Les réalisatrices :

Natalia Laclau est designer, productrice audiovisuelle et éducatrice. Elle est spécialisée dans les projets liés aux questions de genre et de diversité et directrice des politiques culturelles pour l’égalité au sein du ministère des Femmes et de la diversité de la Province de Buenos Aires.

Julia Martinez Heimann est chercheuse et réalisatrice indépendante. Depuis 2009, à Buenos Aires, elle travaille dans l’enseignement public, réalise et produit des documentaires et des séries culturelles pour le cinéma et la télévision. Ses projets portent sur des sujets comme la danse et la migration, la philosophie et la politique. Ils s’intègrent dans les actions de l’association ACÁ (Asociación de arte, cultura y educación), dont elle est l’une des animatrices avec Natalia Laclau.

L’intervenante Shabnam Salahshoor : 

Footballeuse en Afghanistan, Shabnam Salahshoor, exilée en France, est aujourd’hui éducatrice, coordonnatrice sportive et défenseure des droits des femmes et des personnes réfugiées.

Publié par Préau Peggy dans Agenda
Mercredi 25 juin à 19h : Projection débat « Trois Femmes afghanes, des résistantes en exil » de Amie Williams et Aeyliya Husain

Mercredi 25 juin à 19h : Projection débat « Trois Femmes afghanes, des résistantes en exil » de Amie Williams et Aeyliya Husain

Trois femmes afghanes, des résistantes en exil un film réalisé par Amie Williams et Aeyliya Husain
France, Canada, Grèce – 2023, 60 minutes

Une production Les films d’ici
Projection Mercredi 25 juin 2024 à 19h00

À la Cité audacieuse, 9 rue de Vaugirard 75006
La séance sera suivie d’une rencontre avec la réalisatrice Amie Williams.

Entrée libre en écrivant à presse@centre-simone-de-beauvoir.com

Le film :
Poussées à l’exil par l’arrivée des Talibans au pouvoir en 2021 trois femmes politiques afghanes – Nilofar Moradi, Nargis Nehan et Zefnoon Safi – tentent de mobiliser la communauté internationale autour de la crise qui déchire leur pays et a anéanti deux décennies de progrès.
Depuis leur exil au Canada, elles voient reculer les droits des femmes et des filles à recevoir une éducation, travailler et exister dans la société. Déchues de leurs fonctions de députée, de ministre et de journaliste, elles doivent se réinventer pour retrouver un travail et une place dans le pays d’accueil et continuer leur lutte pour un Afghanistan démocratique juste et libre.

Les réalisatrices :

Amie Williams
Documentariste nord-américaine, Amie Williams vit en Grèce depuis plusieurs années. Son travail a été diffusé sur PBS, Al Jazeera English, BBC, et CBC Canada. Parmi ses documentaires, figurent : Uncommon Ground (1994), Stripped and Teased : Tales from Las Vegas Women (2009), Amasan – Women of the Sea (2009), et We are Wisconsin (2012), documentaire sur un groupe de personnes protestant contre le projet de réforme du gouverneur Scott Walker dans le Wisconsin et l’occupation du Capitole. Il a reçu un International Documentary Association Award. En 2010, elle cofonde l’organisation à but non lucratif Global Girls Media pour apprendre aux jeunes femmes à créer et diffuser du contenu journalistique numérique. L’objectif est de favoriser leur réussite scolaire, de promouvoir l’engagement communautaire et le changement social. Elle en est actuellement la directrice exécutive.

Aeyliya Husain est une réalisatrice de documentaires dont le travail, primé à maintes reprises, se concentre sur les questions de la représentation des femmes et la photographie. Elle a participé à des festivals internationaux, dont celui de Tribeca, où son film Shooting War (2016) a été nominé pour le meilleur court-métrage documentaire. Ce film traite de la guerre en Irak à travers l’objectif d’un photo-journaliste, et révèle les enjeux des images et l’histoire de la guerre elle-même. Son film Daughters of Revolution (2008) raconte l’histoire d’une avocate militante iranienne et son combat pour les droits des femmes en Iran. Son film The Fifth Region (2018) a été présenté en avant-première au ImagineNATIVE Film Festival (octobre 2018) et diffusé sur The Documentary Channel, SBS Australia, Knowledge Network, entre autres.

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
Mardi 27 mai 2025 à 21h00 : « Voyage de documentation de Madame Anita Conti » de Louise Hémon au Forum des Images.

Mardi 27 mai 2025 à 21h00 : « Voyage de documentation de Madame Anita Conti » de Louise Hémon au Forum des Images.

Dans le cadre de la soirée 100% DOC,

Mardi 27 mai à 21h00

Voyage de documentation de Madame Anita Conti

de Louise Hémon

France, 2024, 38 minutes, Hutong Productions

La séance sera suivie d’une rencontre avec la réalisatrice Louise Hémon.

Lieu :

Forum des images
2 Rue du cinéma, 75001 Paris.

Billetterie en ligne ici.

Le film : 

Première femme océanographe française, Anita Conti embarque en 1952 sur un chalutier de pêche à la morue en Atlantique. Avec sa caméra, seule femme à bord, elle va partager pendant 6 mois la dure vie de l’équipage de soixante hommes.

Le réalisatrice Louise Hémon 

Louise Hémon réalise des films et met en scène des pièces de théâtre. Formée à l’Atelier documentaire de la Fémis, ses documentaires de création (L’homme le plus fort, Une vie de château, Salomé) sont projetés dans des festivals internationaux tels que Hot Docs-Toronto, FIFIB-Bordeaux, dokumentART, Côté Court-Pantin et diffusés sur Arte et Canal+. Ses spectacles (Le Grand débat, Les océanographes, La Mort), co-signés avec Emilie Rousset, sont présentés au Festival d’Automne à Paris et au Princeton French Theatre Festival-USA. Mêlant documentaire et fiction, on peut aussi voir son travail vidéo dans des musées comme le Centre Pompidou, la fondation Lafayette Anticipations, le Mucem… Son premier long-métrage de fiction, L’Engloutie, est présenté à la Quinzaine des cinéastes – Cannes 2025.

Projection organisée en partenariat avec 

 

 

 

et avec le soutien de

Publié par Préau Peggy dans Agenda
Mardi 22 avril 2025 à 20h00 au cinéma le Luminor-Hôtel de ville / « Tinta Roja (À l’encre rouge) » en présence de la réalisatrice Carmen Guarini

Mardi 22 avril 2025 à 20h00 au cinéma le Luminor-Hôtel de ville / « Tinta Roja (À l’encre rouge) » en présence de la réalisatrice Carmen Guarini

Notre prochaine projection à Paris :

Tinta roja (À l’encre rouge)

de Carmen Guarini et Marcelo Céspedes, 1998, Argentine, 70 minutes. 

Mardi 22 avril 2025 à 20h00.

Au cinéma le Luminor Hôtel de Ville, 20 Rue du Temple, 75004 Paris

La séance sera suivie d’une rencontre avec Carmen Guarini

Billetterie en ligne.  (Billets disponibles à partir du 17 avril 2025)

Le film :

Le film explore les subtilités et le contexte politique et social du travail journalistique liées aux faits divers, aux affaires judiciaires et policières d’une manière réaliste et non dénuée d’humour. Comme une espèce de making off, il révèle la manière dont les informations sont fabriquées dans Crónica, un des journaux les plus importants d’Argentine. Tinta rojaest, outre le portrait de personnages attachants, le portrait d’une époque qui touche à sa fin : le journal papier, la fermeture précipitée, l’espace limité, toutes ces choses que l’internet emportera peu après.

La réalisatrice Carmen Guarini :

Carmen Guarini a obtenu son doctorat à l’université de Nanterre en France, où elle a étudié le cinéma anthropologique sous la direction de Jean Rouch. Chercheuse au CONICET et professeur d’anthropologie visuelle à l’université de Buenos Aires, elle est également directrice du département d’anthropologie visuelle (AAV-UBA) et maîtresse de conférences à la Escuela Internacional de Cine y Televisión de San Antonio de Los Baños (Cuba). Carmen Guarini est co-fondatrice de la société de production Cine-Ojo et depuis 2008, de la société El Desencanto Films, où elle réalise ses films les plus récents. Elle a travaillé en tant que productrice avec Andres di Tella, Edgardo Cozarinsky (entre autres)  et actuellement comme consultante pour le développement de projets documentaires et fictions. Actuellement, Carmen Guarini dirige le festival DocBuenosAires, dont elle est l’une des fondatrices.

Publié par Préau Peggy dans Agenda
Jeudi 20 mars 2025 à 20h30 au cinéma le Luminor-Hôtel de ville / Soirée dédiée à May Ayim + « Hoffnung im Herz » de Maria Binder

Jeudi 20 mars 2025 à 20h30 au cinéma le Luminor-Hôtel de ville / Soirée dédiée à May Ayim + « Hoffnung im Herz » de Maria Binder

Une projection lecture autour de May Ayim, poétesse essayiste et militante ghanéenne allemande

Hoffnung im Herz (Le coeur qui espère)

de Maria Binder, 1997, Allemagne, 39 minutes. 

Avec la participation de Mariann Mathéus, comédienne et musicienne , de Sarah Fila-Bakabadio, historienne en études américaines et afro-américaines et maîtresse de conférence à CY Cergy Paris Université, et d’Isabella Checcaglini, éditrice chez Ypsilon éditeur notamment d’ouvrages de May Ayim traduits en français (Blues en noir et blanc et Nouveau départ)

Jeudi 20 mars 2025 à 20h30.

Au cinéma le Luminor Hôtel de Ville, 20 Rue du Temple, 75004 Paris

Billetterie en ligne.  (Billets disponibles à partir du 19 mars 2025)

Le film :

Un documentaire émouvant sur la vie et la mort prématurée de May Ayim, poètesse, universitaire et personnalité politique germano-ghanéenne. May Ayim est l’une des fondatrices du Mouvement allemand noir. Ses recherches sur l’histoire des Afro-Allemands, mais aussi sa poésie politique, l’ont fait connaître en Allemagne et dans le monde entier. Ayim écrivait dans la tradition de la poésie orale et se sentait fortement liée à d’autres poètes noirs de la diaspora. La poésie lui a permis de confronter la société allemande blanche à ses propres préjugés. Ses Interviews et ses poèmes révèlent sa quête d’identité,  et éclairent la genèse du terme “afro-allemand”. Ce film porte un regard profond sur le vécu d’une jeune femme noire engagée lors de la réunification allemande.

La réalisatrice Maria Binder :

Maria Binder est réalisatrice de documentaires. Elle travaille comme scénariste, réalisatrice et productrice sur les thèmes des droits de l’homme, du genre et du racisme et a réalisé plusieurs films en Turquie. Son dernier film est EREN (2023). Son film Trans X Istanbul a reçu le prix du film FACE / Mention spéciale du Conseil de l’Europe en 2014. Autres films (sélection) : Trans *BUT – Fragments d’identité (2015), Qui êtes-vous pour parler ? (avec Verena Franke) (2006), Hoffnung im Herz (1997). Elle a étudié l’art vidéo à l’université des arts de Berlin, à Marburg, Regensburg et à l’université libre de Berlin, la sociologie, la politique et la psychologie.

La commedienne Mariann Mathéus :  
Comédienne, auteure, compositrice et interprète, Mariann Mathéus a joué dans des pièces d’Ina Césaire, Aimé Césaire, Simone Schwartz-Bart, Maryse Condé, Vincent Placoly, Jean Métellus. Plusieurs fois invitée au festival de Fort-de-France auquel elle participe comme chanteuse avec son propre groupe : tradition revisitée – Moun San MéLé et comme comédienne. Son amour pour la poésie l’amène à se produire très régulièrement dans des récitals où les poètes ont la part belle à côté des chansons de son répertoire.
L’historienne Sarah Fila-Bakabadio 
Sarah Fila-Bakabadio est historienne en études américaines et afro-américaines et maîtresse de conférences à CY Cergy Paris Université. Elle est rédactrice en chef de la revue African Diaspora (Brill), membre du laboratoire AGORA (EA 7392) et membre du comité éditorial des Editions Ròt-Bò-Krik.
L’éditrice Isabella Checcaglini :
Née en 1975 à Foligno en Italie, Isabella Checcaglini s’installe à Paris en 1994 où elle termine sa thèse sur l’œuvre de Mallarmé à l’université Paris 8 Vincennes/Saint-Denis. Elle fonde Ypsilon Éditeur pour poursuivre ses recherches littéraires d’une autre façon.
Publié par Préau Peggy dans Agenda
Mardi 25 février 2025 à 20h45 : « Au lendemain de l’odyssée » d’Helen Doyle au Forum des Images.

Mardi 25 février 2025 à 20h45 : « Au lendemain de l’odyssée » d’Helen Doyle au Forum des Images.

Dans le cadre de la soirée 100% DOC,

Mardi 25 février à 20h45

Au lendemain de l’odyssée

d’Helen Doyle

Québec, 2024, 85 minutes

La séance sera suivie d’une rencontre avec la réalisatrice Helen Doyle.

Lieu :

Forum des images
2 Rue du cinéma, 75001 Paris.

Billetterie en ligne ici.

Le film : 

Au terme d’un périple dantesque, des femmes venues du Nigéria, en quête d’une vie meilleure, rejoignent seules l’Italie. Celles qui le font sont de plus en plus jeunes. De la traite humaine à l’esclavage sexuel qui les attend, ce film choral propose des récits poignants traités avec beaucoup de pudeur. Tous ces parcours et ces histoires singulières d’exil nous entraînent vers une réflexion plus large sur la migration et l’altérité, et la rencontre avec l’Autre.

Le réalisatrice : Helen Doyle 

Scénariste et réalisatrice indépendante, Helen Doyle fut, en 1973, cofondatrice du groupe Vidéo Femmes avec Hélène Roy et Nicole Giguère. Elle y réalise et produit des documents percutants sur la vie des femmes, leurs droits, leurs créations. En 2000, elle fonde sa propre maison de production, Tatouages de la mémoire, et produira ses «inclassables». Son travail fait l’objet d’une rétrospective à la Cinémathèque québécoise au printemps 2009: L’Exil et l’engagement. Son film Dans un océan d’images reçoit le prix du Meilleur film canadien au FIFA, 3 prix Gémeaux (2014), dont celui du Meilleur documentaire, et une Étoile de la Scam. Le printemps 2015 marque la sortie de La liberté de voir – Helen Doyle cinéaste, un coffret réunissant ses réalisations, accompagné d’une monographie sur son œuvre. Son dernier film, Au lendemain de l’odyssée, a reçu des prix au Festival du film social en France et au Festival de film indépendant à Rome. 

 

Projection organisée en partenariat avec 

 

 

 

et avec le soutien de

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Dimanche 23 février 2025 à partir de 10h45 : « Les Festins de Vidéo Femmes » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Dimanche 23 février 2025 à partir de 10h45 : « Les Festins de Vidéo Femmes » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Séance spéciale Les Festins de Vidéo Femmes   

Une sélection de films et d’archives présenté.es par les réalisatrices Helen Doyle et Nicole Giguère, deux membres historiques de Vidéo Femmes, structure québécoise dédiée à la production de vidéos réalisées par des femmes.

au Cinéma Le Luminor Hôtel de ville, Paris / Dimanche 23 février 2025 à 11h

Nous aurons le plaisir de vous accueillir dès 10h45 autour de chouquettes, d’un thé, café et de jus de fruit.

Vous pourrez réserver vos places ici ! à partir du mercredi 19 février 2025.

Présentation

Vidéo Femmes (VF) était un collectif de vidéastes féministes dont la mission était de soutenir la création de vidéos indépendantes, réalisées par des femmes, et d’assurer le rayonnement des oeuvres de son catalogue auprès d’un vaste public. L’orientation artistique se caractérisait par la production d’oeuvres documentaires empruntant les différentes formes dans lesquelles le genre peut se décliner (portrait, faux-documentaire, documentaire social ou politique, web-doc, etc.) sur des sujets peu explorés jusqu’alors : violence, santé mentale, harcèlement sexuel, femmes en prison…

Helen Doyle et Nicole Giguère, membres de Vidéo Femmes, reviendront en images sur son histoire et échangeront avec le public à l’issue de la projection

 

Extrait de Vidéo Femmes par Vidéo Femmes  (1984), réalisé par Nicole Giguère et Lynda Roy, qui sera montré à l’occasion.

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Mercredi 29 janvier 2025 à 18h30 à la Cité audacieuse : projection de « De rêves et de parpaings » d’Anne-Sophie Birot et Laetitia Douanne + rencontre avec les réalisatrices

Mercredi 29 janvier 2025 à 18h30 à la Cité audacieuse : projection de « De rêves et de parpaings » d’Anne-Sophie Birot et Laetitia Douanne + rencontre avec les réalisatrices

Mercredi 29 janvier 2025

Projection-rencontre :  De rêves et de parpaings, en présence d’Anne-Sophie Birot et Laetitia Douanne. 

Mercredi 29 janvier 2025 à 18h30
à la Cité audacieuse 9 rue de Vaugirard 75006 Paris
Accès libre sur réservation en écrivant à presse@centre-simone-de-beauvoir.com

La séance sera suivie d’une rencontre avec les réalisatrices Anne-Sophie Birot et Laetitia Douanne.

Le film :

De rêves et de parpaings
réalisé par Anne-Sophie Birot et Laetitia Douanne

Année : 2024 Durée : 93 minutes
Pays de production : France
Production : Les filmeuses

Les EnChantières, association de femmes qui partagent les savoirs du bâtiment, se lancent dans la construction de leur propre atelier à Montreuil. Au départ utopique, ce grand chantier participatif ouvert à toutes, se transforme en une aventure collective émancipatrice, nourrie de révoltes et de rêves.

Les réalisatrices

Anne-Sophie Birot 

Diplômée de l’Institut d’Etudes politiques de Grenoble et de la FEMIS, Anne-Sophie Birot réalise un court et un long-métrage de fiction sur l’adolescence tumultueuse des filles (Une vague idée de la mer en 1997, Les filles ne savent pas nager, dist. Haut et Court, en 2000). Puis elle passe au documentaire et filme les résistances aux violences sociales et sexistes : le parcours de reconstruction d’une jeune fille victime de viol collectif (Les violeurs d’aurore, France 2, 2004), le voyage à Ravensbrück d’anciennes déportées politique (La route avec elles, 2007), le portrait d’une femme andalouse (Vanessa, Arte, 2008), la conscience politique des jeunes (La relève, Agat Films, 2012) etc. Elle enseigne également le cinéma au sein d’écoles, de centres de formation, de MJC et lycées.

Laetitia Douanne

Après des études de philosophie à Paris X Nanterre, Laetitia Douanne se forme au montage vidéo et son à L’Institut National de diffusion (IAD) en Belgique. Monteuse, elle a essentiellement travaillé sur des projets documentaires et notamment des films engagés auprès de la société Aligator Film. En parallèle, elle se forme à la menuiserie. En découvrant le projet de construction de l’atelier des femmes des Enchantières, s’impose à elle la nécessité de filmer ce chantier. Aujourd’hui, Laetitia Douanne est artisane bâtisseuse.

 

Projection organisée en partenariat avec :

 

 

 

 

 

Avec le soutien de :

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