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Jeudi 24 janvier 2019 à 19h : projection de « Sois belle et tais-toi ! » à la Cinematek de Bruxelles

Jeudi 24 janvier 2019 à 19h : projection de « Sois belle et tais-toi ! » à la Cinematek de Bruxelles

Jeudi 24 janvier 2019, à l’invitation de la ,
Nicole Fernandez Ferrer présentera Sois belle et tais-toi ! de Delphine Seyrig, dans le cadre de CLASSICS & ANTHOLOGIES JULIET BERTO 02.12 > 24.01.2019
Sois belle et tais-toi ! France, 1976, 1h51, noir et blanc
Image: Carole Roussopoulos. Montage : Carole Roussopoulos et Ioana Wieder. Production : Delphine Seyrig.
Avec : Jane Fonda, Shirley MacLaine, Anne Wiazemsky, Maria Schneider, Ellen Burstyn, Juliet Berto, Marie Dubois, Millie Perkins, Rita Renoir…

1976. Vingt-quatre actrices françaises et américaines, face caméra, parlent de leur expérience professionnelle dans le milieu du cinéma en tant que femmes. Une photographie d’une époque malheureusement pas encore tout à fait révolue.
A partir de questions identiques posé à chaque actrice : Auriez-vous choisi le même métier si vous aviez été un homme ? Y a-t-il une place pour une comédienne au delà de 40 ans ? Avez-vous songé à devenir metteur.e en scène ?, Delphine Seyrig dessine et un milieu misogyne et conservateur.
Interrogées sur leurs expériences professionnelles en tant que femmes, leurs rôles et leurs rapports avec les cinéastes et les équipes, les comédiennes dressent un bilan négatif. Être belle et se taire, c’est bien l’attitude qu’on attend d’elles, ces femmes à qui on ne propose que des rôles stéréotypés, voire aliénants. Elles s’interrogent sur leur position dans cette industrie sexiste, et clament la nécessité d’écrire elle-même les rôles qu’elles veulent interpréter.

« Cette série d’entretiens avec des actrices sur leur statut et les rôles qu’on leur propose fait apparaître combien le discours de « l’emballage » de la misogynie dominante a changé depuis lors, et combien l’essentiel des mécanismes du mépris et du contrôle demeurent – contre les femmes, mais désormais de manière sans doute plus diffuse, moins grossièrement codée, au détriment de tous. D’une tonifiante drôlerie et d’une impeccable précision, l’enseignement de ces brefs dialogues – parmi lesquelles on (re)découvre la Jane Fonda d’alors, étincelante de lucidité politique, fait de ce film […] un exemple des ressources du cinéma comme analyseur temporel, doté de vertus de compréhension du monde inépuisables. » (Jean-Michel Frodon, Cahiers du cinéma n°626, septembre 2007)

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Mercredi 9 janvier 2019 à 11h : Sara García Gross reçoit le prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes

Mercredi 9 janvier 2019 à 11h : Sara García Gross reçoit le prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes

Sylvie Le Bon de Beauvoir, Présidente d’honneur du Prix Simone de Beauvoir
Sihem Habchi, Présidente du Prix Simone de Beauvoir sont heureuses de vous inviter à la remise du prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes 2019 décerné à Sara García Gross du Rassemblement citoyen pour la dépénalisation de l’avortement au Salvador
Mercredi 9 janvier 2019 à 11h00, Maison de l’Amérique latine, 217 boulevard Saint-Germain – Paris 7e
Réservation en ligne > cliquez ici

Contacts > prixsimonedebeauvoir@gmail.com Tél. : 01 57 27 64 32

Le Prix – Fondé en 2008, le Prix « Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes » a pour objectif de
« contribuer à mobiliser la solidarité internationale, réaffirmer le droit des femmes dans le monde, garantir la protection de celles et ceux qui luttent aujourd’hui au risque de leur vie, et défendre à leurs côtés les idéaux d’égalité et de paix ». Remis chaque année le 9 janvier – date anniversaire de la naissance de Simone de Beauvoir – le Prix a été attribué par le passé, entre autres lauréats, à Malala Yousafzai – depuis lors lauréate du Prix Nobel de la Paix–, à Barbara Nowacka, figure du mouvement pour le droit à l’avortement en Pologne, à Giusi Nicolini, maire de Lampedusa (Italie), pour son action en faveur des migrants naufragés de la Méditerranée, à l’historienne Michelle Perrot, et à l’écrivaine et journaliste Asli Erdogan, menacée d’une peine de prison à vie pour ses articles dans la presse turque(voir la liste complète ci-dessous).

La lauréate :

1/ Au Salvador, Sara GARCIA GROSS est membre du « Rassemblement citoyen pour la dépénalisation de l’avortement » (Agrupación Ciudadana por la Depenalización del Aborto), collectif qui se bat pour la liberté des femmes injustement incarcérées en raison de la criminalisation absolue de l’avortement.
Le Salvador tient une place quasi unique parmi les pays qui nient le droit à l’avortement : depuis 1997, interrompre une grossesse y est rigoureusement interdit, même en cas de viol, malformation du fœtus, danger pour la santé de la femme enceinte. Considéré comme un homicide aggravé, l’avortement y est qualifié de crime et est passible de lourdes peines de prison. De plus, en 1999 a été inscrite dans la Constitution « la protection de la vie depuis la conception ». Ces dispositifs législatifs implacables sont le fruit de lobbys liés à la hiérarchie catholique, en particulier l’Opus Dei, groupes qui ont profité d’un regain du fondamentalisme religieux depuis les années1990.
Les conséquences de cette interdiction absolue de l’avortement non seulement affectent les femmes qui souhaitent interrompre leur grossesse, mais aussi entraînent régulièrement la condamnation à la prison de femmes victimes de fausses-couches spontanées et que l’on accuse d’avoir avorté. Cela entraîne aussi pour les femmes l’obligation de porter pendant des mois un fœtus que l’on sait ne pas être viable, et ce même s’il existe des risques pour la vie de la femme enceinte. La Cour constitutionnelle a en effet décidé que « les droits de la mère ne pouvaient pas primer ceux de l’enfant à naître ». A cela s’ajoute que la criminalisation extensive de l’avortement accroît la peur chez les militants d’être condamnés pour incitation au crime d’avortement.
Comme Simone de Beauvoir l’avait fait, à l’invitation de Gisèle Halimi, lors du célèbre procès de Bobigny(1972),Sara GARCIA GROSS intervient au niveau des juridictions répressives, lors de procès de femmes poursuivies pour avortement. Elle a participé aux mobilisations citoyennes et a fait connaître auprès du mouvement féministe international les injustices commises dans différentes régions d’Amérique latine.
Il s’agit non seulement de défendre ces femmes, mais aussi de susciter des changements dans l’imaginaire collectif. Une des luttes collectives capitales a conduit à la libération, le 15 février 2018, de Teodora Vasquez, condamnée à 30 ans de prison en 2008 pour une fausse couche qualifiée à tort « d’homicide aggravé ».
Sara GARCIA GROSS agit aussi sur les législateurs eux-mêmes. Elle insiste auprès d’eux pour qu’ils respectent la laïcité et que soient bien séparées convictions personnelles et décisions publiques.

2/ Dimension internationale : L’action de Sara GARCIA GROSS est coordonnée avec celle de nombreuses organisations féministes et LGBTQI en Amérique latine comme la Casa de Todas (La Maison pour toutes). En 2020, Sara GARCIA GROSS participera à la « Rencontre des droits des femmes d’Amérique centrale et du Sud ».

L’Amérique latine est un continent où le droit des femmes est au cœur des luttes démocratiques face à un conservatisme religieux en expansion: l’Argentine a récemment rejeté une proposition de loi visant à autoriser l’interruption volontaire de grossesse ; le Brésil a élu un ennemi déclaré des droits des femmes et les militant.es y sont désormais de plus en plus victimes d’agressions physiques. Seule bonne nouvelle: la nomination récente d’Olga SANCHEZ CORDERO, lectrice de Simone de Beauvoir, au poste de ministre de l’Intérieur du Mexique, qui a décidé de légaliser l’avortement dans son pays.
Donner le Prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes à Sara GARCIA GROSS, c’est reconnaître que son action s’inscrit dans la lignée de celle de Simone de Beauvoir. Il s’agit aussi d’offrir, depuis la France et l’Europe, un appui à son travail en faveur des droits des femmes, d’attirer l’attention internationale sur la situation de femmes emprisonnées ou menacées de prison en raison de la négation de leur droit sur leur corps.

CONTACT : prixsimonedebeauvoir@gmail.com/ Marine Mazel, secrétariat : +33(0)684396588/
Nicole Fernández Ferrer du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir : +33(0)662752818

LAUREATES DU PRIX – 2008 : Taslima Nasreen & Ayaan Hirsi Ali ; 2009 : Le collectif « Onemillion signatures » (Iran) ; 2010 : Ai Xiaoming et Guo Jianmei ; 2011 : Ludmila Oulitskaïa ; 2012 : Association tunisienne des femmes démocrates ; 2013 : Malala Yousafzai ; 2014: Michelle Perrot ; 2015: National Museum of Women in the Arts; 2016 : Giusi Nicolini ; 2017 : “Sauvons les femmes”, Barbara Nowacka ; 2018 : Asli Erdogan.

JURY
Présidente d’honneur : Sylvie Le Bon de Beauvoir – Présidente : Sihem Habchi
Membres : JulieAugras ; ConstanceBorde; PierreBras; NicoleFernandezFerrer; Madeleine Gobeil-Noël ; Sihem Habchi ; Smaïn Laacher ; Sylvie Le Bon de Beauvoir ; Rachida Lemmaghti ; Annette Levy-Willard ; Sheila Malovany-Chevallier ; Tiphaine Martin ; Françoise Picq ; Yvette Roudy ; Alice Schwarzer.

Avec le soutien de :
LA FONDATION JAN MICHALSKI, LA FONDATION VINCI, LA FONDATION PARIS DIDEROT, L’UNIVERSITE PARIS DIDEROT, LA FONDATION SIMONE DE BEAUVOIR, LA MAISON DE L’AMERIQUE LATINE.
Paris, le 14 décembre 2018.
El Premio “Simone de Beauvoir por la libertad de las mujeres 2019
será atribuido a Sara García Gross, activista por el derecho al aborto en América Latina.

El premio se entregara a la Sra. Sara GARCIA GROSS, el 9 de enero de 2019, a las 11, en la Casa de América Latina
217, boulevard Saint-Germain París por Sylvie Bon de Beauvoir, presidenta honoraria, y Sihem Habchi, presidenta del jurado.

El Premio – Creado en 2008, el « Premio Simone de Beauvoir por la Libertad de las Mujeres » tiene como objetivo « contribuir a movilizar la solidaridad internacional, reafirmar los derechos de las mujeres a nivel mundial, garantizar la protección de las personas que luchan hoy día, a riesgo de su vida, y defender los ideales de igualdad y de paz « .

Entregado cada año el 9 de enero, aniversario del nacimiento de Simone de Beauvoir. Entre las ganadoras del premio podemos citar a Malala Yousafzai, premio Nobel de la Paz, en 2014; a Barbara Nowacka, ícono del movimiento por el derecho al aborto en Polonia; a Giusi Nicolini, alcaldesa de la ciudad de Lampedusa (Italia), por su acción en favor de los migrantes naufragados en el mar mediterráneo; a la historiadora Michelle Perrot, y la escritora y periodista Asli Erdogan, amenazada a cadena perpetua por sus artículos en la prensa turca (vea la lista completa a continuación).

La ganadora:
1/Sara García Gross es integrante de la Agrupación Ciudadana por la Despenalización del Aborto en El Salvador, colectivo que trabaja por la libertad de mujeres encarceladas injustamente debido a la penalización absoluta del aborto. Además, trabajan para que pueda cambiar lalegislación.
El Salvador ocupa un lugar único dentro de los países que niegan el derecho al aborto: desde 1997, el aborto está estrictamente prohibido incluso en casos de violación, malformación fetal, y riesgo para la salud de la mujer embarazada. Considerado un homicidio agravado, el aborto es tipificado como crimen y es castigado con graves penas de prisión. Además, en 1999 ha sido inscrita en la Constitución « la protección de la vida desde la concepción. » Estas disposiciones legislativas implacables son el resultado de los “lobbys” vinculados a la jerarquía católica, especialmente los grupos del Opus Dei, que se han beneficiado de un resurgimiento del fundamentalismo religioso desde los años 1990. Las consecuencias de esta prohibición absoluta del aborto no sólo afectan a las mujeres que desean interrumpir su embarazo, sino que además, las mujeres víctimas de abortos espontáneos pueden ser condenadas a largas penas de prisión, acusadas de aborto. En consecuencia, estas mujeres están obligadas a llevar a un feto no viable durante meses, a pesar de los riesgos que supone para la mujer embarazada. El Tribunal Constitucional ha decido que « los derechos de la madre no pueden prevalecer sobre los derechos del feto. » Además, la amplia criminalización del aborto agudiza el miedo entre las personas activistas de ser condenadas por instigación al crimen de aborto.
Como lo había hecho Simone de Beauvoir, por invitación de Gisèle Halimi, durante el famoso juicio de Bobigny (1972), Sara GARCIA GROSS interviene en el ámbito de las leyes represivas en el marco de los juicios de mujeres procesadas por aborto. Ha participado en las movilizaciones sociales y desde el feminismo internacionalista ha dado a conocer las injusticias en diversas regiones de Latinoamerica. No trata solo de defender a mujeres criminalizadas injustamente, sino también de generar cambios en los imaginarios sociales.
Una de las luchas colectivas de gran importancia ha sido la liberación, el 15 de febrero de 2018, de Teodora Vásquez, condenada en 2008 a una pena de prisión de 30 años por un aborto espontáneo calificado erróneamente de « homicidio agravado ».
Sara GARCIA GROSS actúa también entre los propios legisladores, presiona para que se respete la secularidad y para que se delimiten claramente sus convicciones personales y las decisiones públicas.

2/ Dimensión internacional:
La acción de Sara GARCIA GROSS está coordinada con la de numerosas organizaciones feministas y LGBTQI en América Latina: la Casa de Todas (La Casa para Todas, financiada por la Fundación Bohl – Alemania – y el Fondo Centroamericano de las Mujeres), « Ni Una Menos », « Vivas Nos Queremos », « 135 Femenicidios » contra la impunidad en relación con la violencia de género. En 2020 en El Salvador, Sara GARCIA GROSS participará en la acogida del “Encuentro para los derechos de las mujeres en América Central y del Sur. »
América Latina es un continente donde, frente al creciente conservadurismo religioso, los derechos de las mujeres ocupan un lugar central en las luchas democráticas, recientemente Argentina ha rechazado un proyecto de ley para permitir el aborto; Brasil ha elegido a un enemigo declarado de los derechos de las mujeres y las activistas son ahora más y más víctimas de agresión física. La única buena noticia es el reciente nombramiento de Olga SANCHEZ CORDERO ,lectora de Simone de Beauvoir, como Ministra del Interior de México, quien decidió legalizar el aborto en su país. Otorgar el premio Simone de Beauvoir por la libertad de la mujer a Sara GARCIA GROSS es reconocer que su acción está en la línea de Simone de Beauvoir. También se trata de apoyar, desde Francia y Europa, su trabajo a favor de los derechos de las mujeres, y atraer a la atención internacional sobre la situación de las mujeres encarceladas o amenazadas de prisión al negar a las mujeres el derecho de ser dueñas de su cuerpo.

CONTACTO
prixsimonedebeauvoir@gmail.com/
Marine Mazel, secretaría: +33 (0) 684396588 /
Nicole Fernández Ferrer del Centro Audiovisual Simone de Beauvoir: +33 (0) 662752818
/archives@centre-simone-de-beauvoir.com

GANADORAS DEL PREMIO
– 2008: Taslima Nasreen y Ayaan Hirsi Ali; 2009: El Colectivo de One Million Signatures (Irán); 2010: Ai Xiaoming y Guo Jianmei; 2011: Ludmila Ulitskaya; 2012: Association tunisienne des femmes démocrates; 2013: Malala Yousafzai; 2014: Michelle Perrot; 2015: National Museum of Women in the Arts; 2016: Giusi Nicolini; 2017: « Sauvons les femmes », Barbara Nowacka; 2018: Asli Erdogan.

JURADO
Presidenta de honor: Sylvie Le Bon de Beauvoir; Presidenta: Sihem Habchi
Miembros: Julie Augras; Constance Borde; Pierre Bras; Nicole Fernández Ferrer; Madeleine Gobeil-Noël; Sihem Habchi; Smaïn Laacher; Sylvie Le Bon de Beauvoir; Rachida Lemmaghti; Annette Levy-Willard; Sheila Malovany-Chevallier; Tiphaine Martin; Françoise Picq; Yvette Roudy; Alice Schwarzer

Con el apoyo de:
LA FONDATION VINCI, LA FONDATION PARIS DIDEROT, L’UNIVERSITE PARIS DIDEROT, LA FONDATION SIMONE DE BEAUVOIR, LA MAISON DE L’AMERIQUE LATINE.

The Simone de Beauvoir Prize for Women’s Freedom 2019 will be awarded to SARA GARCIA GROSS Advocate for Women’s Right to Choose and Human Rights in Latin America
The Prize will be awarded to Sara Garcia Gross on January 9, 2019, at 11:00 am at the Maison de l’Amérique Latine, 217, boulevard Saint-Germain, 75007 Paris, by Sylvie Le Bon de Beauvoir, Honorary President and Sihem Habchi, President of the Jury of the Prix Simone de Beauvoir

The Prize– Founded in 2008, the Simone de Beauvoir Prize for Women’s Freedom aims to “mobilize international solidarity, reaffirm women’s rights in the world, guarantee the protection of those women who risk their lives today in their struggle, and to defend by their side the ideals of equality and peace.”
The Prize is granted every year on January 9 – Simone de Beauvoir’s birthday – and has been previously awarded to, among others, Malala Yousafzai (who went on to receive the Nobel Peace Prize), Barbara Nowacka, a leader in the right to abortion movement in Poland, Giusi Nicolini, former mayor of Lampedusa in Italy, for her protection of migrants stranded in the Mediterranean, historian Michelle Perrot, and the author and journalist Asli Erdogan, facing life imprisonment for her articles in the Turkish press. (see the complete list below).

The Prize Recipient

1/ In El Salvador Sara Garcia Gross is the executive coordinator of the Citizens’ Organization for Abortion Decriminalization (Agrupacion Ciudadana por la Depenalizacion des Aborto)
El Salvador ranks high among the countries that deny the right to abortion: since 1997, terminating a pregnancy is rigorously forbidden even in case of rape, fetus malformation, and danger for the pregnant woman’s health. Considered to be aggravated murder, abortion is a crime and criminally punishable by severe prison sentences. Moreover, since 1999 “the protection of life from the moment of conception” has been inscribed in the Constitution. These implacable and ruthless measures are the work of Catholic lobbies, in particular the Opus Dei, groups that have taken advantage of the rise of religious fundamentalism since the 1990s.
The consequences of this absolute prohibition of abortion affect not only women who desire to end their pregnancy but also carry prison sentences for women who have had miscarriages and are accused of having had an abortion. This also forces women to carry a non-viable fetus for months even if the pregnant woman’s life is in danger. The Constitutional Court decided that “the rights of the mother cannot take precedence over the unborn child.” An additional consequence is that the extensive criminalization of abortion increases activists’ fear of being condemned for inciting abortion.
Like Simone de Beauvoir, invited by Gisèle Halimi for the path-breaking trial of Bobigny in 1972, Sara Garcia Gross intervenes in trials concerning the repressive jurisdictions of women accused of abortion. The aim is not only to defend these women but also to advance the law by addressing judges. An encouraging result was obtained with the liberation of Teodora Vasquez, February 15, 2018, condemned to 30 years in prison in 2008 for a miscarriage abusively considered “aggravated murder.”
Sara Garcia Gross also acts on lawmakers themselves, insisting they enforce secularity and that personal convictions and public decisions be completely separated.

2/ International dimension
Sara Garcia Gross’s work is in coordination with many feminist and LGBTQ organizations in Latin America: la Casa de Todas (the Women’s House, financed by the Bohl Foundation, Germany, and the Central American Women’s Fund), Ni Una Menos, Vivas Nos Queremos, 135 Femenicidios against impunity in face of sexist violence. In 2020, Sara Garcia Gross will be present to welcome the Central and South American Gathering for Women’s Rights in Salvador.
Latin America is a continent where women’s rights are at the very heart of the democratic battles against rising religious conservatism: Argentina recently voted against a bill granting the right to abortion; Brazil just elected a vociferous enemy of women’s rights, and activists are more and more subject to physical aggressions. The only good news is the recent nomination of Olga Sanchez Cordero, a reader of Simone de Beauvoir, as Minister of the Interior in Mexico, who decided to legalize abortion in her country.
Awarding the Simone de Beauvoir Prize for Women’s Freedom 2019 to Sarah Garcia Gross recognizes her struggle alongside Simone de Beauvoir’s. It also provides support to her work for women’s rights from France and Europe, and draws international attention to the situation of women in prison or threatened with prison because of the denial of their rights over their own bodies.

CONTACT : prixsimonedebeauvoir@gmail.com / Marine Mazel, secrétariat : +33(0)684396588/
Nicole Fernandez Ferrer du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir : +33(0)662752818

PRIZE RECIPIENTS – 2008 : Taslima Nasreen & Ayaan Hirsi Ali ;2009 : Le collectif « One million signatures » (Iran) ; 2010 : Ai Xiaoming et Guo Jianmei ;2011 : Ludmila Oulitskaïa ; 2012 : Association tunisienne des femmes démocrates ; 2013 :Malala Yousafzai ; 2014: Michelle Perrot; 2015: National Museum of Women in the Arts; 2016 :Giusi Nicolini ; 2017 : “Sauvons les femmes”, Barbara Nowacka ; 2018 : Asli Erdogan.

JURY
Honorary President: Sylvie Le Bon de Beauvoir – President : Sihem Habchi
Members: Julie Augras ; Constance Borde ; Pierre Bras ; Nicole Fernandez Ferrer ; Madeleine Gobeil-Noël ; Sihem Habchi ; Smaïn Laacher ; Sylvie Le Bon de Beauvoir ; Rachida Lemmaghti ; Annette Levy-Willard ; Sheila Malovany-Chevallier ; Tiphaine Martin ; Françoise Picq ; Yvette Roudy ; Alice Schwarzer.

Supporters:
LA FONDATION JAN MICHALSKI, LA FONDATION VINCI, LA FONDATION PARIS DIDEROT, L’UNIVERSITE PARIS DIDEROT, LA FONDATION SIMONE DE BEAUVOIR, LA MAISON DE L’AMERIQUE LATINE.

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3 au 13 septembre des films du Centre à Rio : première mostra Século XXI, Mulheres Ação! puis à Sao Paulo : festival Les Insoumuses

3 au 13 septembre des films du Centre à Rio : première mostra Século XXI, Mulheres Ação! puis à Sao Paulo : festival Les Insoumuses

Le Secrétariat Municipal à la culture de Rio de Janeiro, RioFilme, la Cinémathèque du Musée d’Art moderne de Rio de Janeiro, le Consulat de France, l’Institut Français et le Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir ont le plaisir de vous informer de l’ouverture et du programme de Século XXI, Mulheres Ação!, un évènement indépendant pour renforcer et amplifier les réseaux et la voix des femmes à Rio de Janeiro.

Puis à Sao Paulo, une programmation de films des trois fondatrices du Centre Simone de Beauvoir intitulée Les Insoumuses.

La programmation des films a été assurée par André Cals et Nicole
Fernández Ferrer, déléguée générale du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir qui présentera les films issus du fonds du Centre

Ouverture
Le 3 septembre à 19h30 au Cinémaison
Avenida Presidente Antônio Carlos, 58
Centro / Rio de Janeiro

Projection de deux films :
Thokozani Football Club: Team Spirit, de Thembela Dick
Afrique du sud, 2014, 22min
Et Baronesa de Juliana Antunes
Brésil, 2017, 70min

Programme du 4 au 9 septembre 2018
A la Cinémathèque du Musée d’Art Moderne
Av. Infante Dom Henrique, 85 Parque do Flamengo

mardi 4 septembre
14h Século XXI
Chega de Fiu-Fiu de Amanda Kamanchek Lemos e Fernanda Frazão (doc, SP, 2018, 73min)

16h Centre Simone de Beauvoir
Sois belle et tais-toi ! de Delphine Seyrig
(doc, France, 1976, 1h55min)

18h #MulheresAção
Precisamos falar do assédio, de Paula Sacchetta (doc, SP, 2016, 80min)

20h Débat : Stop au harcèlement
Modératrice : Amanda Kamanchek Lemos, journaliste, réalisatrice de “Chega de Fiu-Fiu”
avec Paula Sacchetta, documentariste, réalisatrice de “Precisamos falar do assédio”
& Kenia Mariam, écrivaine et actrice, défenseure des droits des femmes noires pour l’ONU et mobilisatrice du projet Criança Esperança
& Giowana Cambrone, avocate, professeure de droit, spécialiste de la démocratie participative et des mouvements sociaux, conseillère juridique du programme Rio sans homophobie
& Larissa Schmillevitch, psychologue et membre du projet Mapa do Acolhimento

Mercredi 5 septembre
14h Século XXI
Que horas ela volta?, de Anna Muylaert (fi c, SP, 2015, 1h52min)

16h30 Centre Simone de Beauvoir
Accouche !, de Ioana Wieder (doc, France, 1977, 49min)

18h Mulheres Ação !
Clandestinas, de Fádhia Salomão (fi c, SP, 2014, 24min)
+ O Aborto dos Outros, de Carla Gallo (doc, SP, 2008, 1h12min)

20h Débat
La Maternité : un choix
Modératrice : Ellen Paes – journaliste, directrice de #euvocêtodasnós
Avec Renata Corrêa, écrivaine, scénariste de Clandestinas
& Ana Clara Toledo – Coordinatrice de Comunicação da Beta, a robô feminista
& Jacqueline Alves, inifrmière en obstétriuque, chercheure dans le domaine de la santé des femmes de l’accouchement et de la naissance, mère à temps plein, militante pour la fin des inégalités de race et de genre
& Ariana Santos, enseignnate à l’Insitut de médeicne sociale et infirmière en obstertique à la Maison de naissance. Assistante pour les accouchements à domiicle dans le cadre du porjet Sankofa.

Jeudi 6 septembre
14h Século XXI
Mate-me Por Favor, de Anita Rocha da Silveira
(fi c, RJ, 2015, 1h45min)

16h Centre Simone de Beauvoir
Le FHAR (Le Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire)
(doc, France, 1971, 26min)
Qui a peur des amazones ?, de Carole Roussopoulos (doc, Suisse, 2003, 27min)

18h #MulheresAção
Arremate, de Éthel Oliveira (doc, RJ, 2017, 25min)
+ Amor maldito, de Adelia Sampaio (fi c, SP, 1984, 80min)

20h | Débat
Lesbianisme, action !
Modératrice : Camila Marins, journaliste, activiste lesbienne et éditrice de la revue Brejeiras
Avec Fatinha Lima, activiste LGBT, fondatrice du Favela Cineclube
& Éthel Oliveira, diretrice de Arremate

Vendredi 7 septembre

14h | Século XXI
Mulheres no Funk, de Luisa Nolasco (doc, RJ, 2013, 13min)
+ Sou feia mas tô na moda, de Denise Garcia (doc, RJ, 2004, 61min)

16h | Centre Simone de Beauvoir
Audre Lorde, the Berlin Years 1984 to 1992, de Dagmar Schultz
(Allemagne, 2012, 1h19min)

18h #MulheresAção
Courts métrages du programme Protagonismo Negra:
Tia Ciata, de Mariana Campos e Raquel Beatriz (doc, RJ, 2017, 26min)
Travessia, de Safi ra Moreira (doc, RJ, 2017, 5min)
Privilégios, de Rosa Miranda (doc, RJ, 19min, 2018)
A boneca e o silêncio, Carol Rodrigues (fi c, SP, 2015,19min)
Manual, de Letícia Simões (doc, RJ, 2016, 7min)
O Rito, de Cintia Lima (videoarte, PE, 2014. 8min)
Kbela, de Yasmin Thayná (doc, RJ, 2015, 20min)

20h | Débat
PROTAGONISMO NEGRA
Modératrice : Edmeire Exaltação, coordinatrice de la Casa das Pretas
Avec Rosa Miranda, responsable du Cineclube Atlântico Negro et enseignante de cinéma à l’université fédérale Fluminense. Directrice de Privilégios.
Sabrina Fidalgo, scénariste, actrice, productrice, directrice de Rainha
Ana Paula Alves Ribeiro, sociologue, professeure à l’Université de l’Etat de Rio de Janeiro.
Lucia Xavier, assistante Sociale, coordinatrice générale de CRIOLA

Samedi 8 septembre
14h Século XXI
Meu corpo é político, de Alice Riff (doc, SP, 2017, 1h12min)
16h Centre Simone de Beauvoir
Carole Roussopoulos, une femme à la caméra,
de Emmanuelle de Riedmatten (doc, Suisse, 2011, 1h16min)

18h Centre Simone de Beauvoir
Portrait de Simone de Beauvoir, de Alice Schwarzer
(doc, Allemagne, 1974, 45min)

19h Conférence
Nicole Fernández Ferrer, directrice du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir évoquera son travail au sein de cette institut fémniste Centre, et commentera les films brésileins qu’ele aura décovuert au cours de cete evenlent .
brasileiros que assistiu ao longo do evento.

dimanche 9 de septembre
A partir de 10h
Activités libres à l’extérieur : Cours de yoga, massages, picnic, vente de produits

13h Slam das minas

14h Século XXI
Courts-métrages du programme Girl Power:
Rainha, de Sabrina Fidalgo (fi c, RJ, 2016, 30min)
Cores e Botas, de Juliana Vicente (fi c, SP, 2011 ,15min)
Gorda, de Luiza Junqueira (doc, RJ, 2015 , 15min)
Castanho, de Eduardo Valente (fi c, RJ, 2002 ,12min)
Filme Catástrofe, de Gustavo Vinagre (fi c, SP, 2017, 19min)

16h Filme de clôture : Euvocêtodasnós, de Ellen Paes e Rafael Figueiredo (doc, RJ, 2017 ,52min)

18h Clôture

4 a 9 setembro
CINEMATECA MAM
Av. Infante Dom Henrique, 85
Parque do Flamengo

https://www.facebook.com/seculoxximulheresacao/

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22 mai 2018 18h30 « Carole Roussopoulos, une femme à la caméra » de Emmanuelle De Riedmatten

22 mai 2018 18h30 « Carole Roussopoulos, une femme à la caméra » de Emmanuelle De Riedmatten

Mardi 22 mai 2018 18h30 au Forum des images
Dans le cadre d’une séance Éclairages :
projection du film  « Carole Roussopoulos, une femme à la caméra » de Emmanuelle de Riedmatten
Suisse , 2016, coul. & n. et bl., vidéo, 76 min

Suivie de l’analyse de Nicole Fernandez Ferrer (déléguée générale du centre Simone de Beauvoir)

Documentaire consacré au travail de la cinéaste Carole Roussopoulos, pionnière de la vidéo et militante féministe. Archives et entretiens avec ses proches alternent avec des extraits de ses films, qui sont autant de témoignages des luttes féministes, LGBT,  sociales et d’émancipation des minorités.

ÉCLAIRAGES
Nicole Fernandez Ferrer revient sur le parcours de Carole Roussopoulos, pionnière de la vidéo et militante féministe, confondatrice du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder en 1982.

Séminaire organisé dans le cadre d’Éclairages, rendez-vous mensuel ouvert à tous, sur réservation (dans la limite des places disponibles) où chaque mois, un spécialiste, professionnel, chercheur, critique, historien examine une question au prisme des représentations qu’en propose le cinéma documentaire.

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Mardi 3 avril 2018 Pour Kate Millett

Mardi 3 avril 2018 Pour Kate Millett

Documentaire sur grand écran en partenariat avec le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir présente au Forum des images

le Mardi 3 avril 2018  : Pour Kate Millett

Figure majeure du féminisme et artiste, Kate Millett nous a quittés en septembre dernier.

Le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, Documentaire sur grand écran et le Festival International de Films de Femmes s’associent pour lui rendre hommage.

Deux films et des vidéos, tournés en France et aux Etats-Unis, témoigneront ici de cette belle effervescence que fut cette deuxième vague du féminisme. En 1970, alors qu’elle se trouve propulsée théoricienne du tout nouveau Mouvement de Libération des Femmes avec la parution de La Politique du mâle, Kate Millett réalise un film : Three Lives. Dix années plus tard, des femmes du MLAC (Mouvement pour la libération de l’avortement et de la contraception) et Yann Le Masson tournent en France à la « Commune » près d’Aix. D’autres documents rares des années 70-80 viendront éclairer le mouvement féministe toujours bien vivant et actif aujourd’hui.

 

à 19h Projection de 

Kate Milett parle de la prostitution avec des féministes  de Catherine Lahourcade, Anne-Marie Faure-Fraisse, Syn Guérin, réalisé par le groupe VIDEA.
France, 1975, Cin. Num., n&b, 20’

En 1975, au moment de la grève des prostituées à Lyon et après la parution de son livre La Prostitution: quatuor pour voix féminines, Kate Millett débat de la question avec les féministes françaises dont Monique Wittig et Christine Delphy.

 

Three Lives  de Kate Millett
Etats-Unis, 1971, Cin. Num., coul. et n&b, 70’

En une succession de monologues, trois femmes se racontent devant la caméra de Kate Millett, accompagnée d’une équipe exclusivement féminine. «J’aime ces trois femmes, leur vie est un fardeau que je transporte partout » (Kate Millett).

Séance suivie d’un débat avec Nicole Fernandez Ferrer, la philosophe Geneviève Fraisse, les réalisatrices Anne-Marie Faure-Fraisse, Syn Guérin et Anne Faisandier

 

à 21h30

Hommage de Kate Millett à Simone de Beauvoir  d’Anne Faisandier
France, 1986, Cin. Num., coul., 11’

Sur des images des obsèques de Simone de Beauvoir, Kate Millett évoque ses liens avec celle qui joua un rôle déterminant pour le féminisme international

Regarde elle a les yeux grand ouverts de Yann Le Masson & le Collectif de Femmes MLAC
France, 1982, Vidéo, coul., 77’

Ce film raconte l’histoire de 1975 à 1982 d’un groupe de femmes d’Aix-en-Provence qui découvrent au MLAC qu’elles peuvent vivre autrement des moments
aussi importants que : avorter, accoucher, choisir de faire ou non un enfant. Elles se heurtent à la répression et c’est le procès de six d’entre elles le 10 mars 1977 à Aix-en-Provence.

En présence de Sophie Keir, Anne Faisandier, et Nicole Fernandez Ferrer

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21 décembre  2018à 18h projection de « 12 jours » de Raymond Depardon

21 décembre 2018à 18h projection de « 12 jours » de Raymond Depardon

Dans le cadre des journées d’études interministérielles « Santé mentale en prison : état des savoirs, besoins, perspectives », nous avons le plaisir de vous annoncer une projection exceptionnelle du film documentaire 12 Jours de Raymond Depardon, en partenariat avec Wild Bunch Distribution et le ministère de la justice.
La projection du film aura lieu au cinéma Le Luminor Hôtel de Ville (20 rue du Temple, 75004 Paris) le jeudi 21 décembre à 18h. Elle sera suivie d’un débat avec Marion Primevert (magistrate, vice-présidente, tribunal de grande instance de Paris) et Natalie Giloux (psychiatre, centre hospitalier le Vinatier à Lyon. Le débat sera animé par Nicole Fernandez Ferrer.

Vous pouvez acheter vos billets ici à partir du 20 décembre 2018.

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3 octobre 2017 : projection du film « L’Agent orange, un requiem personnel. »

3 octobre 2017 : projection du film « L’Agent orange, un requiem personnel. »

Projection du film suivie d’une rencontre
L’Agent orange : un requiem personnel (Agent Orange : A Personal Requiem) de Masako Sakata
Japon, 2007, vidéo coul., 66 min

Le mardi 3 octobre 2017 à 21h au Forum des Images, Paris,
en présence de la réalisatrice Masako Sakata
et de Yûki Takahata, auteure de plusieurs ouvrages sur la société française en japonais et traductrice.

A la fin des années 60, Davis, est envoyé au Vietnam. L’armée américaine déverse des tonnes de défoliant. Après sa mort sa femme Masako se documente sur l’agent orange. Des médecins et enfants vietnamiens, un ancien combattant témoignent. Aujourd’hui encore la dioxine contamine l’environnement et les corps.

Biographie de Masako SAKATA :
Née à Nagano au Japon en 1948. Elle rencontre un américain Greg Davis en 1970 à Kyoto. Il devient photographe, connu pour ses reportages en Asie, tandis qu’elle travaille dans les agences de photo. Après le décès de Greg Davis en 2003, elle décide de réaliser un film sur l’agent orange, le défoliant utilisé pendant la guerre du Vietnam qui a provoqué des malformations et des cancers (et a causé la mort de Greg Davis). Son premier documentaire Agent orange : a personal requiem est sorti en 2007. Il a reçu plusieurs prix : le Prix du film documentaire Mainichi, le Prix spécial du jury du Festival international du Film d’environnement, le Prix spécial jury « Earth vision ». Le seconde documentaire, Living the silent spring est sorti en 2011 et a reçu le Prix du Public Documentaires Festival 2 cinéma de Valenciennes et le Prix d’excellence du film documentaire (Ministère japonais de la culture). En 2015 est sorti son troisième documentaire, Mon voyage sans fin sur le nucléaire civil et militaire à travers le monde.

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19 septembre 2017 à 18h : découvrir le nouveau site Genrimages et ses outils innovants

19 septembre 2017 à 18h : découvrir le nouveau site Genrimages et ses outils innovants

Présentation en avant-première de notre nouveau site Genrimages le mardi 19 septembre 2017 à 18h au Forum des images, notre partenaire qui nous accueille lors de sa présentation de saison d’Education à l’image.
Une interface pédagogique innovante et de nouveaux outils ont été conçus afin de vous faire bénéficier de toutes les possibilités de cette boîte à outils permettant de décrypter et d’analyser les stéréotypes sexués dans l’audiovisuel.
Avec le soutien notamment de la direction numérique pour l’éducation et de la direction générale de l’enseignement scolaire du Ministère de l’Education nationale et de l’Institut Emilie du Châtelet.
Réservation indispensable : ICI

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Save the Dates! 19 septembre Lancement du site Genrimages & 3 octobre, 5 décembre projections.

Save the Dates! 19 septembre Lancement du site Genrimages & 3 octobre, 5 décembre projections.

Mardi 19 septembre 2017 à 18h, salle 100 du Forum des images
Séance SUR INVITATION
Soirée de lancement pour les enseignants et le public associatif :
Présentation de la saison scolaire du Forum des images et présentation du nouveau site Genrimages du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.
Suivie d’un cocktail et de la projection avant-première à 20h30 de Latifa, le cœur au combat de Olivier Peyon et Cyril Brody

Nous vous attendons nombreuses et nombreux à nos prochaines séances suivies de rencontres
Projections au Forum des images
– le mardi 3 octobre 2017 à 21h, salle 300
L’Agent orange, un requiem personnel de Masako Sakata
Japon, 2007, coul., 71 min
Séance suivie d’un débat avec la réalisatrice Masako Sakata
Et Yûki Takahata, auteure de plusieurs ouvrages sur la société française en japonais et traductrice.

– le mardi 5 décembre 2017 à 21h, salle 300
Legends de Marie Baronnet
Etats-Unis, France, 2016, coul., 25 min
Projection en présence de la réalisatrice et de Camille Sands artiste burlesque
suivi du documentaire
Exotic World and the Burlesque Revival de Red Tremmell
Etats-Unis, 2011, coul., 90 min

Puis séances les 6 février 2018, 3 avril 2018 & 19 juin 2018.

Dates à venir pour nos projections au cinéma le Luminor Hôtel de ville.

EN PARTENARIAT AVEC LE FORUM DES IMAGES ET LE CINEMA LUMINOR HOTEL DE VILLE.
AVEC LE SOUTIEN DE LA MAIRIE DE PARIS.

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29 & 30 mai 2017 Bilbao : retrospectiva Carole Roussopoulos

29 & 30 mai 2017 Bilbao : retrospectiva Carole Roussopoulos

CINE DOCUMENTAL FEMINISTA
ZINEMAKUMEAK GARA! y el Centro de Documentación de mujeres Maite Albiz y Zinegoak, presentan la retrospectiva sobre la cineasta documentalista y activista feminista, Carole Roussopoulos que dedicó buena parte de su trabajo a registrar las sucesivas olas del activismo feminista y otros movimientos sociales.
Con la participación de Nicole Fernández Ferrer , delegada general del Centro Audiovisual Simone de Beauvoir de París.

LUNES 29 DE MAYO, 19:30

Cinquantenaire du deuxième sexe (1949-1999), Cincuentenario de « El segundo sexo »

SINOPSIS:

En enero de 1999, cincuenta años después de la publicación de la obra maestra de Simone de Beauvoir, « El segundo sexo », una conferencia celebrada en París reúne a mujeres de 37 países. La película alterna momentos del simposio, el testimonio de personas cercanas a Simone de Beauvoir y entrevistas con mujeres que asistieron de varias partes del mundo para discutir el papel que esta obra jugó en sus vidas.
Directoras: Carole Roussopoulos y Christine Delphy
Año: 2001
Duración: 47 min.
País: Francia
Idioma: en francés con subtítulos en castellano.

CHARLA DEBATE: con Nicole Fernández Ferrer , delegada general del Centro Audiovisual “Simone de Beauvoir” de París.

 

MARTES, 30 DE MAYO, 19:30

Y’a qu’à pas baiser!, Basta con no follar

SINOPSIS:

Documento militante a favor del aborto y la contracepción libre y gratuita. El filme alterna imágenes de la primera manifestación feminista multitudinaria en París el 20 de noviembre de 1971 e imágenes de un aborto ilegal practicado según el método Karman.
Directora: Carole Roussopoulos
Año: 1973
Duración: 17 min.
País: Francia
Idioma: en francés con subtítulos en castellano.

Le F.H.A.R (Front homosexuel d’action révolutionnaire), El F.H.A.R. (Frente Homosexual de Acción Revolucionaria)

SINOPSIS:

París, 1971. El filme muestra imágenes de la primera manifestación homosexual dentro el tradicional desfile del 1 de mayo y la discusión que tuvo lugar, pocas semanas después, en la Universidad de Vincennes, en el marco de un seminario de filosofía. Entre otros militantes del nuevo Frente Homosexual de Acción Revolucionaria, encontramos a la feminista Anne-Marie Fauret y al escritor Guy Hocquenghem.
Directora: Carole Roussopoulos
Año: 1971
Duración: 26 min.
País: Francia
Idioma: en francés con subtítulos en castellano.

 

Qui a peur des amazones?, ¿Quién teme a las amazonas?

SINOPSIS:

A partir de las manifestaciones con motivo de la Expo 02 y del Desfile por el Orgullo Lésbico y Gay de Berna en 2000, esta película propone diferentes testimonios en torno al hecho de ser lesbiana hace 15 años, como el Hilo Rojo, en el bello espectáculo de Catherine Gaillard «Las Amazonas».
Directora: Carole Roussopoulos
Año: 2003
Duración: 27 min.
País: Suiza
Idioma: en francés con subtítulos en castellano.

Il faut parler : portrait de Ruth Fayon, Hay que hablar: retrato de Ruth Fayon

SINOPSIS:

Ruth Fayon, deportada por el régimen nazi durante la Segunda Guerra Mundial, acepta enfrentarse, después de treinta años de silencio, a lo indecible. Para este testimonio conmovedor, Primo Levi se une a Ruth Fayon gracias a las imágenes de archivo.
Directoras: Carole Roussopoulos y Rina Nissi
Año: 2003
Duración: 29 min.
País: Suiza
Idioma: en francés con subtítulos en castellano.
Entrada libre hasta completar aforo.

LUGAR:
Azkuna Zentroa, Sala Bastida
Plaza Arriquíbar, 4
Bilbao

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