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Résultats de recherche pour

"Delphine Seyrig"

16
Avr
2019
25 avril 2019 aux Ateliers sauvages à Alger : rencontre et projection de films de Carole Roussopoulos

25 avril 2019 aux Ateliers sauvages à Alger : rencontre et projection de films de Carole Roussopoulos

Jeudi 25 avril 2019 à partir de 15h aux Ateliers sauvages d’Alger

programme « Carole Roussopoulos, vidéaste féministe »
Séances présentées par Wassyla Tamzali & Nicole Fernández Ferrer.
Chaque séance est suivie d’une rencontre.

Séance 15h
Genet parle d’Angela Davis
France, Video Out, 1970, n& bl., 7 min
Au lendemain de l’arrestation d’Angela Davis en octobre 1970, Jean Genet lit à trois reprises un texte de dénonciation de la politique raciste des États-Unis, de soutien au parti des Black Panthers et à Angela Davis, pour une émission de télévision qui sera finalement censurée.

Munich coréalisé avec Paul Roussopoulos
France, Vidéo Out, 1972, n& bl., 12min.30,
En septembre 1972, un commando palestinien du nom de Septembre Noir prend en otage la délégation israélienne aux jeux olympiques de Munich. Ce film, qui dénonce l’hypocrisie de cette illusoire « paix olympique », est un montage d’images de la télévision officielle et d’images tournées dans les camps de réfugiés palestiniens de Jordanie en septembre 1971 (Septembre Noir), en pleine répression des populations palestiniennes par les armées du roi Hussein.

Maso et Miso vont en bateau
Co réalisé avec Delphine Seyrig, Ioana Wieder et Nadja Ringart
France, Les Muses s’amusent, 1976, n&bl., 55min,
Le 30 décembre 1975, après avoir vu sur Antenne 2 l’émission gentiment misogyne de Bernard Pivot intitulée « Encore un jour et l’année de la femme, ouf ! c’est fini », à laquelle était invitée Françoise Giroud, quatre féministes détournent l’émission par des interventions humoristiques et impertinentes pour conclure que « le secrétariat d’Etat à la condition féminine est une mystification ».

Séance 17h
Le F.H.A.R. (Front homosexuel d’action révolutionnaire)
France, Vidéo Out, 1971, n& bl., 26min
En 197& à Paris c’es la première manifestation homosexuelle . Elle se déroule à l’intérieur du traditionnel défilé du 1er mai. Quelques semaines plus tard, à l’Université de Vincennes, dans le cadre d’un séminaire de philosophie des militant-e-s du tout nouveau Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire, dont la féministe Anne-Marie Fauret et Guy Hocquenghem discutent avec des étudiant.e.s , des enseigant.e.s.

Christiane et Monique
France, Vidéo Out, 1976, n&bl., 30min.
En 1976, à Besançon, les ouvriers de LIP occupent à nouveau leur usine et relancent la production de montres. Monique et Christiane témoignent de la difficulté d’être femme face aux ténors de la revendication syndicale.

Les travailleuses de la mer
France, Vidéo Out, 1985, coul., 25min.30
Sur le port de pêche de Lorient en Bretagne, près de 800 femmes travaillent, les fileteuses le jour, les trieuses de poissons la nuit. Quelques-unes témoignent des conditions dans lesquelles elles exercent leur métier, des conditions quasiment inchangées depuis cinquante ans…

19h Rencontre : « Caméra au poing : le parcours singulier de Carole Roussopoulos »

Une rencontre ponctuée de nombreux extraits de films de Carole Roussopoulos issus des collections du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir qu’elle a fondé en 1982 avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder. L’histoire d’un engagement politique féministe en luttes et en films, d’une caméra au service des « sans voix », un outil de contestation et de création.
Intervenante : Nicole Fernandez Ferrer , déléguée générale du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir

Séance 20h
Mort des malades, souffrance des soignants
Coréalisé avec Francine Claude-Leyssenne, Anne-Marie Langohr
France, (ANACT), Fédération Nationale CFDT Santé Sociaux, Fondation Européenne pour l’Amélioration des Conditions de Vie et de Travail, Fondation de France, Institut pour l’Amélioration des Conditions de Travail, 1991 coul., 30min.,
A l’hôpital général de Martigues et à l’hôpital universitaire Erasme de Bruxelles, des équipes de soins parlent pour la première fois de leur souffrance face à la douleur et à la mort des malades. Elles expriment leurs difficultés, leur désarroi, leurs peines à l’égard des malades, des familles, des collègues et des médecins et leur besoin d’une véritable formation.

Les Hommes invisibles
France, La Fondation de France, Le Centre d’Accueil et de Soins Hospitaliers de Nanterre, La Fondation Crédit Local de France, 1993, coul., 33min.
Vagabonds, sans domicile fixe, ils sont nombreux à vivre dans l’errance. à l’initiative de Xavier Emmanuelli, le CHAPSA (Centre d’Hébergement et d’Accueil pour les Sans Abri) de l’Hôpital de Nanterre assure, en milieu hospitalier, des services d’accueil et de soins aux plus démunis. Ce film a contribué à la création du Samu social.

Je suis un être humain comme les autres
Sur une idée de Jean-Marc Dupont
Suisse, FOVAHM et Carole Roussopoulos, 2006, coul., 36min
La FOVAHM (Fondation Valaisanne en faveur des personnes handicapées mentales) accueille plus de 270 personnes dans ses lieux de vie (homes et appartements), ses ateliers d’occupation et ses centres de formation. Les thèmes du logement, du travail, des loisirs, de la formation, de l’intimité, des rapports humains et de la politique sociale en lien avec les personnes handicapées mentales sont abordés par les personnes en situation de handicap.

—————————————————————————————————————————
Carole Roussopoulos, vidéaste féministe

Carole Roussopoulos découvre la vidéo à la fin des années 60 avec l’apparition du Portapack, première génération de caméra vidéo portables.
Née de Kalbermaten à Sion en Suisse en 1945, décédée en 2009, Carole a réalisé plus de 100 films documentaires.

« La vidéo était vraiment l’outil idéal pour donner la parole. (…).C’est comme si « Monsieur et Madame Sony » m’avaient fait un outil sur mesure, qui a déclenché cette envie que j’avais déjà en moi de lutter à ma façon contre différentes injustices. Ce que j’aimais dans la vidéo, c’était aussi qu’il n’y avait pas de pression, et la cassette ne coûtait pas cher. J’assimile plus mon travail à des tracts-vidéo, des petits cris, de petites alertes, et c’est aussi pour cette raison que la bande n’a pas besoin d’être très longue, parce que je n’ai jamais eu la prétention de résoudre un problème, ou d’achever une analyse. C’est un cri, et après les gens pensent ce qu’ils veulent. J’aime beaucoup ce côté très modeste de la vidéo. » (Carole Roussopoulos – entretien réalisé par Dario Marchiori Les 2-3 mars 2009 à Molignon (Suisse) chez Carole et Paul Roussopoulos)

Dès sa première bande vidéo Genet parle d’Angela Davis (1970), filmée avec Paul Roussopoulos, Carole est du côté des insoumis.e.s. Avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder, elle crée le groupe Les Muses s’amusent qui détourne une émission de télévision réalisant Maso et Miso vont en bateau (1976). Avec Delphine Seyrig, elle filmera à Paris et Los Angeles Sois belle et tais-toi ! (1975-76) et co-réalisera l’irrévérencieux SCUM Manifesto (1976).
Comme le souligne Giovanna Zapperi, professeure en Histoire de l’art contemporain, ces productions sont « exemplaires d’une pratique de la désobéissance qui prend forme à travers un usage politique de la vidéo, capable de faire dialoguer l’humour, la critique sociale et l’émergence d’un regard féministe ».
En 1982, Carole Roussopoulos fonde avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, premier et unique lieu d’archives audiovisuelles consacré aux femmes, à leurs droits, leur création, leur histoire.
Carole donnera la parole aux hommosexuel.le.s du FHAR, des femmes prostituées en lutte, aux mères de militants basques assassinés par le régime franquiste, à des jeunes femmes victimes d’inceste, des travailleuses de la mer, des soignants et des malades, des jeunes incarcérés, des femmes immigrées qui se battent pour leurs droits.

Nicole Fernández Ferrer
Déléguée générale du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, Paris
Mars 2019

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
18
Mar
2019
Jeudi 21 mars 2019 à 20h20 au cinéma du Réel : séance consacrée à Carole Roussopoulos

Jeudi 21 mars 2019 à 20h20 au cinéma du Réel : séance consacrée à Carole Roussopoulos

Au cinéma du Réel (15 au 24 mars 2019) dans le cadre de Front(s) populaire(s) qui « activera chaque année la fonction politique et activiste du cinéma. Cette année la thématique sera « Quel pouvoir des images ? » ou comment les images qui rendent compte des luttes peuvent y ordre part. »

Séance #8 : La vidéo outil de prise de parole
Programme consacré à Carole Roussopoulos
jeudi 21 mars 2019 20H20 Cinéma 2
Le F.H.A.R. (Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire) de Carole Roussopoulos
1971, France, 26 min
Des images de la première manifestation homosexuelle à l’intérieur du traditionnel défilé du 1er mai et la discussion qui a lieu, quelques semaines plus tard, à l’Université de Vincennes, dans le cadre d’un séminaire de philosophie. Parmi les militant-e-s du tout nouveau Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire, on retrouve Anne-Marie Fauret, lesbienne féministe et Guy Hocquenghem.

LIP : Monique de Carole Roussopoulos
France, 1973, 25 min
A Besançon, après l’occupation de l’usine LIP par les forces de l’ordre, une travailleuse, Monique Piton, raconte leurs quatre mois de lutte, souligne la place décisive des femmes dans le Comité d’Action et dénonce le rôle joué par la télévision.

S.C.U.M. Manifesto 1967 de Carole Roussopoulos Delphine Seyrig
France, 1976, 27 min
Lecture mise en scène d’extraits de S.C.U.M. Manifesto (Society for Cutting Up Men) de Valerie Solanas, édité en 1967 et alors épuisé en français. Delphine Seyrig en traduit quelques passages à Carole Roussopoulos qui les tape à la machine. En arrière-plan, un téléviseur diffuse en direct des images du journal télévisé dont on entend par moments les nouvelles apocalyptiques.

Y’a qu’à pas baiser ! de Carole Roussopoulos
France, 1971, 17 min
Alternance d’images de la première grande manifestation féministe qui a lieu à Paris le 20 novembre 1971 et des images d’un avortement illégal pratiqué selon la méthode Karman.

http://www.cinemadureel.org/section/fronts-populaires-2019/?film_year=2019&edition_slug=2019

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
20
Jan
2019
Jeudi 24 janvier 2019 à 19h : projection de « Sois belle et tais-toi ! » à la Cinematek de Bruxelles

Jeudi 24 janvier 2019 à 19h : projection de « Sois belle et tais-toi ! » à la Cinematek de Bruxelles

Jeudi 24 janvier 2019, à l’invitation de la ,
Nicole Fernandez Ferrer présentera Sois belle et tais-toi ! de Delphine Seyrig, dans le cadre de CLASSICS & ANTHOLOGIES JULIET BERTO 02.12 > 24.01.2019
Sois belle et tais-toi ! France, 1976, 1h51, noir et blanc
Image: Carole Roussopoulos. Montage : Carole Roussopoulos et Ioana Wieder. Production : Delphine Seyrig.
Avec : Jane Fonda, Shirley MacLaine, Anne Wiazemsky, Maria Schneider, Ellen Burstyn, Juliet Berto, Marie Dubois, Millie Perkins, Rita Renoir…

1976. Vingt-quatre actrices françaises et américaines, face caméra, parlent de leur expérience professionnelle dans le milieu du cinéma en tant que femmes. Une photographie d’une époque malheureusement pas encore tout à fait révolue.
A partir de questions identiques posé à chaque actrice : Auriez-vous choisi le même métier si vous aviez été un homme ? Y a-t-il une place pour une comédienne au delà de 40 ans ? Avez-vous songé à devenir metteur.e en scène ?, Delphine Seyrig dessine et un milieu misogyne et conservateur.
Interrogées sur leurs expériences professionnelles en tant que femmes, leurs rôles et leurs rapports avec les cinéastes et les équipes, les comédiennes dressent un bilan négatif. Être belle et se taire, c’est bien l’attitude qu’on attend d’elles, ces femmes à qui on ne propose que des rôles stéréotypés, voire aliénants. Elles s’interrogent sur leur position dans cette industrie sexiste, et clament la nécessité d’écrire elle-même les rôles qu’elles veulent interpréter.

« Cette série d’entretiens avec des actrices sur leur statut et les rôles qu’on leur propose fait apparaître combien le discours de « l’emballage » de la misogynie dominante a changé depuis lors, et combien l’essentiel des mécanismes du mépris et du contrôle demeurent – contre les femmes, mais désormais de manière sans doute plus diffuse, moins grossièrement codée, au détriment de tous. D’une tonifiante drôlerie et d’une impeccable précision, l’enseignement de ces brefs dialogues – parmi lesquelles on (re)découvre la Jane Fonda d’alors, étincelante de lucidité politique, fait de ce film […] un exemple des ressources du cinéma comme analyseur temporel, doté de vertus de compréhension du monde inépuisables. » (Jean-Michel Frodon, Cahiers du cinéma n°626, septembre 2007)

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Non classé
30
Août
2018
3 au 13 septembre des films du Centre à Rio : première mostra Século XXI, Mulheres Ação! puis à Sao Paulo : festival Les Insoumuses

3 au 13 septembre des films du Centre à Rio : première mostra Século XXI, Mulheres Ação! puis à Sao Paulo : festival Les Insoumuses

Le Secrétariat Municipal à la culture de Rio de Janeiro, RioFilme, la Cinémathèque du Musée d’Art moderne de Rio de Janeiro, le Consulat de France, l’Institut Français et le Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir ont le plaisir de vous informer de l’ouverture et du programme de Século XXI, Mulheres Ação!, un évènement indépendant pour renforcer et amplifier les réseaux et la voix des femmes à Rio de Janeiro.

Puis à Sao Paulo, une programmation de films des trois fondatrices du Centre Simone de Beauvoir intitulée Les Insoumuses.

La programmation des films a été assurée par André Cals et Nicole
Fernández Ferrer, déléguée générale du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir qui présentera les films issus du fonds du Centre

Ouverture
Le 3 septembre à 19h30 au Cinémaison
Avenida Presidente Antônio Carlos, 58
Centro / Rio de Janeiro

Projection de deux films :
Thokozani Football Club: Team Spirit, de Thembela Dick
Afrique du sud, 2014, 22min
Et Baronesa de Juliana Antunes
Brésil, 2017, 70min

Programme du 4 au 9 septembre 2018
A la Cinémathèque du Musée d’Art Moderne
Av. Infante Dom Henrique, 85 Parque do Flamengo

mardi 4 septembre
14h Século XXI
Chega de Fiu-Fiu de Amanda Kamanchek Lemos e Fernanda Frazão (doc, SP, 2018, 73min)

16h Centre Simone de Beauvoir
Sois belle et tais-toi ! de Delphine Seyrig
(doc, France, 1976, 1h55min)

18h #MulheresAção
Precisamos falar do assédio, de Paula Sacchetta (doc, SP, 2016, 80min)

20h Débat : Stop au harcèlement
Modératrice : Amanda Kamanchek Lemos, journaliste, réalisatrice de “Chega de Fiu-Fiu”
avec Paula Sacchetta, documentariste, réalisatrice de “Precisamos falar do assédio”
& Kenia Mariam, écrivaine et actrice, défenseure des droits des femmes noires pour l’ONU et mobilisatrice du projet Criança Esperança
& Giowana Cambrone, avocate, professeure de droit, spécialiste de la démocratie participative et des mouvements sociaux, conseillère juridique du programme Rio sans homophobie
& Larissa Schmillevitch, psychologue et membre du projet Mapa do Acolhimento

Mercredi 5 septembre
14h Século XXI
Que horas ela volta?, de Anna Muylaert (fi c, SP, 2015, 1h52min)

16h30 Centre Simone de Beauvoir
Accouche !, de Ioana Wieder (doc, France, 1977, 49min)

18h Mulheres Ação !
Clandestinas, de Fádhia Salomão (fi c, SP, 2014, 24min)
+ O Aborto dos Outros, de Carla Gallo (doc, SP, 2008, 1h12min)

20h Débat
La Maternité : un choix
Modératrice : Ellen Paes – journaliste, directrice de #euvocêtodasnós
Avec Renata Corrêa, écrivaine, scénariste de Clandestinas
& Ana Clara Toledo – Coordinatrice de Comunicação da Beta, a robô feminista
& Jacqueline Alves, inifrmière en obstétriuque, chercheure dans le domaine de la santé des femmes de l’accouchement et de la naissance, mère à temps plein, militante pour la fin des inégalités de race et de genre
& Ariana Santos, enseignnate à l’Insitut de médeicne sociale et infirmière en obstertique à la Maison de naissance. Assistante pour les accouchements à domiicle dans le cadre du porjet Sankofa.

Jeudi 6 septembre
14h Século XXI
Mate-me Por Favor, de Anita Rocha da Silveira
(fi c, RJ, 2015, 1h45min)

16h Centre Simone de Beauvoir
Le FHAR (Le Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire)
(doc, France, 1971, 26min)
Qui a peur des amazones ?, de Carole Roussopoulos (doc, Suisse, 2003, 27min)

18h #MulheresAção
Arremate, de Éthel Oliveira (doc, RJ, 2017, 25min)
+ Amor maldito, de Adelia Sampaio (fi c, SP, 1984, 80min)

20h | Débat
Lesbianisme, action !
Modératrice : Camila Marins, journaliste, activiste lesbienne et éditrice de la revue Brejeiras
Avec Fatinha Lima, activiste LGBT, fondatrice du Favela Cineclube
& Éthel Oliveira, diretrice de Arremate

Vendredi 7 septembre

14h | Século XXI
Mulheres no Funk, de Luisa Nolasco (doc, RJ, 2013, 13min)
+ Sou feia mas tô na moda, de Denise Garcia (doc, RJ, 2004, 61min)

16h | Centre Simone de Beauvoir
Audre Lorde, the Berlin Years 1984 to 1992, de Dagmar Schultz
(Allemagne, 2012, 1h19min)

18h #MulheresAção
Courts métrages du programme Protagonismo Negra:
Tia Ciata, de Mariana Campos e Raquel Beatriz (doc, RJ, 2017, 26min)
Travessia, de Safi ra Moreira (doc, RJ, 2017, 5min)
Privilégios, de Rosa Miranda (doc, RJ, 19min, 2018)
A boneca e o silêncio, Carol Rodrigues (fi c, SP, 2015,19min)
Manual, de Letícia Simões (doc, RJ, 2016, 7min)
O Rito, de Cintia Lima (videoarte, PE, 2014. 8min)
Kbela, de Yasmin Thayná (doc, RJ, 2015, 20min)

20h | Débat
PROTAGONISMO NEGRA
Modératrice : Edmeire Exaltação, coordinatrice de la Casa das Pretas
Avec Rosa Miranda, responsable du Cineclube Atlântico Negro et enseignante de cinéma à l’université fédérale Fluminense. Directrice de Privilégios.
Sabrina Fidalgo, scénariste, actrice, productrice, directrice de Rainha
Ana Paula Alves Ribeiro, sociologue, professeure à l’Université de l’Etat de Rio de Janeiro.
Lucia Xavier, assistante Sociale, coordinatrice générale de CRIOLA

Samedi 8 septembre
14h Século XXI
Meu corpo é político, de Alice Riff (doc, SP, 2017, 1h12min)
16h Centre Simone de Beauvoir
Carole Roussopoulos, une femme à la caméra,
de Emmanuelle de Riedmatten (doc, Suisse, 2011, 1h16min)

18h Centre Simone de Beauvoir
Portrait de Simone de Beauvoir, de Alice Schwarzer
(doc, Allemagne, 1974, 45min)

19h Conférence
Nicole Fernández Ferrer, directrice du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir évoquera son travail au sein de cette institut fémniste Centre, et commentera les films brésileins qu’ele aura décovuert au cours de cete evenlent .
brasileiros que assistiu ao longo do evento.

dimanche 9 de septembre
A partir de 10h
Activités libres à l’extérieur : Cours de yoga, massages, picnic, vente de produits

13h Slam das minas

14h Século XXI
Courts-métrages du programme Girl Power:
Rainha, de Sabrina Fidalgo (fi c, RJ, 2016, 30min)
Cores e Botas, de Juliana Vicente (fi c, SP, 2011 ,15min)
Gorda, de Luiza Junqueira (doc, RJ, 2015 , 15min)
Castanho, de Eduardo Valente (fi c, RJ, 2002 ,12min)
Filme Catástrofe, de Gustavo Vinagre (fi c, SP, 2017, 19min)

16h Filme de clôture : Euvocêtodasnós, de Ellen Paes e Rafael Figueiredo (doc, RJ, 2017 ,52min)

18h Clôture

4 a 9 setembro
CINEMATECA MAM
Av. Infante Dom Henrique, 85
Parque do Flamengo

https://www.facebook.com/seculoxximulheresacao/

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Non classé
05
Juin
2018
15 juin 2018 9h à 18h Femmes archivées / Femmes archivistes Quelles mémoires urbaines en images ?

15 juin 2018 9h à 18h Femmes archivées / Femmes archivistes Quelles mémoires urbaines en images ?

Femmes archivées / Femmes archivistes Quelles mémoires urbaines en images ?
Journée d’étude .      15 juin 2018 .     9h – 18h
Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville .    Amphithéâtre Central
60 boulevard de la Villette 75019 Paris

Premier jalon d’un programme de recherche exploratoire intitulé « Des contre-regards documentaires ? Les mondes urbains photographiés et filmés par les femmes » porté par le collectif Penser l’urbain par l’image du Labex Futurs Urbains, cette journée d’étude vise à interroger la transmission d’une mémoire urbaine des femmes s’appuyant sur des pratiques de documentation visuelle, et en particulier sur le film et la photographie. A partir d’un ensemble de projections, de présentations d’ouvrages et de performances à la croisée de l’art et de la recherche en sciences humaines et sociales, elle questionnera la portée féministe d’images produites et/ou regardées par des femmes depuis leur expérience urbaine.

PROGRAMME 

Accueil 9h30

Introduction par Cécile Cuny et Anne Jarrigeon

10h – 11 h
Le logement social raconté par les femmes : archives de l’INA (1960-1980). par Laetitia Overney (ENSA Paris Belleville, Ipraus) La télévision des années 1960 nous fait découvrir un nouveau monde : les grands ensembles, les formes architecturales inédites, les femmes qui les habitent. Les femmes sont les figures centrales de ces nouveaux quartiers quand les hommes sont au travail à l’extérieur de la cité. Que racontent-elles alors de leur logement social enfin obtenu après des années de mal logement ? Quelles pratiques et quelles attitudes, quels savoirs et savoirs faire sont alors mis en vue par les documentaires de la télévision ? Des années 1960 aux années 1980, les effets de l’urbanisation sur l’émancipation des femmes de milieu populaire affleurent à l’écran. discutante : Hortense Soichet (photographe, Lab’Urba)

 

11h – 12h
Le parcours singulier du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir : de la vidéo militante à l’éducation à l’image
par Nicole Fernandez Ferrer programmatrice, archiviste et déléguée générale du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir. Le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir a été créé en 1982 par Carole Roussopoulos, Delphine Seyrig et Ioana Wieder. Militantes féministes impliquées dans la pratique de la video, elles ont mis au coeur de leurs objectifs, la conservation, la mise à disposition et la valorisation des vidéos produites depuis la fin des années 60 avec l’apparition de la vidéo légère. Elles ont poursuivi au sein du centre la production de nouveaux films concernant l’histoire des femmes, leurs droits, leurs luttes, leurs créations. Impliqué dans l’éducation à l’image et la lutte contre les stéréotypes liés aux représentations sexuées dans l’audiovisuel, le Centre audiovisuelle Simone de Beauvoir intervient également dans les prisons. Il produit et réalise des films et travaille en collaboration avec des artistes à travers le collectif Travelling féministe, et en mettant ses archives à la disposition des créatrices qui souhaitent les utiliser pour nourrir leur création.

Discutante : Anne Jarrigeon (LVMT)

 

12h – 13h

Projection Débat : Ainsi soient-elles documentaire, 30 min, production Varan, 2015 avec la réalisatrice Anne Jarrigeon et la monteuse Cécile Perlès A l’occasion d’un stage, la jeune Tara découvre l’univers intellectuel et l’engagement de Christine et Catherine, les deux fondatrices de la librairie féministe Violette and Co. De l’accrochage des expositions artistiques aux conversations chuchotées au milieux des livres, en passant par les rencontres littéraires organisées dans la mezzanine bien connue des habitué.e.s de ce lieu unique en son genre, le film, réalisé sans interview dans la lignée du « cinéma direct », interroge la transmission de la contre-culture féministe et la résistance à l’invisibilisation des savoirs de femmes. Il donne à voir en toile de fond comme au premier plan ces innombrables oeuvres, noms et visages scandaleusement méconnus en dehors des cercles de spécialistes et de militant.e.s. Avec Tara Baret, Christine Lemoine, Catherine Florian, Christine Planté et Michelle Perrot discutante : Alexa Färber (Hafencity University, Hambourg)

13 h 14h 30 – déjeuner 14h30 –

16h Projection – Débat : Nayère, les chants de la liberté documentaire, 54 min, 2005*
avec la réalisatrice Mina Saïdi Sharouz (ENSA La Villette, LAVUE) Mina Saïdi Sharouz est née en Iran où elle continue de se rendre régulièrement. Sa mère, Nayère Saïdi fut une poétesse et femme publique qui toute sa vie incarna l’image de la femme moderne dans le Téhéran d’avant la révolution islamique. Dans un double questionnement sur la situation des femmes iraniennes aujourd’hui et sur l’oeuvre de sa mère, la réalisatrice cherche à tisser un lien entre les actions engagées du temps de Nayère et la réalité de la condition féminine actuelle. En rencontrant des femmes de tous milieux, militantes ou pas, qui ensemble font évoluer l’image et la place des femmes dans leur pays, elle parvient à dresser un tableau complexe et touchant d’une société féminine iranienne volontaire, combative et en marche vers l’égalité des droits. *Coproduction la Huit production et la télévision belge (RTBF/ La Huit Production/Anisseh nama), France- Iran discutante Lucinda Groueff (Lab’urba)

Pause 16h -16h-20

 

16h20 – 18h Photographies – lecture / performance : Esperem
Présentation du projet photographique Esperem par les femmes gitanes de la cité de l’Espérance de Berriac (Aude), la photographe Hortense Soichet (Lab’Urba), Julie Marty et Eric Sinatora (Graph-CMI) Lecture performance des femmes gitanes mise en scène par Marie Christine Azema Depuis vingt ans, une quinzaine de femmes gitanes participent à des ateliers photographiques organisés par Éric Sinatora, directeur du G.R.A.P.H-CMI, association d’éducation populaire à l’image, dans l’Aude. De novembre 2013 à avril 2015, la photographe Hortense Soichet est invitée en résidence. Ce projet conçu comme un terrain d’expérimentation de la photographie sociale vise à conserver la mémoire d’un quartier particulier voué à la démolition. Il fait le lien entre plusieurs générations et témoigne des modes de vie et d’habiter gitans, de l’évolution du statut des femmes en particulier, et dénonce les clichés. Les femmes ont, par une mise en miroir de leur propre communauté, créé un discours visuel, qui relève à la fois de l’anthropologie de la vie quotidienne et de l’esthétique. Soucieuses de perpétrer une tradition de transmission orale de leur culture, les femmes gitanes ont participé à la réalisation d’entretiens auprès des habitants de la cité de l’Espérance qui apparaissent sous formes de textes dans l’ouvrage Esperem (Hortense Soichet et les femmes gitanes de la Cité de l’Espérance, Esperem, Grâne, Créaphis, 2016). La force de ces textes a rendu évidente la nécessité de les faire sortir du livre afin de les partager avec un public plus large que celui concerné par l’ouvrage. Pour les accompagner dans cette démarche, Marie-Christine Azema, metteure en scène de la compagnie Ze Regalia a été sollicitée. Ce travail a donné naissance à une lecture mise en jeu d’une heure avec la participation de l’ensemble du groupe.
Discutante Anne Jarrigeon (Ecole d’urbanisme de Paris, LVMT)

 

Informations pratiques
Accès

Ecole nationale supérieure d’architecture de Belleville
60 Boulevard de la Villette, 75019 Paris
Métro ligne 2 – Station Colonel Fabien ou Belleville

Contact
anne.jarrigeon@univ-paris-est.fr
cecile.cuny-robert@univ-paris-est.fr

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
01
Mai
2018
Jeudi 24 mai à la cinémathèque de Toulouse Les LIP de Carole Roussopoulos & le militantisme féministe après 68

Jeudi 24 mai à la cinémathèque de Toulouse Les LIP de Carole Roussopoulos & le militantisme féministe après 68

Programme LIP par Carole Roussopoulos

Séance présentée par Nicole Fernández Ferrer, déléguée générale du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, et suivie d’une discussion

jeudi 24 mai 2018, 19h00 



Lip : Monique
Carole Roussopoulos
1973. Fr. 25 min. N&b. DCP.

Lip : La Marche de Besançon
Carole Roussopoulos
1973. Fr. 25 min. N&b. DCP.

Lip : Monique et Christiane
Carole Roussopoulos
1976. Fr. 30 min. N&b. DCP.

Lip : Jacqueline et Marcel
1976. Fr. 30 min. N&b. DCP.

À Besançon, de l’occupation de l’usine de montres LIP par les forces de l’ordre en août 1973 jusqu’à la relance de l’activité par les ouvriers eux-mêmes en 1976, une série de portraits de travailleuses et de travailleurs. Ils racontent les quatre mois de lutte, les conditions de travail et témoignent de la difficulté d’être femme face aux ténors de la revendication sociale. Dans Monique et Christiane, l’un des quatre segments proposés, Monique, une ouvrière, propose de remplacer dans son récit « homme » par « blanc » et « femme » par « arabe ». S’ensuit un témoignage éloquent et drôle.

Infos pratiques – Vente en ligne

Militantisme féministe

Séance présentée par Nicole Fernández Ferrer, déléguée générale du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, et suivie d’une discussion
Jeudi 24 mai 2018, 21h00 

Jean Genet parle d’Angela Davis
Carole Roussopoulos
1970. Fr. 8 min. N&b. DCP.

Les Enfants du gouvernement
Claude Jourde
1974. Fr. 39 min. N&b. DCP.

Kate Millett parle de la prostitution avec des féministes
Catherine Lahourcade, Anne-Marie Faure-Fraisse, Syn Guérin
1975. Fr. 20 min. N&b. DCP.

SCUM Manifesto
Carole Roussopoulos, Delphine Seyrig
1976. Fr. 28 min. N&b. DCP.

Le militantisme féministe. La déclaration de Jean Genet suite à l’arrestation d’Angela Davis, une militante du Black Panther Party, la grève des élèves dans un collège réservé aux mineures enceintes, la grève des prostituées et les débats qui s’ensuivent, et la comédienne Delphine Seyrig face à la caméra de Carole Roussopoulos pour une lecture mise en scène de SCUM Manifesto, le livre de Valérie Solanas. Quatre films qui témoignent d’une bouillonnante activité entre protestation, discussion et expérimentation.

Infos pratiques – Vente en ligne

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
26
Avr
2018
22 mai 2018 18h30 « Carole Roussopoulos, une femme à la caméra » de Emmanuelle De Riedmatten

22 mai 2018 18h30 « Carole Roussopoulos, une femme à la caméra » de Emmanuelle De Riedmatten

Mardi 22 mai 2018 18h30 au Forum des images
Dans le cadre d’une séance Éclairages :
projection du film  « Carole Roussopoulos, une femme à la caméra » de Emmanuelle de Riedmatten
Suisse , 2016, coul. & n. et bl., vidéo, 76 min

Suivie de l’analyse de Nicole Fernandez Ferrer (déléguée générale du centre Simone de Beauvoir)

Documentaire consacré au travail de la cinéaste Carole Roussopoulos, pionnière de la vidéo et militante féministe. Archives et entretiens avec ses proches alternent avec des extraits de ses films, qui sont autant de témoignages des luttes féministes, LGBT,  sociales et d’émancipation des minorités.

ÉCLAIRAGES
Nicole Fernandez Ferrer revient sur le parcours de Carole Roussopoulos, pionnière de la vidéo et militante féministe, confondatrice du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder en 1982.

Séminaire organisé dans le cadre d’Éclairages, rendez-vous mensuel ouvert à tous, sur réservation (dans la limite des places disponibles) où chaque mois, un spécialiste, professionnel, chercheur, critique, historien examine une question au prisme des représentations qu’en propose le cinéma documentaire.

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Non classé
09
Août
2017
24 août 2017 : 2 vidéos restaurées du Centre aux Rencontres de cinéma de Gindou (Lot) 19 au 26 août 2017

24 août 2017 : 2 vidéos restaurées du Centre aux Rencontres de cinéma de Gindou (Lot) 19 au 26 août 2017

Dans le cadre des Rencontres de cinéma de Gindou (Lot) du 19 au 26 août 2017 et de la section Patrimoine, éclats de cinéma militant,
deux vidéos restaurées du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir seront projetées le jeudi 24 août 2017.

S.C.U.M. Manifesto
de Carole Roussopoulos et Delphine Seyrig
France, 1976, vidéo, n& bl. 27 min
Video restaurée par la BnF, notre partenaire depuis 2005.
Plus d’infos sur le film ici

Maso et Miso vont en bateau
du collectif les Insoumuses : Nadja Ringart, Carole Roussopoulos, Delphine Seyrig et Ioana Wieder
France, 1976, vidéo, n& bl., 55 min
Vidéo restaurée par le ZKM (Centre d’art et de technologie des médias) de Karlsruhe dans le cadre d’un partenariat entre le Centre Georges Pompidou-Nouveaux médias, les réalisatrices, leurs ayants droit et le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir.
Plus d’infos sur le film ici

Alain Carou (BnF) et Hélène Fleckinger, universitaire spécialiste du cinéma féministe accompagneront la projection.

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
13
Juin
2017
1er juillet à 15h : « Perturbation, ma sœur* » : Carole Roussopoulos activiste vidéo

1er juillet à 15h : « Perturbation, ma sœur* » : Carole Roussopoulos activiste vidéo

Dans le cadre de l’exposition Grand Trouble à l’auditorium de la Halle Saint Pierre (2, rue Ronsard – 75018 ParisRéservation conseillée : 01 42 58 72 89)

Rencontre autour de l’œuvre de Carole Roussopoulos Samedi 1er juillet à 15 heures – entrée libre

 

« Perturbation, ma sœur* » : Carole Roussopoulos activiste vidéo par Nicole Fernandez Ferrer, directrice du Centre Simone de Beauvoir

Cherchez le trouble non pas comme manque de clarté mais comme perturbation, dérèglement de l’ordre établi, impétuosité d’une parole.
C’est ce que nous donne à voir et à entendre Carole Roussopoulos dans une sélection de ses vidéos des années 1970 à 2000 à travers des personnes engagées et des situations politiques agitées.
De la lutte des vétérans du Vietnam aux militant.e.s du Front Homosexuel révolutionnaire, de Jean Genet & Angela Davis aux femmes de LIP, des prostituées en grève aux Babouches chantantes, de Delphine Seyrig agitatrice féministe à la transmission de combats antiracistes et antinazis, Carole Roussopoulos dérange les idées reçues, bataille caméra vidéo féministe au poing et nous bouleverse.

Liste films projetés intégralement :

Christiane et Monique, LIP 5 (30 min)
Genet parle d’Angela Davis (7min 30)
Il faut parler : portrait de Ruth Fayon (28 min)
Quelques extraits des films suivants seront présentés et commentés brièvement :

Le FHAR
SCUM Manifesto
Les vétérans du Vietnam
Flo Kennedy : portrait d’une féministe américaine
Les Babouches
Les Prostituées de Lyon parlent

*Perturbation, ma soeur – Naissance d’un mouvement de femmes 1970-1972.
Editions du Seuil, 1983.
Réédition Le Félin-Kiron, 2010

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
13
Juin
2017
22 juin à 19h : “Vers un féminisme transnational ? Internationalisme, féminisme et luttes anticoloniales dans les années 1970”

22 juin à 19h : “Vers un féminisme transnational ? Internationalisme, féminisme et luttes anticoloniales dans les années 1970”

Dans le cadre du projet de recherche et d’exposition Exposer Delphine Seyrig ?
Nous avons le grand plaisir de recevoir Bouchra Khalili & Françoise Vergès, pour une discussion sur :
“Vers un féminisme transnational ? Internationalisme, féminisme
et luttes anticoloniales dans les années 1970”

Delphine Seyrig est née à Beyrouth et a grandi entre le Liban et New York. Le contexte à la fois cosmopolite et colonial de sa jeunesse reste encore à explorer, notamment lorsqu’il s’agit de tirer les fils qui relient ses années de formation avec ses engagements dans les luttes transnationales qui ont marqué les années 1960 et 1970.
En 1963, elle tient le premier rôle dans Muriel d’Alain Resnais, qui traite des effets catastrophiques de la guerre d’Algérie sur un ancien militaire français, puis elle joue dans Mr Freedom de William Klein (1969) tout en partageant la perspective anti-impérialiste du réalisateur.
Ensuite, le féminisme sera pour Seyrig une entreprise résolument transnationale, comme le montrent ses différents engagements contre la guerre au Vietnam, pour les droits des prisonnières politiques en Allemagne et en Amérique Latine, et contre la torture: son film Inès (1974) rend ce point particulièrement explicite.Ce séminaire s’intéresse à la dimension transnationale des luttes auxquelles Seyrig à participé dans la perspective d’une actualisation critique.
La discussion prendra pour point de départ un ensemble de vidéos et films réalisés par Delphine Seyrig, Carole Roussopoulos et leur entourage.

Bouchra Khalili est une artiste franco-marocaine née à Casablanca et basée à Berlin. Son travail en film, vidéo, photographie et sérigraphie articule langage, oralité, subjectivité et explorations géographiques. Ses projets peuvent s’envisager comme une plateforme à partir de laquelle des membres des minorités peuvent articuler, proposer, mettre en œuvre et partager des stratégies et discours de résistance. Bouchra Khalili a participé à des nombreuses expositions collectives comme Documenta 14 (Athènes et Kassel, 2017), Here and Elsewhere, New Museum, New York (2014), The Encyclopedic palace, 55e Biennale de Venise (2013). Parmi ses expositions personnelles: Living Labour, Wexner Art Center (2017), The Mapping Journey Project, MoMA, New York (2016), Foreign Office, Palais de Tokyo, Paris (2015), Garden Conversation, MACBA Barcelone (2015). En 2017-2018 elle sera fellow du Radcliffe Institute à l’université de Harvard.

Françoise Vergès occupe actuellement la chaire « Global South » au Collège d’études mondiales à Paris. Elle a été journaliste et éditrice dans le mouvement féministe en France, avant de s’installer aux États-Unis en 1983, où elle a obtenu son doctorat en Science Politique à l’Université de Berkeley, Californie (1995). Sa thèse Monsters and Revolutionaries. Colonial Family Romance est publiée par Duke University Press (1999). Elle a enseigné à Sussex University et au Goldsmiths College à Londres. Membre du Comité pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage en 2004 (Loi « Taubira » de 2001), elle en a été présidente de 2009 à 2012. Entre 2007 et 2010, elle a travaillé à un projet de musée porté postcolonial pour le XXIe siècle. Parmi ses publications : Exposer l’esclavage: méthodologies et pratiques. Paris, Africultures, 2013 ; L’Homme prédateur. Ce que nous enseigne l’esclavage sur notre temps, Paris, Albin Michel, 2011 ; Ruptures postcoloniales. Avec Nicolas Bancel, Florence Bernault, Pascal Blanchard, Ahmed Boubakeur et Achille Mbembe. Paris, La Découverte, 2010. Son dernier livre, Les ventres des femmes (Albin Michel 2017) analyse notamment l’impensé colonial du mouvement féministe en France.

Le séminaire Exposer Delphine Seyrig ? a lieu dans le cadre du projet de recherche et d’exposition qui vise à repenser la personne et les œuvres de Delphine Seyrig (1932-1990) dans le présent. Actrice, réalisatrice, féministe et co-fondatrice du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, Seyrig est une figure singulière dont la trajectoire croise celle de l’histoire du cinéma, du théâtre, de la vidéo et du féminisme.

Ce projet du Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir est organisé par Nataša Petrešin-Bachelez, Nicole Fernández Ferrer et Giovanna Zapperi avec le soutien de Travelling féministe, le Forum des Images et la Fondation de France.

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AGENDA

Mardi 22 avril 2025 à 20h00 au cinéma le Luminor-Hôtel de ville / « Tinta Roja (À l’encre rouge) » en présence de la réalisatrice Carmen Guarini

Jeudi 20 mars 2025 à 20h30 au cinéma le Luminor-Hôtel de ville / Soirée dédiée à May Ayim + « Hoffnung im Herz » de Maria Binder

Mardi 25 février 2025 à 20h45 : « Au lendemain de l’odyssée » d’Helen Doyle au Forum des Images.

Dimanche 23 février 2025 à partir de 10h45 : « Les Festins de Vidéo Femmes » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Mercredi 29 janvier 2025 à 18h30 à la Cité audacieuse : projection de « De rêves et de parpaings » d’Anne-Sophie Birot et Laetitia Douanne + rencontre avec les réalisatrices

Dimanche 15 décembre 2024 à partir de 10h45 : « Les Festins de Nos lèvres révoltées » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Lundi 9 décembre 2024 à 19h à la Cité audacieuse : projection de « À notre santé » (1977) et « Anatomie Autonomie »(2022) et rencontre avec les réalisatrices

Mardi 12 novembre 2024 à 20h30 : « Plus jamais silencieuses » de caroline pierret pirson au Forum des Images.

Lundi 14 octobre 2024 à 19h à la Cité audacieuse : projection de « 30 Years of Sisterhood » de Chieko Yamagami et Noriko Seyama suivie d’une rencontre avec la militante féministe Yuki Takahata.

Jeudi 12 septembre 2024 à 20h au cinéma le Luminor-Hôtel de ville / « O que podem as palavras » de Luísa Sequeira et Luísa Marinho. Portugal, 2022

~~~~ Congés d’été ~~~~ L’équipe du Centre, en congés d’été jusqu’au 18 août 2024, aura le plaisir de vous retrouver le 19 août 2024. Passez un bon été !

Exposition « Precursores: feminismes, càmera en mà i arxiu a l’espatlla ». Du 11 juillet au 17 novembre 2024 à la Filmoteca de Catalunya (BCN).

« Les mères veilleuses » de Vanessa Gauthier. Mardi 2 juillet 2024 à 20h au Luminor-Hôtel de Ville. Séance suivie d’une rencontre avec la réalisatrice Vanessa Gauthier

Dimanche 16 juin 2024 à 11h : « Les Festins d’Abraham Ségal » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Mardi 28 mai 2024 : « Hommage à Sarah Maldoror » avec Annouchka de Andrade et Mariann Mathéus au Forum des Images.

Cycle « Contre-chant : luttes collectives, films féministes » du 19 avril au 4 juillet 2024 au Centre Pompidou.

Mardi 16 avril 2024 à 19h à la Cité audacieuse : projection de « Long Time Passing » de Masako Sakata suivie d’une rencontre avec la réalisatrice et la journaliste et activiste Tran To Nga.

« La permission » de Soheil Beiraghi. Lundi 11 mars 2024 à 20h au Luminor-Hôtel de Ville. Séance suivie d’une rencontre avec Asal Bagheri

Mardi 27 février 2024 : « Ultraviolette et le gang des cracheuses de sang » de Robin Hunzinger au Forum des Images.

Lundi 12 février 2024 à 19h00 : seléction de court-métrages sur la présence et l’activisme LGBTQ+ à la Cité audacieuse

Jeudi 25 janvier 2024 à 20h au cinéma le Luminor-Hôtel de ville / « Hoy y no mañana » de Josefina Morandé. Chili, 2018

Samedi 6 janvier 2024 Invitation à Saison #1 de la récolte féministe pour l’exposition « Les Femmes sont dans la rue ! »

Dimanche 17 décembre 2023 à 11h : « Les Festins de Rosanna Maule » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

DERNIERS JOURS – Exposition « Défricheuses : féminismes, caméra au poing et archive en bandoulière ». Du 28 septembre au 20 décembre 2023 à la Cité internationale des arts.

#Wittig2023 – Films, lectures et mises en scène disponibles dans les collections du Centre

Lundi 17 avril 2023 à 20h : « My Russian 90’s : chronique d’une décenie  » de Macha Ovtchinnikova au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Lundi 20 mars 2023 à 19h à la Cité Audacieuse : projection du film « Le rêve de Samira »

Une programmation exceptionnelle de films de Carole Roussopoulos à l’Entrepôt les 10-11 & 12 mars 2023

15 février 2023 : sortie en salle de « Sois belle et tais-toi ! » de Delphine Seyrig avec Splendor Films

Samedi 28 janvier 2023 à partir de 16 heures : table ronde sur la restauration vidéo + projection Sois belle et tais toi !

Dimanche 29 janvier 2023 à 11h : « Les Festins d’Alexandre » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Lundi 23 janvier 2023 à 19h à la Cité Audacieuse : projection du film « Mauvais sang ? »

L’équipe prend ses vacances d’hiver 2022-2023 (22/12/2022 au 3/01/2023)

Annulé & Reporté début 2023 (suivre nos réseaux) – Dimanche 4 décembre 2022 à 11h : « Les Festins d’Alexandre » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Mardi 22 novembre : projection du film « Le jour où j’ai découvert que Jane Fonda était brune » au Forum des Images

Lundi 24 octobre 2022 à 19h : projection du film « La Fabrique des contre-récits » de Pascale Obolo suivie d’une rencontre à la Cité audacieuse, Paris.

Mardi 20 septembre 2022 20h : Projection du film « Les petites servantes de l’Ecole ménagère de Carspach » de Nadège Buhler au cinéma le Luminor-Hôtel de ville

Mardi 28 juin 2022 à 18h30 Projection du film « Mon nom est clitoris »

Lundi 9 mai 2022 à 19h : Engagées ! Séance de 3 courts métrages en présence des réalisatrices

Mardi 19 avril 2022 à 21h Projection du film « Deux fois » de Jackie Raynal en sa présence

Carte blanche à la Cinémathèque de Bretagne. Mardi 22 mars 2022 à 20h au cinéma le Luminor-Hôtel de Ville, Paris

Dimanche 6 février 2022 à 11h : « Les Festins d’Annouchka » au cinéma le Luminor Hôtel de ville à Paris

Bonne année 2022, Feliz Año nuevo, Happy NewYear, Felice anno nuovo, Bom ano novo…

Mardi 25 janvier 2022 à 18h30 projection « D’où vient cet air lointain ? Chronique d’une vie en cinéma » de Yannick Bellon

Lundi 17 janvier 2022 à 18h30 : projection du film « A Corps perdus » de Magali Chapelan à la Cité audacieuse

Lundi 13 décembre 2021 à 20h : projection du film « Douze fois impures » de Mona Fillières et Anita Perez au cinéma Le Luminor-Hôtel de ville, Paris.

Jeudi 2 décembre 2021 à 18h30 : rencontre avec Jackie Raynal. Entretien mené par Diane Gabrysiak (Meet the Master / Wom@rts)

Mardi 30 novembre 2021 à 18h30 : projection du film « The Archivettes » de Megan Rossman Au Forum des images

Dimanche 31 octobre 2021 au Vidéodrome 2, Marseille (13) à partir de 15h : lancement du cycle Femmes iraniennes devant et derrière la caméra

Vendredi 29 octobre à partir de 15h Bibliothèque François Truffaut, Paris : Cycle Femmes d’Iran, devant et derrière la caméra

Lundi 25 octobre 2021 à 20h30 à Lyon : cycle Femmes d’Iran, devant et derrière la caméra avec « Entre les flots » de Mina Keshavarz

Dimanche 24 octobre 2021 : lancement au Ciné 104 de Pantin du cycle « Femmes d’Iran, devant et derrière la caméra »

Mardi 19 octobre 2021 au cinéma Saint-André des Arts « Delphine et Carole, insoumuses » & Sois belle et tais-toi !

Mardi 28 septembre à 13h45 : Conférence finale du projet européen Wom@rts

22 septembre 2021 à 20h : Projection Les Deux vies d’Eva d’Esther Hoffenberg

Cet été 2021, suivez les projections de nos films en France et ailleurs

Projection du film Mulheres rurais em movimento (Femmes rurales en mouvement) lundi 12 juillet 2021 à 18h à la Cité audacieuse

Du 15 au 20 juin 2021 à Bucarest au Festival One World Romania

Mardi 9 mars 2021 à 17h Séminaire, LOST IN TRANSMISSION : Archives du 8 mars 1979, le mouvement des femmes dans la révolution iranienne

20 janvier 2021 à 18h. La Fabrique des contre-récits : rencontre avec Pascale Obolo. Entretien mené par Anne Wetsi Mpoma

Soutenez le matrimoine audiovisuel, soutenez nos projets. Faites un don avant le 31 décembre 2020

Jeudi 3 décembre 2020 à 18h « Le Son d’un regard » : rencontre avec Vivian Ostrovsky, cinéaste expérimentale.

Visionnez « les Festins de Geneviève Fraisse », séance enregistrée le 18 octobre 2020 au Cinéma Le Luminor-Hôtel-de-Ville

Dimanche 18 octobre 2020 à 11h : Les Festins de Geneviève Fraisse. Au cinéma Le Luminor-Hôtel de ville

9 -21 octobre 2020 : rétrospective Delphine Seyrig à Lisbonne dans le cadre de la Festa do cinema francês

24 sept-4 oct 2020 : Les filles sages vont au paradis, les autres vont où elles veulent aux Rencontres cinéma et société en Corrèze.

22 septembre 2020 : Avant-première du film « Madre Habana » d’Emmanuelle de Riedmatten

Retrouvons-nous le 1er septembre 2020. A vos agendas pour nos prochains rendez-vous !

Découvrez la vidéo de la soirée de lectures musicales consacrée à « L’Opoponax » de Monique Wittig

Restons confiné.e.s, restons féministes : 5 films à découvrir sur Tënk

Mars 2020. Quelques infos en temps de confinement.

Avant-première « Des Femmes d’Argentine » de Juan Solanas Mardi 10 mars à 20h au Forum des images

12 au 19 février 2020 : projections, conférences et ateliers aux Etats-Unis

8 février 2020 : projection « Delphine et Carole, insoumuses » à Doc Fortnight au MOMA NY

2 février 2020 à partir de 10h45 « Les Festins d’Ilana » projection suivie d’une rencontre

7 janvier 2020 à 20h Avant-première « Un Trozo de azul » de Florence Jaugey au cinéma Le Luminor Hôtel de ville

L’équipe du Centre prend des vacances. Nous vous retrouvons le 6 janvier 2020

9 janvier 2020 Le Collectif 490 « hors la loi » recevra le Prix Simone-de-Beauvoir pour la liberté des femmes 2020

Dimanche 15 décembre à 11h, Les Festins de Suzette projection et rencontre

26 novembre à 20h30 Laura Mulvey présente « Frida Kahlo & Tina Modotti » et « Amy! »

22 novembre 2019, rencontre avec Esther Ferrer dans la cadre de Wom@rts

BOUTIQUE EN LIGNE

  • Les mots/maux du silence

    15,00 €
  • Chaperons rouges

    15,00 €
  • Long Time Passing

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  • Juifs d’appellation non controlée

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