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Mardi 19 avril 2022 à 21h Projection du film « Deux fois » de Jackie Raynal en sa présence

Mardi 19 avril 2022 à 21h Projection du film « Deux fois » de Jackie Raynal en sa présence

Mardi 19 avril 2022 à 21h au Forum des images, Paris

Projection du film Deux fois, film culte de Jackie Raynal en sa présence

France, 1968, 72 min

La séance sera suivie d’une rencontre.

« Deux fois pourrait aussi s’appeler : « Nous avions 20 ans et nous étions libres ». Les acteurs de ce film spontané – j’allais dire film-polaroid – ne sont autres que Francisco Viader, un metteur en scène de théâtre et acteur de renom, Sylvina Boissonnas, la financière du film, André Weinfeld, notre chef photo qui avait été celui du sublime Marie pour mémoire de Philippe Garrel, Néna Baratier, qui a su s’affranchir du montage en « montant » tous les plans, et moi-même, filmeuse de cette utopie. » Jackie Raynal

« Le cinéma au féminin nous fait redécouvrir ce que l’impérialisme de l’oeil avait réprimé : d’autres modes de montage d’impulsions où ce qui est vu et entendu change la perspective. »
Serge Daney, Les Cahiers du cinéma

Jackie Raynal
Jackie Raynal née en 1940 est réalisatrice, actrice, monteuse, programmatrice. Elle débute comme photographe pour se diriger très vite vers le cinéma et obtient en 1965 sa carte professionnelle de cheffe monteuse (chef monteur à cette époque ). Elle travaille pour Douchet, Rouch, Pollet, Rohmer, Godard et Chabrol.
En 1968, avec Sylvie Boissonas et Olivier Mosset, elle fonde le groupe Zanzibar, puis tourne à Barcelone son premier long-métrage Deux Fois (Grand Prix au Festival d’Hyères). Partie à New York elle dirigera de 1975 à 1992, le Carnegie Hall Cinema et le Bleecker Street Cinema en programmant des films indépendants internationaux.
Elle réalise New York Story (Grand Prix à Melbourne) et Hotel New York. Parallèlement elle joue dans plusieurs films et organise le Colombian Film Festival, Israël Film Festival ou Avignon Film Festival. De 1973 à 1986 avec Sid Geffen elle publie la revue de cinéma indépendant international 1000 Eyes Magazine. A partir de 2000, Jackie Raynal réalise de nombreux documentaires, comme Notes sur Jonas Mekas, Gougnette, La Nuit de l’ours.

Réservez vos billets ici

Forum des images
Forum des Halles 2 rue du cinéma
75001 Paris

En partenariat avec le Forum des images

Avec le soutien de la Mairie de Paris, la Fondation des Femmes, la Cinémathèque du documentaire.

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Carte blanche à la Cinémathèque de Bretagne. Mardi 22 mars 2022 à 20h au cinéma le Luminor-Hôtel de Ville, Paris

Carte blanche à la Cinémathèque de Bretagne. Mardi 22 mars 2022 à 20h au cinéma le Luminor-Hôtel de Ville, Paris

Mardi 22 mars 2022 à 20h
au cinéma le Luminor-Hôtel de Ville, Paris

Carte blanche à la Cinémathèque de Bretagne avec trois films :

– Y’à qu’à pas baiser ! de Carole Roussopoulos
France, 1971, 17 min

– Clito va bien réalisé par un collectif de femmes et le Planning familial de Brest
France, 1979, 34 min

– Mat et les gravitantes de Pauline Pénichout
France, 2019, 25 minutes

La séance sera suivie d’une rencontre avec Marie Carrez de la Cinémathèque de Bretagne
et la réalisatrice Pauline Pénichout

En partenariat avec

Avec le soutien de


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Dimanche 6 février 2022 à 11h : « Les Festins d’Annouchka » au cinéma le Luminor Hôtel de ville à Paris

Dimanche 6 février 2022 à 11h : « Les Festins d’Annouchka » au cinéma le Luminor Hôtel de ville à Paris

Séance spéciale Les Festins d’Annouchka

Un programme de films d’archives sélectionnés et présentés par Annouchka de Andrade 

au Cinéma Luminor Hôtel de ville, Paris / Dimanche 6 février à 11h

Quoi de mieux pour valoriser la richesse des collections du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir que de proposer encore plus de films, comme dans un copieux festin.
Je me propose de visiter les collections du centre audiovisuel et de mettre en regard une sélection de films avec ceux de la cinéaste Sarah Maldoror. Rechercher des correspondances, des pratiques, des thématiques communes qui parcourent l’œuvre de cette cinéaste.
Un apéritif joyeux et pétillant pour ouvrir l’appétit vers les cinémas d’autres femmes qui se sont battus contre les injustices et pour la diversité des goûts et des couleurs .
(Annouchka de Andrade)

Annouchka de Andrade

Avec plus de 30 ans d’expérience dans la coopération culturelle internationale, Annouchka de Andrade a travaillé avec un fort focus pour la création cinématographique notamment dans les pays andins, dans la production et notamment à la direction du Festival International du Film d’Amiens. Au cours de ces dix dernières années, elle a collaboré étroitement avec Sarah Maldoror.
A présent aux côtés de sa sœur Henda, elles développent des projets pour valoriser, préserver et sauvegarder l’œuvre de Sarah Maldoror et de Mario de Andrade, un couple dont l’engagement artistique et politique a marqué le XXème siècle.

Vous pourrez réserver vos places ici ! à partir du mercredi 2 février

Avec le soutien de la Fondation des femmes, de la Cinémathèque du documentaire et la Mission cinéma de la Ville de Paris

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Mardi 25 janvier 2022 à 18h30 projection « D’où vient cet air lointain ? Chronique d’une vie en cinéma » de Yannick Bellon

Mardi 25 janvier 2022 à 18h30 projection « D’où vient cet air lointain ? Chronique d’une vie en cinéma » de Yannick Bellon

Projection en présence de Eric Le Roy, chef du service accès, valorisation, enrichissement des collections

à la direction du patrimoine cinématographique du CNC et d’Anne Delabre, présidente du cinéclub le 7ème Genre

du dernier film de Yannick Bellon

D’où vient cet air lointain ? Chronique d’une vie en cinéma
France, 2018, 90 min 

Mardi 25 janvier 2022 à 18h30
au Forum des images
Forum des Halles, 2 rue du cinéma, 75001 Paris

La projection sera suivie d’une rencontre.

Des photos, des extraits d’archives, privées ou issues de l’actualité, illustrent le récit de Yannick Bellon quand elle raconte son enfance, son initiation culturelle auprès des amis de sa mère – la photographe Denise Bellon – sa propre carrière ou les soubresauts de l’histoire auxquels elle a assisté. Les Surréalistes, la guerre d’Espagne, la Seconde Guerre mondiale, un premier amour nommé Jean Rouch, des débuts au cinéma effectués à Nice sont autant de souvenirs égrenés au fil d’un documentaire aux accents très personnels.

Yannick Bellon
En huit longs métrages, elle a posé un nouveau regard sur des sujets tabous pour l’époque : la détresse d’une épouse après un divorce (La Femme de Jean, 1974), la banalisation du viol des femmes dans la société française (L’Amour violé, 1978), le cancer du sein (L’Amour nu, 1980), l’homosexualité masculine (La Triche, 1984), la destruction ornithologique liée à la pulsion de destruction masculine (L’Affût, 1992)… En différentes circonstances, au cinéma comme au théâtre, Yannick Bellon a pu bénéficier du soutien et de la complicité de sa sœur actrice et metteuse en scène Loleh Bellon, pour des sujets éminemment politiques, devenant ainsi féministe non par militantisme mais par son implication dans les sujets qu’elle a traités au cinéma dans une industrie qui ne laissait à ceux-ci aucune place. 
Yannick Bellon a énormément contribué à la place des réalisatrices dans le cinéma au même titre qu’Alice Guy et Agnès Varda, ouvrant les portes dans les années 1990 à une nouvelle génération de femmes qui pouvaient trouver grâce à sa ténacité la légitimité de développer leur propre parcours.
Extrait d’un article de Cédric Lepine (blog Médiapart)  22 novembre 2020

Filmographie de Yannick Bellon :

– Jamais plus toujours avec Loleh Bellon, Bulle Ogier, Bernard Giraudeau, Jean-Marc Bory (1976) 
– L’amour violé avec Nathalie Nell, Alain Fourès, Pierre Arditi, Michèle Simonnet, Daniel Auteuil (1978)
– Quelque part quelqu’un avec Loleh Bellon, Roland Dubillard, Hugues Quester (1972)
– La femme de Jean avec France Lambiotte, Claude Rich, Hippolyte Girardot (1974)
– L’amour nu avec Marlène Jobert, Jean-Michel Folon, Georges Rouquier, Jean-Claude Carrière (1981) 
– L’affût avec Tcheky Karyo, Dominique Blanc, Patrick Bouchitey, Michel Robin (1992) 
– La Triche avec Victor Lanoux, Anny Duperey, Valérie Mairesse, Xavier Deluc, Michel Galabru (1984)
– Les enfants du désordre avec Emmanuelle Béart, Robert Hossein, Patrick Catalifo (1989) 
– D’où vient cet air lointain ? Chronique d’une vie en cinéma (2018) 

Courts métrages 
Goémons  – 1947, Varsovie quand même  – 1954, Zaa petit chameau blanc  – 1960, Colette – 1952, Le souvenir d’un avenir – 2001 , Evasion – 2001, Un matin comme les autres – 1956, Main basse sur Bel – 1963, Premières Impressions de Paris – 1946

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Lundi 17 janvier 2022 à 18h30 : projection du film « A Corps perdus » de Magali Chapelan à la Cité audacieuse

Lundi 17 janvier 2022 à 18h30 : projection du film « A Corps perdus » de Magali Chapelan à la Cité audacieuse

Projection suivie d’une rencontre avec Magali Chapelan la réalisatrice du film A Corps perdus
France, 2020, 74min

Lundi 17 janvier 2022 à 18h30
à la Cité audacieuse 9, rue de Vaugirard 75006 Paris
Entrée libre sur réservation obligatoire à presse@centre-simone-de-beauvoir.com


Le film :

Utopiste et fière de l’être, Zoé, 22 ans, souhaite changer le monde. Elle a choisi de devenir professeur d’EPS, une voie évidente pour atteindre ce qui lui semble une priorité : combattre les inégalités de sexes… par le sport et dans le sport.

Bio réalisatrice :
Magali Chapelan est diplômée de l’école supérieure d’audiovisuel de Toulouse, en spécialité image. Un bagage technique et artistique pour apprendre à regarder le réel, et affirmer un point de vue grâce aux médiums photographiques et filmiques.
Le sujet lui importe peu tant qu’il traite de l’humain et d’une meilleure compréhension de l’autre avec par exemple Poney Kids en 2012 un documentaire sur des cow-boys urbains à Dublin, Le bush, le sang, la terre en 2017 une série photo sur un peuple de chasseurs-cueilleurs en Tanzanie, ou plus près de nous, A Corps Perdus en 2020, documentaire tourné à Toulouse, sur la question des femmes et de leur rapport à la pratique sportive, suivi de 67, chemin Lapujade en 2021, sur la fin d’un squat d’habitation et d’hébergement d’urgence à Toulouse.
Prétextes idéals à vivre des aventures variées, ces projets au long cours pour la plupart induisent un temps d’immersion important auprès des personnes filmées.
Parallèlement à la poursuite de ses activités de réalisatrice et de cadreuse documentaire, Magali Chapelan rallie en 2019 les troupes de Caméra Au Poing et reconsidère avec joie la caméra comme outil de transmission et de médiation sociale sur des actions plus spontanées d’ateliers à l’image et sur les films de la Télé Buissonnière.

Avec le soutien de

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Lundi 13 décembre 2021 à 20h : projection du film « Douze fois impures » de Mona Fillières et Anita Perez au cinéma Le Luminor-Hôtel de ville, Paris.

Lundi 13 décembre 2021 à 20h : projection du film « Douze fois impures » de Mona Fillières et Anita Perez au cinéma Le Luminor-Hôtel de ville, Paris.

Projection-rencontre au Cinéma Luminor Hôtel de ville, Paris
Lundi 13 décembre 2021 à 20h
En présence des réalisatrices et de personnes ayant participé au film.

Douze fois impure un film de Mona Fillières & Anita Perez
France, 1977, n & bl., 45 min

Un film pour  » faire parler des femmes qui, à l’ordinaire, ne prennent pas la parole, des femmes choisies dans la vie de tous les jours et dont les préoccupations sont celles de toutes les femmes « , déclarent les réalisatrices.
Douze femmes d’âges et de milieux sociaux variés se racontent. Lycéennes, secrétaire, couturière, ouvrière, monteuse négatif, professeure, femme au foyer, elles soulèvent des questions qui n’ont rien perdu de leur actualité : articulation entre vie professionnelle et vie privée, éducation des enfants, rapports avec les hommes, vécu de la sexualité, violences contre les femmes, choix militants et rapport au mouvement féministe…

Vous pouvez réserver dès maintenant vos places ici !

Les réalisatrices

Mona Fillières
En 1972, elle fait sa première expérience de cinéma et devient scripte sur L’ Autre de Pierre Jouvet. C’est en 1975 qu’elle découvre le montage avec Jean Rouch au Musée de l’Homme. Deux ans plus tard, elle co-réalise Douze fois impure avec Anita Perez.
Elle travaille ensuite comme monteuse pour le cinéma et la télévision jusqu’en 1991 avec Robert Bober, Jacques-Henri Lartigue et François Reichenbach, Joëlle Bouvier et Régis Obadia, Claude Ventura … En 1992, elle retourne à sa deuxième passion, les livres. Elle devient bibliothécaire à Marseille et parcourt le réseau des petites communes en bibliobus.

Anita Perez
Après des études de lettres modernes, son goût pour l’écriture la mène tout naturellement vers cette écriture très particulière qu’est le montage. Elle a travaillé principalement dans le documentaire avec de nombreux auteurs, notamment Jean-Noël Cristiani, Djamila Sahraoui, Jean-Louis Comolli et a accompagné également de jeunes réalisatrices et réalisateurs pour leurs premiers films.
Très attachée à la transmission des savoirs, elle intervient dans des écoles de cinéma et des organismes de formation. Elle a créé une : l’Atelier de montage qui, depuis 2011, propose aux jeunes professionnels des outils indispensables pour penser la fonction du montage – fiction et documentaire – dans toutes ses dimensions.


Extrait du film Douze fois impures

Avec le soutien de

En partenariat avec

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Jeudi 2 décembre 2021 à 18h30 : rencontre avec Jackie Raynal. Entretien mené par Diane Gabrysiak (Meet the Master / Wom@rts)

Jeudi 2 décembre 2021 à 18h30 : rencontre avec Jackie Raynal. Entretien mené par Diane Gabrysiak (Meet the Master / Wom@rts)

Jackie Raynal s’entretiendra avec Diane Gabrysiak et répondra aux questions du public
lors d’une rencontre  » Meet the Masters « , dans le cadre du projet européen Wom@rts (Europe Creative).

Bio Jackie Raynal

Jackie Raynal née en 1940 est réalisatrice, actrice, monteuse, programmatrice. Elle débute comme photographe pour se diriger très vite vers le cinéma et obtient en 1965 sa carte professionnelle de cheffe monteuse (chef monteur à cette époque ). Elle travaille pour Douchet, Rouch, Pollet, Rohmer, Godard et Chabrol.
En 1968, avec Sylvie Boissonas et Olivier Mosset, elle fonde le groupe Zanzibar, puis tourne à Barcelone son premier long-métrage Deux Fois (Grand Prix au Festival d’Hyères). Partie à New York elle dirigera de 1975 à 1992, le Carnegie Hall Cinema et le Bleecker Street Cinema en programmant des films indépendants internationaux.
Elle réalise New York Story (Grand Prix à Melbourne) et Hotel New York. Parallèlement elle joue dans plusieurs films et organise le Colombian Film Festival, Israël Film Festival ou Avignon Film Festival. De 1973 à 1986 avec Sid Geffen elle publie la revue de cinéma indépendant international 1000 Eyes Magazine. A partir de 2000, Jackie Raynal réalise de nombreux documentaires, comme Notes sur Jonas Mekas, Gougnette, La Nuit de l’ours.

Bio Diane Gabrysiak

Diane Gabrysiak est directrice du Ciné Lumière de Londres à l’Institut français du Royaume-Uni.
Elle programme les sorties de films, des festivals et des rétrospectives. En 2019, en collaboration avec le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, elle consacre un cycle au travail de Delphine Seyrig devant et derrière la caméra. Titulaire d’un doctorat en études cinématographiques, elle a précédemment travaillé à la programmation de festivals et à l’acquisition de films pour plusieurs sociétés de distribution.

Merci de vous inscrire à presse@centre-simone-de-beauvoir.com
Un lien zoom vous sera envoyé

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Mardi 30 novembre 2021 à 18h30 : projection du film « The Archivettes » de Megan Rossman Au Forum des images

Mardi 30 novembre 2021 à 18h30 : projection du film « The Archivettes » de Megan Rossman Au Forum des images

Mardi 30 novembre 2021 à 18h30 au Forum des images, Paris.

Projection en présence de la réalisatrice 
Naomi Replansky at 100
Etats-Unis, 2020, 6 min 28
&
The Archivettes 
Etats-Unis, 2018, 61 min
de Megan Rossman 

La projection sera suivie d’une rencontre.

Les films :

Naomi Replansky at 100
Devant la caméra de Megan Rossman, Naomi Replansky lit des extraits de son oeuvre, évoque son écriture et sa vie, alors qu’elle est âgée de tout juste 100 ans.

The Archivettes 
 » Notre histoire disparaissait aussi vite que nous la vivions.  » 
Partant de ce constat, Deborah Edel et Joan Nestle ont fondé les Lesbian Herstory Archives, la plus importante collection au monde de documents et d’objets par et sur des lesbiennes. Depuis plus de 40 ans, au fil de l’histoire des LGBTQIA+, les bénévoles de l’organisation ont littéralement sauvé leur histoire de la poubelle.
Aujourd’hui, les co-fondatrices septuagénaires font face à de nombreux défis : passer la main, numériser les collections, assurer le renouvellement des militantes dans une période politiquement chargée.
The Archivettes montre comment ce groupe de lesbiennes s’est uni pour lutter contre l’invisibilité et créer  » un endroit positif, qui dit : Oui c’est possible.  »

Billeterie en ligne dès le 17 novembre ici

Avec le soutien de la Mission cinéma de la Ville de Paris
et en partenariat avec le Forum des images

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Dimanche 31 octobre 2021 au Vidéodrome 2, Marseille (13) à partir de 15h : lancement du cycle Femmes iraniennes devant et derrière la caméra

Dimanche 31 octobre 2021 au Vidéodrome 2, Marseille (13) à partir de 15h : lancement du cycle Femmes iraniennes devant et derrière la caméra

Lancement de la programmation « Femmes d’Iran, devant et derrière la caméra »  à Marseille dans le cadre du mois du film documentaire 2021

Table-ronde : Le cinéma documentaire iranien au prisme du féminisme
Un cinéma féministe est-il possible en Iran ?
En présence de Sahar Salahshoor (réalisatrice), Mathieu Lericq (universitaire, programmateur), N, Shirin Barghnavard (réalisatrice), Nicole Fernández Ferrer (Centre audiovisuel simone de Beauvoir)

Projections :

15h La roue de la vie de Sahar Salahshoor
Iran, 2009, 26 min

Synopsis
Nasrin est chauffeuse de taxi dans l’immense cité chaotique de Téhéran. Conductrice joyeuse et pleine de vie, elle doit s’imposer car les conventions de la société traditionnelle iranienne n’acceptent pas qu’une femme occupe cet emploi. L’habitacle du taxi agit comme révélateur de cette société. Le regard acéré et lucide de la cinéaste révèle la lutte quotidienne de cette travailleuse acharnée, mère divorcée élevant seule son fils.

Distinctions
Al Jazeera Film Festival (Qatar) – Prix de la liberté d’expression ; Denver Film Festival (États-Unis) ; Tampere Film Festival (Finlande) ; Festival Signes de nuit – Paris (France) ; Festival du Film de Femmes – Chennai (Inde) ; Media Wave Film Festival – Budapest (Hongrie)

19h
Profession : documentariste de Shirin Barghnavard, Firouzeh Khosrovani, Farahnaz Sharifi, Mina Keshavarz, Sepideh Abtahi, Sahar Salahshoor, Nahid Rezaei
Iran, 2014, 80 min
À la lumière des récentes crises politiques, sociales et économiques en Iran, sept réalisatrices de documentaires parlent de leurs vies personnelles et professionnelles, de leurs préoccupations et de leurs défis.

Distinctions :
Jihlava International Documentary Film Festival – Jihlava (République tchèque) ; IDFA – International Documentary Festival Amsterdam – Amsterdam (Pays-Bas); Sheffield Doc/Fest – Sheffield (Royaume-Uni) – Prix Tim Hetherington ; Cairo International Women´s Film Festival – Le Caire (Égypte) – Prix du public ; Zurich Film Festival (Suisse) ; Valladolid International Film Festival (Espagne) ; Prague Independent Film Festival (République tchèque) ; Essay Film Festival (Royaume-Uni)

Distribution : Centre audiovisuel Simone de Beauvoir

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