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Résultats de recherche pour

"Seyrig, Delphine"

03
Mai
2020
Restons confiné.e.s, restons féministes : 5 films à découvrir sur Tënk

Restons confiné.e.s, restons féministes : 5 films à découvrir sur Tënk

Avec la complicité de la plateforme de documentaires Tënk, nous lançons un nouveau programme spécial de 5 films, une escale intitulée Restons confiné.e.s, restons féministes

La bande annonce du programme

À l’image de la vidéo Maso et Miso vont en bateau, produite et réalisée en 1975 par Les Insoumuses (Carole Roussopoulos, Delphine Seyrig, Ioana Wieder et Nadja Ringart), qui constitue le premier détournement féministe d’une émission de télévision, les cinq films de ce programme renversent la perspective de la domination masculine. Les muses y sont insoumises.

Les réalisatrices remettent en perspective les luttes, les prises de paroles, la place du corps des femmes dans l’histoire, dans l’espace public et dans l’environnement. Elles sortent du cadre attendu de la complainte féminine et montrent l’énergie collective : dans Legends the Living art of Risqué tout comme dans La conférence des femmes, Nairobi 85 on entend un Nous collectif, dans Maso et Miso vont en bateau c’est un collectif qui filme et dans Allers venues on est joyeusement embarqué.e.s dans une tranche de vie collective entre femmes. & A Fade to Grey nous invite à nous décentrer pour défricher le nucléaire et ses effets délétères tout en invoquant la figure de Psyché, comme un regard personnel inquiet qui appelle un questionnement collectif global.

Ces cinq films, qui permettent aussi de (re)découvrir des réalisations féministes issues de différentes époques du fonds d’archives du Centre Simone de Beauvoir, font écho en nous aujourd’hui et notamment en cette période de confinement car ils sont une ouverture pour repenser le réel et entreprendre la réflexion de l’après. Les réalisatrices et/ou les personnes filmées nous invitent à réfléchir à des points de vue multiples et à des propositions radicales. Ces cinq films, chacun à leur façon, défendent une cause, une parole, tout en travaillant la forme cinématographique : pas de voix off « raisonnable », pas de point de vue surplombant, une nouvelle façon d’analyser le machisme télévisuel, les conséquences du tout nucléaire, de filmer des corps féminins libres, les femmes du monde entier en politique.

Ils constituent autant de « dérèglements des représentations » pour reprendre la formulation de Geneviève Fraisse pour qui « le dérèglement ne raconte pas des histoires individuelles mais bien plutôt une histoire commune en train de s’écrire. »

On prend la parole en s’emparant de la caméra pour documenter ses propres luttes et questions, pour mettre en valeur des singularités et des collectivités et pour subvertir l’usage traditionnel du cinéma.

D’un film à l’autre, nous pouvons entrevoir un mouvement de pensée, réfléchir en images et en sons, discuter des intentions et des attentions des réalisatrices. Les 5 films remettent en lumière la créativité artistique, la capacité théorique, la force de l’humour mordant, la vigueur des propositions politiques qu’ont en commun ces réalisatrices féministes.

Déconfinons notre esprit critique grâce à ces films féministes. Savourons-en les effets bénéfiques !

Anne-Laure Berteau & Nicole Fernández Ferrer

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
19
Mar
2020
Mars 2020. Quelques infos en temps de confinement.

Mars 2020. Quelques infos en temps de confinement.

Restons chez nous mais restons en contact !

Pendant la période de confinement, en conformité avec les mesures sanitaires relatives à l’épidémie du COVID-19,
l’équipe du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir est passée au télétravail, et ce, pour les deux prochaines semaines au moins.
Nous sommes joignables par e-mail et portable + 33 (0)6 62 75 28 18 aux horaires habituels (du lundi au jeudi de 10h à 17h30).

Pour toutes questions liées :
– à la distribution (projections, matériel de diffusion, commandes DVD, abonnements Vimeo, etc.) contactez Anna Dzhangiryan : doc@centre-simone-de-beauvoir.com
– aux formations, évènements, archives, contactez Nicole Fernández Ferrer :
archives@centre-simone-de-beauvoir.com
– aux ateliers scolaires, périscolaires et au site Genrimages,
contactez Laetitia Puertas : distribution@centre-simone-de-beauvoir.com
– à l’administration et au service comptable,
contactez Anne-Laure Berteau : developpement@centre-simone-de-beauvoir.com

Toute l’équipe est mobilisée pour maintenir l’accès à nos films et archives. Nous reviendrons vers vous rapidement avec plusieurs possibilités pour continuer à faire vivre nos archives pendant cette période inhabituelle !

SITE GENRIMAGES
C’est le moment d’ouvrir un compte pour profiter de toutes les ressources du site Genrimages. Tous les contenus sont en accès libre et vous pouvez travailler en groupe et à distance, avec vos élèves, vos collègues… Pour plus d’informations ou des suggestions vous pouvez joindre Sophie Laurent : genrimages@centre-simone-de-beauvoir.com

Nos activités étant par essence tournées vers l’extérieur et vers les publics, à travers nos projections, ateliers, formations, mais aussi diffusions des films en festivals, conférences, projections en prison, le Centre est durement impacté par la situation actuelle qui impose l’annulation ou le report de beaucoup de nos actions prévues ces prochaines semaines.

Pour soutenir le Centre et son équipe de salariées, ainsi que les intermittent-e-s, auteurs-trices, indépendant-e-s avec qui nous travaillons, vous pouvez :
– programmer nos films dans vos festivals et évènements qui auront lieu dans le futur en parcourant notre catalogue
– louer et/ou acheter nos films disponibles sur les plateformes partenaires du Centre : Tënk et Cinetek
– pré-acheter des DVDs, qui vous seront envoyés dès que la situation le permettra en vous rendant sur la boutique
– adhérer à l’association directement en ligne en remplissant le formulaire et en réglant via HelloAsso
– faire un don directement en ligne via HelloAsso (ce don fera l’objet d’un reçu vous permettant de bénéficier d’une déduction fiscale, à hauteur de 66% pour les particuliers)

L’équipe du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir vous remercie chaleureusement.
Restez bien chez vous ! Restons en contact.

À très bientôt,

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
05
Fév
2020
SCUM Manifesto

SCUM Manifesto

Lecture mise en scène, avec en arrière-plan des informations télévisées, du livre de Valerie Solanas, S.C.U.M. Manifesto (1967) : réquisitoire contre la société dominée par l’image «mâle» de l’action «virile», substituts à l’impuissance réelle des hommes.
S.C.U.M. = Society for Cutting Up Men.

22
Nov
2019
15 novembre 2019 « SCUM Manifesto » & « Maso et Miso vont en bateau » au au Museo Nazionale del Cinema de Turin 

15 novembre 2019 « SCUM Manifesto » & « Maso et Miso vont en bateau » au au Museo Nazionale del Cinema de Turin 

Samedi 15 novembre 2019 au Museo Nazionale del Cinema de Turin 
A l’invitation du Torino Film Festival

Séance présentée par Nicole Fernandez Ferrer et suivie d’un débat

Projection de 
SCUM Manifesto de Carole Roussopoulos et Delphine Seyrig
France, 1976, 27 min

&
Maso et Miso vont en bateau
de Nadja Ringart, Carole Roussopoulos, Delphine Seyrig et Ioana Wieder
France, 1976, 55 min 
http://www.museocinema.it/it

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
12
Nov
2019

Our history

The Simone de Beauvoir Audiovisual Center was created in 1982 by Carole Roussopoulos, Delphine Seyrig and Ioana Wieder. These three militant and activist feminists, all video practitioners, aimed their cameras so to speak at the preservation and creation of audiovisual documents that had then been identified concerning the history of women, their rights, fights and creations. At the same time, they continued to practice their own work as directors.

Closed in 1993 for mostly financial reasons (see “our history,” which chronicles the center’s life and actions between 1982 and 1993), the Center was reborn in 2003 with a new team. This “first” period has its memories, documents, and archives of different types that the present team deemed important to reconstitute the history of those years, 1982-1993; it has asked the people who participated in this adventure to contribute their memories and histories. Thank you to those who have answered our call. It is not too late to come forward with your histories and memories. The history here is not closed and in marble!

If you have additional information or if you are in possession of documents that will enrich our archives, please contact:

Nicole Fernandez Ferrer: archives@centre-simone-de-beauvoir.com

Joëlle Bolloch : jbolloch@orange.fr

12
Nov
2019

Presentation (eng)

The Simone de Beauvoir Audiovisual Center was created in 1982 by Carole Roussopoulos, Delphine Seyrig and Ioana Wieder. These three militant and activist feminists, all video practitioners, aimed their cameras so to speak at the preservation and creation of audiovisual documents concerning the history of women, their rights, fights and creations. At the same time, they continued to practice their own work as directors.

Closed in 1993 for mostly financial reasons (see “our history,” which chronicles the center’s life and actions between 1982 and 1993), the Center was reborn in 2003 with a new team and more general ambitions. An educational dimension to read an image and fight against stereotypes linked to sexed representations in audio-visual was added to the initial aims.

Moreover, the Center’s team continues to produce and turn out films and works with artists through the creation of the Travelling feminist collective and by making its archives available to women artists for their inspiration.

29
Mai
2019
1er et 2 juin 2019 Artist in Focus « WOMEN I LOVE » & du 4 juin au 8 juillet 2019, Carole Roussopoulos, vidéaste féministe Cinematek, Bruxelles.

1er et 2 juin 2019 Artist in Focus « WOMEN I LOVE » & du 4 juin au 8 juillet 2019, Carole Roussopoulos, vidéaste féministe Cinematek, Bruxelles.

En collaboration avec Pink Screens, Elles tournent, Le Centre du Film sur l’Art & Âge d’or.

  CINEMATEK célèbre le premier weekend de juin le combat des femmes, artistes, réalisatrices, féministes, leur engagement et leur ténacité qui ont rendu possibles d’autres représentations des femmes à l’écran et rendu vivant un nouveau langage cinématographique. Ce weekend se prolonge tout l’été avec les rétrospectives des films de Carole Roussopoulos et d’Agnès Varda.Carole Roussopoulos et Delphine Seyrig sont à l’honneur avec Delphine et Carole, insoumuses, que nous montrons avec un plaisir énorme pour la première fois en Belgique. Ce film nous raconte les luttes qu’elles ont menées ensemble, avec au poing leur Portapak, première génération de caméras vidéo portables.
Ce film lance aussi la rétrospective que CINEMATEK consacre tout le mois de juin à l’œuvre de Carole Roussopoulos, qui a archivé sur ses bandes des témoignages exceptionnels. Le combat féministe évoqué dans Delphine et Carole, insoumuses,résonne avec celui des artistes américaines Barbara Hammer, pionnière du cinéma queer et lesbien et Carolee Schneemann, l’une des principales initiatrices de la performance, décédées toutes deux en mars dernier et dont le travail a ouvert de nouvelles possibilités pour de nombreuses artistes lesbiennes et féministes. Avec quatre séances le public de « Women I Love » pourra percevoir des sensibilités différentes qui se croisent et rendent visible le lien qui les unissent. À ce weekend s’ajoute cet été la rétrospective de l’œuvre immense d’Agnès Varda qui nous a aussi quitté.e.s en mars. Et celle de Douglas Sirk qui, à la lumière des études féministes, loin de faire des mélos pour les femmes, leur donna une véritable voix. De nombreuses pistes pour aborder l’histoire du cinéma sous un angle différent. 
Projection en avant-première belge de
Delphine et Carole, insoumuses de Callisto Mc Nulty
le samedi 1er juin 2019 à 19h.
En présence de Callisto Mc Nulty et Nicole Fernández Ferrer
Au programme en juin et juillet 2019

Films de Carole Roussopoulos :

Genet parle d’Angela Davis, (1970 )          
Le FHAR, 
(1971)           
Les Prostituées de Lyon parlent, 
(1975)           
Y’a qu’a pas baiser !, 
(1971)
L’inceste, la conspiration des oreilles bouchées (1988)
Profession conchylicultrice (1984)  
L’égalité professionnelles, ça avance dans les transports
Les Travailleuses de la mer, 
(1985)  
Les violences du silence, (1998)           
Nous femmes, contre vents et marées, 
(1990)
Les Hommes invisibles, (1993)
Il faut parler : portrait de Ruth Fayon, (2003)

Le Cinquantenaire du deuxième sexe, (2001)

Femmes mutilées, plus jamais !, (2007) de Fatxiya Ali Aden, Sahra Osman avec la collaboration de Carole Roussopoulos, 

Co-réalisé avec Delphine Seyrig :
– S.C.U.M Manifesto, (1967)                  

Co-réalisé avec Delphine Seyrig, Ioana Wieder et Nadja Ringart :
 – Maso et Miso vont en bateau, (1976)     

Co-réalisé avec Corinne Happe et Anne Risso
Le Viol : Anne, Corine…., (1978)           
                 

Co-réalisé avec Carène Varène et Michel Celemski
La Mort n’a pas voulu de moi : portrait de Lotte Eisner, (1983)

Co-réalisé avec Ioana Wieder et Nicole Fernandez
Pionnières et dictionnaires du cinéma, (1984)

Films de Delphine Seyrig :
Pour mémoire, (1987)
Inês, (1974) 
Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
16
Avr
2019
25 avril 2019 aux Ateliers sauvages à Alger : rencontre et projection de films de Carole Roussopoulos

25 avril 2019 aux Ateliers sauvages à Alger : rencontre et projection de films de Carole Roussopoulos

Jeudi 25 avril 2019 à partir de 15h aux Ateliers sauvages d’Alger

programme « Carole Roussopoulos, vidéaste féministe »
Séances présentées par Wassyla Tamzali & Nicole Fernández Ferrer.
Chaque séance est suivie d’une rencontre.

Séance 15h
Genet parle d’Angela Davis
France, Video Out, 1970, n& bl., 7 min
Au lendemain de l’arrestation d’Angela Davis en octobre 1970, Jean Genet lit à trois reprises un texte de dénonciation de la politique raciste des États-Unis, de soutien au parti des Black Panthers et à Angela Davis, pour une émission de télévision qui sera finalement censurée.

Munich coréalisé avec Paul Roussopoulos
France, Vidéo Out, 1972, n& bl., 12min.30,
En septembre 1972, un commando palestinien du nom de Septembre Noir prend en otage la délégation israélienne aux jeux olympiques de Munich. Ce film, qui dénonce l’hypocrisie de cette illusoire « paix olympique », est un montage d’images de la télévision officielle et d’images tournées dans les camps de réfugiés palestiniens de Jordanie en septembre 1971 (Septembre Noir), en pleine répression des populations palestiniennes par les armées du roi Hussein.

Maso et Miso vont en bateau
Co réalisé avec Delphine Seyrig, Ioana Wieder et Nadja Ringart
France, Les Muses s’amusent, 1976, n&bl., 55min,
Le 30 décembre 1975, après avoir vu sur Antenne 2 l’émission gentiment misogyne de Bernard Pivot intitulée « Encore un jour et l’année de la femme, ouf ! c’est fini », à laquelle était invitée Françoise Giroud, quatre féministes détournent l’émission par des interventions humoristiques et impertinentes pour conclure que « le secrétariat d’Etat à la condition féminine est une mystification ».

Séance 17h
Le F.H.A.R. (Front homosexuel d’action révolutionnaire)
France, Vidéo Out, 1971, n& bl., 26min
En 197& à Paris c’es la première manifestation homosexuelle . Elle se déroule à l’intérieur du traditionnel défilé du 1er mai. Quelques semaines plus tard, à l’Université de Vincennes, dans le cadre d’un séminaire de philosophie des militant-e-s du tout nouveau Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire, dont la féministe Anne-Marie Fauret et Guy Hocquenghem discutent avec des étudiant.e.s , des enseigant.e.s.

Christiane et Monique
France, Vidéo Out, 1976, n&bl., 30min.
En 1976, à Besançon, les ouvriers de LIP occupent à nouveau leur usine et relancent la production de montres. Monique et Christiane témoignent de la difficulté d’être femme face aux ténors de la revendication syndicale.

Les travailleuses de la mer
France, Vidéo Out, 1985, coul., 25min.30
Sur le port de pêche de Lorient en Bretagne, près de 800 femmes travaillent, les fileteuses le jour, les trieuses de poissons la nuit. Quelques-unes témoignent des conditions dans lesquelles elles exercent leur métier, des conditions quasiment inchangées depuis cinquante ans…

19h Rencontre : « Caméra au poing : le parcours singulier de Carole Roussopoulos »

Une rencontre ponctuée de nombreux extraits de films de Carole Roussopoulos issus des collections du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir qu’elle a fondé en 1982 avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder. L’histoire d’un engagement politique féministe en luttes et en films, d’une caméra au service des « sans voix », un outil de contestation et de création.
Intervenante : Nicole Fernandez Ferrer , déléguée générale du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir

Séance 20h
Mort des malades, souffrance des soignants
Coréalisé avec Francine Claude-Leyssenne, Anne-Marie Langohr
France, (ANACT), Fédération Nationale CFDT Santé Sociaux, Fondation Européenne pour l’Amélioration des Conditions de Vie et de Travail, Fondation de France, Institut pour l’Amélioration des Conditions de Travail, 1991 coul., 30min.,
A l’hôpital général de Martigues et à l’hôpital universitaire Erasme de Bruxelles, des équipes de soins parlent pour la première fois de leur souffrance face à la douleur et à la mort des malades. Elles expriment leurs difficultés, leur désarroi, leurs peines à l’égard des malades, des familles, des collègues et des médecins et leur besoin d’une véritable formation.

Les Hommes invisibles
France, La Fondation de France, Le Centre d’Accueil et de Soins Hospitaliers de Nanterre, La Fondation Crédit Local de France, 1993, coul., 33min.
Vagabonds, sans domicile fixe, ils sont nombreux à vivre dans l’errance. à l’initiative de Xavier Emmanuelli, le CHAPSA (Centre d’Hébergement et d’Accueil pour les Sans Abri) de l’Hôpital de Nanterre assure, en milieu hospitalier, des services d’accueil et de soins aux plus démunis. Ce film a contribué à la création du Samu social.

Je suis un être humain comme les autres
Sur une idée de Jean-Marc Dupont
Suisse, FOVAHM et Carole Roussopoulos, 2006, coul., 36min
La FOVAHM (Fondation Valaisanne en faveur des personnes handicapées mentales) accueille plus de 270 personnes dans ses lieux de vie (homes et appartements), ses ateliers d’occupation et ses centres de formation. Les thèmes du logement, du travail, des loisirs, de la formation, de l’intimité, des rapports humains et de la politique sociale en lien avec les personnes handicapées mentales sont abordés par les personnes en situation de handicap.

—————————————————————————————————————————
Carole Roussopoulos, vidéaste féministe

Carole Roussopoulos découvre la vidéo à la fin des années 60 avec l’apparition du Portapack, première génération de caméra vidéo portables.
Née de Kalbermaten à Sion en Suisse en 1945, décédée en 2009, Carole a réalisé plus de 100 films documentaires.

« La vidéo était vraiment l’outil idéal pour donner la parole. (…).C’est comme si « Monsieur et Madame Sony » m’avaient fait un outil sur mesure, qui a déclenché cette envie que j’avais déjà en moi de lutter à ma façon contre différentes injustices. Ce que j’aimais dans la vidéo, c’était aussi qu’il n’y avait pas de pression, et la cassette ne coûtait pas cher. J’assimile plus mon travail à des tracts-vidéo, des petits cris, de petites alertes, et c’est aussi pour cette raison que la bande n’a pas besoin d’être très longue, parce que je n’ai jamais eu la prétention de résoudre un problème, ou d’achever une analyse. C’est un cri, et après les gens pensent ce qu’ils veulent. J’aime beaucoup ce côté très modeste de la vidéo. » (Carole Roussopoulos – entretien réalisé par Dario Marchiori Les 2-3 mars 2009 à Molignon (Suisse) chez Carole et Paul Roussopoulos)

Dès sa première bande vidéo Genet parle d’Angela Davis (1970), filmée avec Paul Roussopoulos, Carole est du côté des insoumis.e.s. Avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder, elle crée le groupe Les Muses s’amusent qui détourne une émission de télévision réalisant Maso et Miso vont en bateau (1976). Avec Delphine Seyrig, elle filmera à Paris et Los Angeles Sois belle et tais-toi ! (1975-76) et co-réalisera l’irrévérencieux SCUM Manifesto (1976).
Comme le souligne Giovanna Zapperi, professeure en Histoire de l’art contemporain, ces productions sont « exemplaires d’une pratique de la désobéissance qui prend forme à travers un usage politique de la vidéo, capable de faire dialoguer l’humour, la critique sociale et l’émergence d’un regard féministe ».
En 1982, Carole Roussopoulos fonde avec Delphine Seyrig et Ioana Wieder le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, premier et unique lieu d’archives audiovisuelles consacré aux femmes, à leurs droits, leur création, leur histoire.
Carole donnera la parole aux hommosexuel.le.s du FHAR, des femmes prostituées en lutte, aux mères de militants basques assassinés par le régime franquiste, à des jeunes femmes victimes d’inceste, des travailleuses de la mer, des soignants et des malades, des jeunes incarcérés, des femmes immigrées qui se battent pour leurs droits.

Nicole Fernández Ferrer
Déléguée générale du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir, Paris
Mars 2019

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
18
Mar
2019
Jeudi 21 mars 2019 à 20h20 au cinéma du Réel : séance consacrée à Carole Roussopoulos

Jeudi 21 mars 2019 à 20h20 au cinéma du Réel : séance consacrée à Carole Roussopoulos

Au cinéma du Réel (15 au 24 mars 2019) dans le cadre de Front(s) populaire(s) qui « activera chaque année la fonction politique et activiste du cinéma. Cette année la thématique sera « Quel pouvoir des images ? » ou comment les images qui rendent compte des luttes peuvent y ordre part. »

Séance #8 : La vidéo outil de prise de parole
Programme consacré à Carole Roussopoulos
jeudi 21 mars 2019 20H20 Cinéma 2
Le F.H.A.R. (Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire) de Carole Roussopoulos
1971, France, 26 min
Des images de la première manifestation homosexuelle à l’intérieur du traditionnel défilé du 1er mai et la discussion qui a lieu, quelques semaines plus tard, à l’Université de Vincennes, dans le cadre d’un séminaire de philosophie. Parmi les militant-e-s du tout nouveau Front Homosexuel d’Action Révolutionnaire, on retrouve Anne-Marie Fauret, lesbienne féministe et Guy Hocquenghem.

LIP : Monique de Carole Roussopoulos
France, 1973, 25 min
A Besançon, après l’occupation de l’usine LIP par les forces de l’ordre, une travailleuse, Monique Piton, raconte leurs quatre mois de lutte, souligne la place décisive des femmes dans le Comité d’Action et dénonce le rôle joué par la télévision.

S.C.U.M. Manifesto 1967 de Carole Roussopoulos Delphine Seyrig
France, 1976, 27 min
Lecture mise en scène d’extraits de S.C.U.M. Manifesto (Society for Cutting Up Men) de Valerie Solanas, édité en 1967 et alors épuisé en français. Delphine Seyrig en traduit quelques passages à Carole Roussopoulos qui les tape à la machine. En arrière-plan, un téléviseur diffuse en direct des images du journal télévisé dont on entend par moments les nouvelles apocalyptiques.

Y’a qu’à pas baiser ! de Carole Roussopoulos
France, 1971, 17 min
Alternance d’images de la première grande manifestation féministe qui a lieu à Paris le 20 novembre 1971 et des images d’un avortement illégal pratiqué selon la méthode Karman.

http://www.cinemadureel.org/section/fronts-populaires-2019/?film_year=2019&edition_slug=2019

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Agenda
20
Jan
2019
Jeudi 24 janvier 2019 à 19h : projection de « Sois belle et tais-toi ! » à la Cinematek de Bruxelles

Jeudi 24 janvier 2019 à 19h : projection de « Sois belle et tais-toi ! » à la Cinematek de Bruxelles

Jeudi 24 janvier 2019, à l’invitation de la ,
Nicole Fernandez Ferrer présentera Sois belle et tais-toi ! de Delphine Seyrig, dans le cadre de CLASSICS & ANTHOLOGIES JULIET BERTO 02.12 > 24.01.2019
Sois belle et tais-toi ! France, 1976, 1h51, noir et blanc
Image: Carole Roussopoulos. Montage : Carole Roussopoulos et Ioana Wieder. Production : Delphine Seyrig.
Avec : Jane Fonda, Shirley MacLaine, Anne Wiazemsky, Maria Schneider, Ellen Burstyn, Juliet Berto, Marie Dubois, Millie Perkins, Rita Renoir…

1976. Vingt-quatre actrices françaises et américaines, face caméra, parlent de leur expérience professionnelle dans le milieu du cinéma en tant que femmes. Une photographie d’une époque malheureusement pas encore tout à fait révolue.
A partir de questions identiques posé à chaque actrice : Auriez-vous choisi le même métier si vous aviez été un homme ? Y a-t-il une place pour une comédienne au delà de 40 ans ? Avez-vous songé à devenir metteur.e en scène ?, Delphine Seyrig dessine et un milieu misogyne et conservateur.
Interrogées sur leurs expériences professionnelles en tant que femmes, leurs rôles et leurs rapports avec les cinéastes et les équipes, les comédiennes dressent un bilan négatif. Être belle et se taire, c’est bien l’attitude qu’on attend d’elles, ces femmes à qui on ne propose que des rôles stéréotypés, voire aliénants. Elles s’interrogent sur leur position dans cette industrie sexiste, et clament la nécessité d’écrire elle-même les rôles qu’elles veulent interpréter.

« Cette série d’entretiens avec des actrices sur leur statut et les rôles qu’on leur propose fait apparaître combien le discours de « l’emballage » de la misogynie dominante a changé depuis lors, et combien l’essentiel des mécanismes du mépris et du contrôle demeurent – contre les femmes, mais désormais de manière sans doute plus diffuse, moins grossièrement codée, au détriment de tous. D’une tonifiante drôlerie et d’une impeccable précision, l’enseignement de ces brefs dialogues – parmi lesquelles on (re)découvre la Jane Fonda d’alors, étincelante de lucidité politique, fait de ce film […] un exemple des ressources du cinéma comme analyseur temporel, doté de vertus de compréhension du monde inépuisables. » (Jean-Michel Frodon, Cahiers du cinéma n°626, septembre 2007)

Publié par Centre audiovisuel Simone de Beauvoir dans Non classé

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Mardi 22 avril 2025 à 20h00 au cinéma le Luminor-Hôtel de ville / « Tinta Roja (À l’encre rouge) » en présence de la réalisatrice Carmen Guarini

Jeudi 20 mars 2025 à 20h30 au cinéma le Luminor-Hôtel de ville / Soirée dédiée à May Ayim + « Hoffnung im Herz » de Maria Binder

Mardi 25 février 2025 à 20h45 : « Au lendemain de l’odyssée » d’Helen Doyle au Forum des Images.

Dimanche 23 février 2025 à partir de 10h45 : « Les Festins de Vidéo Femmes » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Mercredi 29 janvier 2025 à 18h30 à la Cité audacieuse : projection de « De rêves et de parpaings » d’Anne-Sophie Birot et Laetitia Douanne + rencontre avec les réalisatrices

Dimanche 15 décembre 2024 à partir de 10h45 : « Les Festins de Nos lèvres révoltées » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Lundi 9 décembre 2024 à 19h à la Cité audacieuse : projection de « À notre santé » (1977) et « Anatomie Autonomie »(2022) et rencontre avec les réalisatrices

Mardi 12 novembre 2024 à 20h30 : « Plus jamais silencieuses » de caroline pierret pirson au Forum des Images.

Lundi 14 octobre 2024 à 19h à la Cité audacieuse : projection de « 30 Years of Sisterhood » de Chieko Yamagami et Noriko Seyama suivie d’une rencontre avec la militante féministe Yuki Takahata.

Jeudi 12 septembre 2024 à 20h au cinéma le Luminor-Hôtel de ville / « O que podem as palavras » de Luísa Sequeira et Luísa Marinho. Portugal, 2022

~~~~ Congés d’été ~~~~ L’équipe du Centre, en congés d’été jusqu’au 18 août 2024, aura le plaisir de vous retrouver le 19 août 2024. Passez un bon été !

Exposition « Precursores: feminismes, càmera en mà i arxiu a l’espatlla ». Du 11 juillet au 17 novembre 2024 à la Filmoteca de Catalunya (BCN).

« Les mères veilleuses » de Vanessa Gauthier. Mardi 2 juillet 2024 à 20h au Luminor-Hôtel de Ville. Séance suivie d’une rencontre avec la réalisatrice Vanessa Gauthier

Dimanche 16 juin 2024 à 11h : « Les Festins d’Abraham Ségal » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Mardi 28 mai 2024 : « Hommage à Sarah Maldoror » avec Annouchka de Andrade et Mariann Mathéus au Forum des Images.

Cycle « Contre-chant : luttes collectives, films féministes » du 19 avril au 4 juillet 2024 au Centre Pompidou.

Mardi 16 avril 2024 à 19h à la Cité audacieuse : projection de « Long Time Passing » de Masako Sakata suivie d’une rencontre avec la réalisatrice et la journaliste et activiste Tran To Nga.

« La permission » de Soheil Beiraghi. Lundi 11 mars 2024 à 20h au Luminor-Hôtel de Ville. Séance suivie d’une rencontre avec Asal Bagheri

Mardi 27 février 2024 : « Ultraviolette et le gang des cracheuses de sang » de Robin Hunzinger au Forum des Images.

Lundi 12 février 2024 à 19h00 : seléction de court-métrages sur la présence et l’activisme LGBTQ+ à la Cité audacieuse

Jeudi 25 janvier 2024 à 20h au cinéma le Luminor-Hôtel de ville / « Hoy y no mañana » de Josefina Morandé. Chili, 2018

Samedi 6 janvier 2024 Invitation à Saison #1 de la récolte féministe pour l’exposition « Les Femmes sont dans la rue ! »

Dimanche 17 décembre 2023 à 11h : « Les Festins de Rosanna Maule » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

DERNIERS JOURS – Exposition « Défricheuses : féminismes, caméra au poing et archive en bandoulière ». Du 28 septembre au 20 décembre 2023 à la Cité internationale des arts.

#Wittig2023 – Films, lectures et mises en scène disponibles dans les collections du Centre

Lundi 17 avril 2023 à 20h : « My Russian 90’s : chronique d’une décenie  » de Macha Ovtchinnikova au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Lundi 20 mars 2023 à 19h à la Cité Audacieuse : projection du film « Le rêve de Samira »

Une programmation exceptionnelle de films de Carole Roussopoulos à l’Entrepôt les 10-11 & 12 mars 2023

15 février 2023 : sortie en salle de « Sois belle et tais-toi ! » de Delphine Seyrig avec Splendor Films

Samedi 28 janvier 2023 à partir de 16 heures : table ronde sur la restauration vidéo + projection Sois belle et tais toi !

Dimanche 29 janvier 2023 à 11h : « Les Festins d’Alexandre » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Lundi 23 janvier 2023 à 19h à la Cité Audacieuse : projection du film « Mauvais sang ? »

L’équipe prend ses vacances d’hiver 2022-2023 (22/12/2022 au 3/01/2023)

Annulé & Reporté début 2023 (suivre nos réseaux) – Dimanche 4 décembre 2022 à 11h : « Les Festins d’Alexandre » au cinéma Le Luminor Hôtel de ville à Paris

Mardi 22 novembre : projection du film « Le jour où j’ai découvert que Jane Fonda était brune » au Forum des Images

Lundi 24 octobre 2022 à 19h : projection du film « La Fabrique des contre-récits » de Pascale Obolo suivie d’une rencontre à la Cité audacieuse, Paris.

Mardi 20 septembre 2022 20h : Projection du film « Les petites servantes de l’Ecole ménagère de Carspach » de Nadège Buhler au cinéma le Luminor-Hôtel de ville

Mardi 28 juin 2022 à 18h30 Projection du film « Mon nom est clitoris »

Lundi 9 mai 2022 à 19h : Engagées ! Séance de 3 courts métrages en présence des réalisatrices

Mardi 19 avril 2022 à 21h Projection du film « Deux fois » de Jackie Raynal en sa présence

Carte blanche à la Cinémathèque de Bretagne. Mardi 22 mars 2022 à 20h au cinéma le Luminor-Hôtel de Ville, Paris

Dimanche 6 février 2022 à 11h : « Les Festins d’Annouchka » au cinéma le Luminor Hôtel de ville à Paris

Bonne année 2022, Feliz Año nuevo, Happy NewYear, Felice anno nuovo, Bom ano novo…

Mardi 25 janvier 2022 à 18h30 projection « D’où vient cet air lointain ? Chronique d’une vie en cinéma » de Yannick Bellon

Lundi 17 janvier 2022 à 18h30 : projection du film « A Corps perdus » de Magali Chapelan à la Cité audacieuse

Lundi 13 décembre 2021 à 20h : projection du film « Douze fois impures » de Mona Fillières et Anita Perez au cinéma Le Luminor-Hôtel de ville, Paris.

Jeudi 2 décembre 2021 à 18h30 : rencontre avec Jackie Raynal. Entretien mené par Diane Gabrysiak (Meet the Master / Wom@rts)

Mardi 30 novembre 2021 à 18h30 : projection du film « The Archivettes » de Megan Rossman Au Forum des images

Dimanche 31 octobre 2021 au Vidéodrome 2, Marseille (13) à partir de 15h : lancement du cycle Femmes iraniennes devant et derrière la caméra

Vendredi 29 octobre à partir de 15h Bibliothèque François Truffaut, Paris : Cycle Femmes d’Iran, devant et derrière la caméra

Lundi 25 octobre 2021 à 20h30 à Lyon : cycle Femmes d’Iran, devant et derrière la caméra avec « Entre les flots » de Mina Keshavarz

Dimanche 24 octobre 2021 : lancement au Ciné 104 de Pantin du cycle « Femmes d’Iran, devant et derrière la caméra »

Mardi 19 octobre 2021 au cinéma Saint-André des Arts « Delphine et Carole, insoumuses » & Sois belle et tais-toi !

Mardi 28 septembre à 13h45 : Conférence finale du projet européen Wom@rts

22 septembre 2021 à 20h : Projection Les Deux vies d’Eva d’Esther Hoffenberg

Cet été 2021, suivez les projections de nos films en France et ailleurs

Projection du film Mulheres rurais em movimento (Femmes rurales en mouvement) lundi 12 juillet 2021 à 18h à la Cité audacieuse

Du 15 au 20 juin 2021 à Bucarest au Festival One World Romania

Mardi 9 mars 2021 à 17h Séminaire, LOST IN TRANSMISSION : Archives du 8 mars 1979, le mouvement des femmes dans la révolution iranienne

20 janvier 2021 à 18h. La Fabrique des contre-récits : rencontre avec Pascale Obolo. Entretien mené par Anne Wetsi Mpoma

Soutenez le matrimoine audiovisuel, soutenez nos projets. Faites un don avant le 31 décembre 2020

Jeudi 3 décembre 2020 à 18h « Le Son d’un regard » : rencontre avec Vivian Ostrovsky, cinéaste expérimentale.

Visionnez « les Festins de Geneviève Fraisse », séance enregistrée le 18 octobre 2020 au Cinéma Le Luminor-Hôtel-de-Ville

Dimanche 18 octobre 2020 à 11h : Les Festins de Geneviève Fraisse. Au cinéma Le Luminor-Hôtel de ville

9 -21 octobre 2020 : rétrospective Delphine Seyrig à Lisbonne dans le cadre de la Festa do cinema francês

24 sept-4 oct 2020 : Les filles sages vont au paradis, les autres vont où elles veulent aux Rencontres cinéma et société en Corrèze.

22 septembre 2020 : Avant-première du film « Madre Habana » d’Emmanuelle de Riedmatten

Retrouvons-nous le 1er septembre 2020. A vos agendas pour nos prochains rendez-vous !

Découvrez la vidéo de la soirée de lectures musicales consacrée à « L’Opoponax » de Monique Wittig

Mars 2020. Quelques infos en temps de confinement.

Avant-première « Des Femmes d’Argentine » de Juan Solanas Mardi 10 mars à 20h au Forum des images

12 au 19 février 2020 : projections, conférences et ateliers aux Etats-Unis

8 février 2020 : projection « Delphine et Carole, insoumuses » à Doc Fortnight au MOMA NY

2 février 2020 à partir de 10h45 « Les Festins d’Ilana » projection suivie d’une rencontre

7 janvier 2020 à 20h Avant-première « Un Trozo de azul » de Florence Jaugey au cinéma Le Luminor Hôtel de ville

L’équipe du Centre prend des vacances. Nous vous retrouvons le 6 janvier 2020

9 janvier 2020 Le Collectif 490 « hors la loi » recevra le Prix Simone-de-Beauvoir pour la liberté des femmes 2020

Dimanche 15 décembre à 11h, Les Festins de Suzette projection et rencontre

26 novembre à 20h30 Laura Mulvey présente « Frida Kahlo & Tina Modotti » et « Amy! »

22 novembre 2019, rencontre avec Esther Ferrer dans la cadre de Wom@rts

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  • Les mots/maux du silence

    15,00 €
  • Chaperons rouges

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  • Long Time Passing

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  • Juifs d’appellation non controlée

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